Chersamis, À ANTRAIGUES le 15 mars 2020, la Maison Jean Ferrat orga nise un hommage chantĂ©, en chƓur et en cƓur, Ă  JEAN FERRAT, pour les 10 ans de sa disparition. L'homme, ses chansons, sa poĂ©sie et son engagement restent et resteront Ă  jamais Ă©minemment prĂ©sents dans nos cƓurs. Du 10 au 15 mars, c'est un grand nombre d'Ă©vĂšnements qui cĂ©lĂšbreront le grand
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parJean Ferrat CD. 9,99 €. Il ne reste plus que 10 exemplaire (s) en stock (d'autres exemplaires sont en cours d'acheminement). ExpĂ©diĂ© et vendu par Amazon. Best Of 70 - Jean Ferrat. par Jean Ferrat CD. 6,99 €. Il ne reste plus que 15 exemplaire (s) en stock (d'autres exemplaires sont en cours d'acheminement).

L’idole Ă  papa LyricsIl y avait deux clans dans la familleDu temps oĂč j'Ă©tais un moufletTino Rossi faisait pĂąmer les fillesEt tous les garçons rigolaientEt je me dis qu'aujourd'hui mĂȘmeC'est peut-ĂȘtre pareil pour moiLes unes rĂȘvent en murmurant "Je t'aime"Les autres ricanent tout basTu peux m'ouvrir cent fois les brasC'est toujours la premiĂšre foisTu peux m'ouvrir cent fois les brasC'est toujours la premiĂšre foisEvidemment, aprĂšs trente ans passĂ©sA Ă©couter "Marinella"MĂȘme en ayant d'la suite dans les idĂ©esOn n'se bat plus comme chien et chatOn dit plutĂŽt dans un sourire"Il Ă©tait pas si mal que çaDepuis le temps que nous entendons pire"En sera-t-il pareil pour moi ?Pourtant, que la montagne est belleComment peut-on s'imaginerEn voyant un vol d'hirondellesQue l'automne vient d'arriver?Oui dans trente ans du train oĂč vont les chosesDieu sait c'qu'il adviendra de moiMais s'il me reste Ă  la bouche une roseQui jette encore un peu d'Ă©clatQuand de jeunes contestatairesMettront leurs grands pieds dans mon platJe leur dirai "Tino, que je suis fierD'ĂȘtre encore l'idole Ă  Papa"Faut-il pleurer, faut-il en rireFait-il envie ou bien pitiĂ©Je n'ai pas le cƓur Ă  le direOn ne voit pas le temps passerHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum

ParolesIsabelle Aubret – Retrouvez les paroles de chansons de Isabelle Aubret. NouveautĂ©s ou anciens hits, toutes les paroles de Isabelle Aubret sont disponibles sur Paroles de chansons; RECHERCHEZ VOS CHANSONS ET VOS ARTISTES. Paroles.net Paroles Isabelle Aubret. Paroles Isabelle Aubret. Tweet; Chanson manquante pour "Isabelle

Il a suffi qu’il meure pour que les mĂ©dias qui l’ignoraient depuis longtemps, le ressuscitent. La disparition de Jean Ferrat, samedi 13 mars, est Ă  la une des antennes et des journaux qui ne cessent de lui tresser les couronnes d’usage avant de bientĂŽt l’oublier. Or, les chansons de Jean Ferrat ne sont pas de celles qu’on oublie. Chaque fois qu’on les Ă©coute c’est toujours la premiĂšre fois » un texte, une mĂ©lodie, une voix et une interprĂ©tation inimitables en font un moment d’enchantement. Intimement associĂ©es aux instants particuliers d’une vie, elles ont le don de les faire revivre comme la madeleine de Proust trempĂ©e dans la tasse de thĂ©. Faut-il pleurer ? Faut-il en rire ? » Ainsi reste-t-on attachĂ© Ă  la chanson du film de RenĂ© Allio, La vieille dame indigne » 1965 elle figurait sur le disque 33 tours qu’on a reçu en cadeau d’une classe de seconde, la premiĂšre annĂ©e oĂ Âč l’on enseignait, en 1966. On avait Ă©tudiĂ© la nouvelle de Brecht, La vieille dame indigne » elle raconte le scandale suscitĂ© par cette mĂšre qui, aprĂšs la mort de son mari, perd la tĂȘte au point de s’ouvrir Ă  la vie comme jamais elle n’avait pu le faire jusqu’ici, en compagnie d’une jeune serveuse de bar. Faut-il pleurer, faut-il en rire ? » demandait Jean Ferrat devant ces femmes dont toute la vie se rĂ©sume / En millions de pas dĂ©risoires / Prise comme marteau et enclume / Entre une table et une armoire » ? Je n’ai pas le coeur Ă  le dire / On ne voit pas le temps passer, » se contentait-il de rĂ©pondre. Ferrat Ă©tait venu dans l’annĂ©e chanter au cinĂ©ma les VariĂ©tĂ©s », Ă  Angers, avec Anne Sylvestre en premiĂšre partie. Je ne chante pas pour passer le temps » C’est Ă  la mĂȘme Ă©poque qu’on avait rencontrĂ© par hasard LĂ©o FerrĂ© aprĂšs un rĂ©cital et qu’on avait parlĂ© avec lui toute une nuit. On se souvient qu’il maugrĂ©ait contre Ferrat, non pour leur quasi homonymie mais contre la chanson que Ferrat venait d’écrire Je ne chante pas pour passer le temps ». LĂ©o FerrĂ© l’avait prise comme une gifle, car il venait, lui, de publier Je chante pour passer le temps / Petit qui me reste de vivre / Comme on dessine sur le givre / Comme on se fait le coeur content / à€ lancer cailloux sur Ă©tang / Je chante pour passer le temps. » C’était un poĂšme d’Aragon. FerrĂ© comme Ferrat puisaient ensemble dans Le roman inachevĂ© » du poĂšte et c’était Ă  qui allait habiller ses vers ciselĂ©s des plus ravissantes mĂ©lodies. Qui serait assez insensĂ© pour les dĂ©partager ? Les oeuvres de l’esprit n’ont pas de prix, on finit par l’oublier avec tous ces concours Ă  la noix, palme, cĂ©sar et oscar imbĂ©ciles qui ne servent que d’argument d’autoritĂ© pour les vendre Ă  de plus imbĂ©ciles encore. FĂ©derico Garcia Lorca » et Un jour, un jour » C’est aussi une chanson de Ferrat qu’on a aux lĂšvres quand, pour la premiĂšre fois, au dĂ©tour d’un virage en venant de Guadix, apparaissent bruns et massifs les remparts de l’Alhambra et de l’Alcazaba de Grenade sur fond de sommets enneigĂ©s de la Sierra Nevada et ciel d’azur. Cela faisait une bonne dizaine d’annĂ©es qu’on entendait les guitares jouer leur sĂ©rĂ©nades / Dont les voix se brisent au matin. / Non jamais, je n’atteindrai Grenade / Bien que j’en sache le chemin. » Cet hymne Ă  Federico Garcia Lorca assassinĂ© par la Guardia Civil de Franco n’a cessĂ© d’accompagner les promenades qu’on a faites, deux ans aprĂšs la mort de Franco, dans les jardins du Generalife et de l’Alhambra, ou dans le lacis de ruelles de l’Albaicin, le quartier de maison blanches en face de la forteresse qu’on contemplait de la terrasse de Saint Nicolas. On se prenait Ă  y mĂȘler une autre chanson Un jour, un jour » qui Ă©voque aussi Grenade et Lorca qui s’est tu / Emplissant tout Ă  coup l’univers de silence / Contre les violents tourne la violence / Dieu le fracas que fait un poĂšte qu’on tue, » s’écrie Ferrat, avant de promettre dans son refrain qu’ un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange / Un jour de palme, de feuillages au front / Un jour d’épaules nues / OĂ Âč les gens s’aimeront. / Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche. » Nuit et brouillard » On partageait alors cet optimisme la sauvagerie humaine, du moins le croyait-on, n’était pas inĂ©luctable pourvu qu’on sà»t en percevoir les racines pour les extirper. Nuit et brouillard » rappelait sur un rythme saccadĂ© de train sautant de rails en rails le gĂ©nocide nazi dont Ferrat vivait dans sa chair les sĂ©quelles puisque son pĂšre en est mort alors qu’il Ă©tait encore enfant. L’époque paraissait vouloir l’oublier un vent de frivolitĂ© soufflait alors sur une certaine chanson française les YĂ©yĂ©s rĂ©gnaient et les ondes baignaient dans un pastiche de sous-culture amĂ©ricaine. Ferrat Ă©tait prĂȘt, disait-il, Ă  twister les mots s’il fallait les twister / Pour qu’un jour les enfants sachent qui Ă©taient ceux que les Nazis avaient assassinĂ©s ». Potemkine » Potemkine », du nom du cuirassĂ© dont les marins se rĂ©voltent en 1905 pour ĂȘtre contraints de manger de la nourriture avariĂ©e quand les officiers se gobergent, cĂ©lĂšbre sans doute sur des roulements de tambours guerriers le rĂȘve d’une sociĂ©tĂ© alternative. Mais on ne pouvait s’empĂȘcher en l’écoutant de penser aussi Ă  d’autres marins, ceux de Cronstadt qui, en mars 1921, se sont dressĂ©s contre le nouveau pouvoir soviĂ©tique les bolcheviques ont Ă©crasĂ© leur rĂ©volte dans le sang. Une rĂ©volution prĂ©sentĂ©e comme une nouvelle aube de l’humanitĂ© pouvait donc dĂšs son commencement laisser craindre le pire par ses mĂ©thodes. J’entends, j’entends » Jean Ferrat n’était pas naĂŻf. Il met trĂšs tĂŽt en musique le poĂšme d’Aragon J’entends, j’entends ». C’est un cri de dĂ©sespoir devant l’indiffĂ©rence de ceux Ă  qui ses mots s’adressent. Il se sent si semblable Ă  eux pourtant, leur enfer », dit-il, est le sien. Mais tous ces hommes et femmes, pierres tendres tĂŽt usĂ©es » qui voudraient au ciel bleu croire / Comme l’alouette au miroir », n’entendent rien Tout se perd et rien ne vous touche, se plaint-il. Ni mes paroles ni mes mains / Et vous passez votre chemin / Sans savoir ce que dit ma bouche » Avoir Ă©tĂ© peut-ĂȘtre utile devient un rĂȘve modeste et fou / Il aurait mieux valu le taire, finit-il par convenir. / Vous me mettrez avec en terre / Comme une Ă©toile au fond d’un trou. » Jean Ferrat ne se fait pas trop d’illusion il a les yeux ouverts non seulement sur la violence des hommes mais sur l’indiffĂ©rence qu’on peut rencontrer y compris chez ceux qui la subissent, quand on veut la combattre. Ma mĂŽme » et Que serais-je sans toi ? » Que reste-t-il alors pour tenir et survivre ? L’amour qu’un homme et une femme peuvent se porter l’un Ă  l’autre et qui les soulĂšve au-dessus d’eux-mĂȘmes. Ils y puisent la force de leur rĂ©sistance. Ferrat n’a cessĂ© de solliciter les poĂštes connus ou inconnus qui l’entourent pour mettre leurs chants d’amour en musique. MĂȘme dans la grisaille d’une vie ouvriĂšre de banlieue, chante-t-il dans Ma mĂŽme », il peut y avoir du soleil qui s’attarde » quand deux amants, retirĂ©s dans leur mansarde Ă  Saint-Ouen, se disent toutes le choses qui leur viennent / C’est beau comme du Verlaine / On dirait », avant de faire l’amour en secret ». Mais c’est encore Ă  Aragon qu’il emprunte les plus beaux poĂšmes pour les revĂȘtir de mĂ©lodies aussi somptueuses qu’on ne se lasse pas d’entendre C’est si peu dire que je t’aime », C’est toujours la premiĂšre fois », Aimer Ă  perdre la raison / à€ ne savoir que dire / à€ n’avoir que toi d’horizon ». Il faut avouer qu’Aragon est une mine de poĂȘmes d’amour. FerrĂ© a pris Elsa » Ă  qui il suffit de paraĂźtre en rattachant ses cheveux » pour qu’à ce geste touchant son amant renaisse et reconnaisse un monde habitĂ© par le chant ». Ferrat, lui, s’est emparĂ© de Que serais-je sans toi qui vins Ă  ma rencontre ? » Une femme peut-elle entendre d’un amant paroles d’amour plus sublimes ? L’union de deux ĂȘtres reste, envers et contre tout et tous, la seule promesse du bonheur accessible Ailleurs que dans les rĂȘves / Ailleurs que dans les nues ». Qui n’a pas entendu Ă  la vue de l’ĂȘtre aimĂ© qu’il retrouve aprĂšs une absence, crier en soi comme une vigie aprĂšs des jours d’errance sur le dĂ©sert des mers Terre, terre, voici / Ces rades inconnues. » ? C’est fou, on ne s’en Ă©tait pas rendu compte Ă  ce point, comme les chansons de Jean Ferrat ont pu non seulement accompagner toute une vie, mais en ont imprĂ©gnĂ© des instants prĂ©cieux sans le savoir. Il faut qu’il disparaisse pour s’en apercevoir. Pierre-Yves Chereul auteur du livre L’heure des infos » aux Ă©ditions Golias Articles similaires

Cest grĂące Ă  ce disque, introduit Ă  la maison par mes frĂšres et sƓurs, un peu Ă  l’insu de mes parents, que j’ai apprĂ©ciĂ© Jean FERRAT : mon pĂšre, admirateur du GĂ©nĂ©ral, ce que je comprends, n’aimait pas trop les idĂ©es de FERRAT. Ma mĂšre, c’est le souvenir que j’en ai, aimait les chansons d’amour de FERRAT : « c’est toujours la premiĂšre fois » notamment. Enfin enfin je te retrouve Toi qui n’avais jamais Ă©tĂ© Qu’absente comme jeune louve Ou l’eau dormante au fond des douves S’échappant au soleil d’étĂ©Tu peux m’ouvrir cent fois les bras C’est toujours la premiĂšre foisAbsente comme souveraine Qu’on voit entre deux haies passer O toi si proche et si lointaine DĂšs que l’amour file sa laine Entre nos doigts dĂ©saccordĂ©sTu peux m’ouvrir cent fois les bras C’est toujours la premiĂšre foisLa faim de toi qui me dĂ©vore Me fait plier genoux et bras Je n’aurais pas assez d’amphore Ni de mots encore et encore Pour y mettre son terme basTu peux m’ouvrir cent fois les bras C’est toujours la premiĂšre foisLa soif de toi par quoi je tremble Ma lĂšvre Ă  jamais dessĂ©chĂ©e Mon amour qu’est-ce qu’il t’en semble Est-ce de vivre ou non ensemble Qui pourra m’en dĂ©saltĂ©rerTu peux m’ouvrir cent fois les bras C’est toujours la premiĂšre foisL’amour de toi par quoi j’existe N’a pas d’autre rĂ©alitĂ© Je ne suis qu’un nom de ta liste Un pas que le vent sur la piste Efface avant d’avoir Ă©tĂ©Tu peux m’ouvrir cent fois les bras C’est toujours la premiĂšre fois DerniĂšre modification par Salve a Selva Sam, 11/12/2021 - 1445 traduction en italienitalien È sempre la prima volta In fine in fine ti ritrovo Tu che non eri mai stata Che assente come giovane lupa O l'acqua che dorme sul fondo della fossa Fuggendo dal sole d'estatePuoi aprirmi cento volte le braccia È sempre la prima voltaAssente come sovrana Che si vede passare tra due siepi O tu cosĂŹ vicina e cosĂŹ lontana Non appena l'amore fila la sua lana Tra le nostre dita scordatePuoi aprirmi cento volte le braccia È sempre la prima voltaLa fame di te che mi divora Mi fa piegare ginocchia e braccia Non avrĂČ abbastanza anfore NĂ© parole ancora ed ancora Per porre fine a questoPuoi aprirmi cento volte le braccia È sempre la prima voltaLa sete di te da cui tremo Il mio labbro per sempre inaridito Amore mio, che te ne pare SarĂ  vivere insieme o no Che me ne potrĂ  dissetarePuoi aprirmi cento volte le braccia È sempre la prima voltaL'amore di te da cui esisto Non ha altra realtĂ  Sono solo un nome della tua lista Un passo che il vento sulla pista Cancella prima che sia statoPuoi aprirmi cento volte le braccia È sempre la prima volta PubliĂ© par psq Mer, 08/12/2021 - 1923 L’auteure de cette traduction a demandĂ© une relecture. Cela signifie qu’il ou elle sera ravie de recevoir des remarques, corrections, suggestions, etc. Si vous avez des notions dans ces deux langues, n’hĂ©sitez pas Ă  ajouter un commentaire. deJean Ferrat et tous les albums de Jean Ferrat. Envoie-nous des paroles ActualitĂ©s du monde de la musique Les paroles des chansons des artistes Ă©mergents Jean Ferrat. 1.371. Albums Paroles AssociĂ©s. Albums. D'AUTRES CHANSONS. 01. A brassens 02. À brassens 03. A la une 04. À la une 05. A l'Ă©tĂ© de la saint martin 06. À l'Ă©tĂ© de la saint martin 07. A l'ombre bleue du
Cliquez sur les images pour les agrandir. à vendre dans Musique & Instruments Le vinyle 33 tours de Jean Ferrat, Potemkine et C'est toujours la premiÚre fois. Une édition collector RARE, et difficile à pochette présente la table alphabétique répertoriant tous les disques et les chansons de Jean Ferrat, et toutes les paroles des chansons figurant dans cet s'agit du volume 5, il date de 1965. Face A Potemkine. C'est si peu dire que je t'aime. Les belles étrangÚres. Je ne chante pas pour passer le temps. La voix lactée Face B C'est toujours la premiÚre fois. Le sabre et le goupillon. Raconte moi la mer. A l'été de la Saint-Martin. On ne voit pas le temps passé. Etat Pochette / disques VG+ trÚs bon état. Volume N°5. Réédition 1980. Label Disques Temey 2400401. Informations supplémentaires Vous aimez cette annonce ? Partagez-la ! Référence produit M127Il y a 2 photos disponibles pour cette de confiance attribué est TrÚs de particulier
Parolesde C'EST TOUJOURS LA PREMIÈRE FOIS par Jean Ferrat: Tu peux m'ouvrir cent fois les bras c'est toujours la premiÚre fois Cliquez ici maintenant!
Deux branches de tilleul entrent par la fenĂȘtre Le ciel cligne des yeux entre les feuilles vertes Ce qu'on est bien Quatre papillons blancs dansent la passacaille Un lĂ©zard se hasarde au-delĂ  des rocailles Ce qu'on est bien Dans ce pays de vent de genĂȘts de bruyĂšres Dans ce pays brĂ»lant de tendresse et colĂšre Ce qu'on est bien Seul le bruit du torrent dĂ©chire le silence Et tu dis mon amour nous avons trop de chance Dans un rai de soleil la fumĂ©e qui pirouette Au bout de tes longs doigts meurt une cigarette Ce qu'on est bien Et moi le saltimbanque et moi qui fais des signes A tes bras Ă  ta bouche Ă  tes jambes ma vigne Ce qu'on est bien Dans ce pays si riche dans ce pays si pauvre Qu'on apprend chaque jour Ă  devenir plus nĂŽtre Ce qu'on est bien Arbre parmi les arbres de la forĂȘt qui vibre Et tu dis mon amour nous sommes seuls et libres Paroles ajoutĂ©es par nos membres Ă©couter la playliste PAROLES DE CHANSONS SIMILAIRES PAROLES LES PLUS VUES
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ParoleMusique. Accords De Guitare. Musique Classique. Paix. Partition Jean Ferrat Les jeunes imbéciles REMISES: Marchands -30% . Les jeunes imbéciles. Guillaume Apollinaire Poeme. Jean Ferrat - Si je mourais là-bas Cours De Lecture. Chiens. Jean Ferrat, C'est toujours la premiÚre fois. Les Enfoires. Histoire De La Musique. Perdu. Aimer. Cartes De Baseball.

Enfin enfin je te retrouve, toi qui n'avais jamais Ă©tĂ© Qu'absente comme jeune louve ou l'eau dormante au fond des douves S'Ă©chappant au soleil d'Ă©tĂ© Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois Absente comme souveraine qu'on voit entre deux haies passer O toi si proche et si lointaine, dĂšs que l'amour file sa laine Entre nos doigts dĂ©saccordĂ©s Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois La faim de toi qui me dĂ©vore me fait plier genoux et bras Je n'aurais pas assez d'amphore, ni de mots encore et encore Pour y mettre son terme bas Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois La soif de toi par quoi je tremble, ma lĂšvre Ă  jamais dessĂ©chĂ©e Mon amour qu'est-ce qu'il t'en semble, est-ce de vivre ou non ensemble Qui pourra m'en dĂ©saltĂ©rer Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois L'amour de toi par quoi j'existe n'a pas d'autre rĂ©alitĂ© Je ne suis qu'un nom de ta liste, un pas que le vent sur la piste Efface avant d'avoir Ă©tĂ© Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois. L'Amour Est Cerise C'Est Si Peu Dire Que Je T'Aime Le Petit Trou Pas Cher Raconte-Moi La Mer Je Ne Suis Qu'Un Cri Mis À Part La LibertĂ© Est En Voyage Nuit Et Brouillard Dans Le Silence De La Ville Les Beaux Jours

Cest la premiĂšre fois,pour moi, que la mort d un artiste me fait le mĂȘme effet que la mort d un proche,qu il Ă©tait pour moi,en fait,il faut l avouer ! La mort de Brel,Brassens ou FerrĂ©,que,pourtant,j aimais aussi,ne m ont pas autant touchĂ© que celle de Ferrat. 6 ans aprĂšs,le manque est toujours lĂ ,impossible Ă  combler !
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Faut-il en rire ? » Ainsi reste-t-on attachĂ© Ă  la chanson du film de RenĂ© Allio, La vieille dame indigne » 1965 elle figurait sur le disque 33 tours qu’on a reçu en cadeau d’une classe de seconde, la premiĂšre annĂ©e oĂč l’on enseignait, en 1966. On avait Ă©tudiĂ© la nouvelle de Brecht, La vieille dame indigne » elle raconte le scandale suscitĂ© par cette mĂšre qui, aprĂšs la mort de son mari, perd la tĂȘte au point de s’ouvrir Ă  la vie comme jamais elle n’avait pu le faire jusqu’ici, en compagnie d’une jeune serveuse de bar. Faut-il pleurer, faut-il en rire ? » demandait Jean Ferrat devant ces femmes dont toute la vie se rĂ©sume / En millions de pas dĂ©risoires / Prise comme marteau et enclume / Entre une table et une armoire » ? Je n’ai pas le cƓur Ă  le dire / On ne voit pas le temps passer, » se contentait-il de rĂ©pondre. Ferrat Ă©tait venu dans l’annĂ©e chanter au cinĂ©ma les VariĂ©tĂ©s », Ă  Angers, avec Anne Sylvestre en premiĂšre partie. Je ne chante pas pour passer le temps » C’est Ă  la mĂȘme Ă©poque qu’on avait rencontrĂ© par hasard LĂ©o FerrĂ© aprĂšs un rĂ©cital et qu’on avait parlĂ© avec lui toute une nuit. On se souvient qu’il maugrĂ©ait contre Ferrat, non pour leur quasi homonymie mais contre la chanson que Ferrat venait d’écrire Je ne chante pas pour passer le temps ». LĂ©o FerrĂ© l’avait prise comme une gifle, car il venait, lui, de publier Je chante pour passer le temps / Petit qui me reste de vivre / Comme on dessine sur le givre / Comme on se fait le cƓur content / À lancer cailloux sur Ă©tang / Je chante pour passer le temps. » C’était un poĂšme d’Aragon. FerrĂ© comme Ferrat puisaient ensemble dans Le roman inachevĂ© » du poĂšte et c’était Ă  qui allait habiller ses vers ciselĂ©s des plus ravissantes mĂ©lodies. Qui serait assez insensĂ© pour les dĂ©partager ? Les Ɠuvres de l’esprit n’ont pas de prix, on finit par l’oublier avec tous ces concours Ă  la noix, palme, cĂ©sar et oscar imbĂ©ciles qui ne servent que d’argument d’autoritĂ© pour les vendre Ă  de plus imbĂ©ciles encore. FĂ©derico Garcia Lorca » et Un jour, un jour » C’est aussi une chanson de Ferrat qu’on a aux lĂšvres quand, pour la premiĂšre fois, au dĂ©tour d’un virage en venant de Guadix, apparaissent bruns et massifs les remparts de l’Alhambra et de l’Alcazaba de Grenade sur fond de sommets enneigĂ©s de la Sierra Nevada et ciel d’azur. Cela faisait une bonne dizaine d’annĂ©es qu’on entendait les guitares jouer leur sĂ©rĂ©nades / Dont les voix se brisent au matin. / Non jamais, je n’atteindrai Grenade / Bien que j’en sache le chemin. » Cet hymne Ă  Federico Garcia Lorca assassinĂ© par la Guardia Civil de Franco n’a cessĂ© d’accompagner les promenades qu’on a faites, deux ans aprĂšs la mort de Franco, dans les jardins du Generalife et de l’Alhambra, ou dans le lacis de ruelles de l’Albaicin, le quartier de maison blanches en face de la forteresse qu’on contemplait de la terrasse de Saint Nicolas. On se prenait Ă  y mĂȘler une autre chanson Un jour, un jour » qui Ă©voque aussi Grenade et Lorca qui s’est tu / Emplissant tout Ă  coup l’univers de silence / Contre les violents tourne la violence / Dieu le fracas que fait un poĂšte qu’on tue, » s’écrie Ferrat, avant de promettre dans son refrain qu’ un jour pourtant, un jour viendra couleur d’orange / Un jour de palme, de feuillages au front / Un jour d’épaules nues / OĂč les gens s’aimeront. / Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche. » Nuit et brouillard » On partageait alors cet optimisme la sauvagerie humaine, du moins le croyait-on, n’était pas inĂ©luctable pourvu qu’on sĂ»t en percevoir les racines pour les extirper. Nuit et brouillard » rappelait sur un rythme saccadĂ© de train sautant de rails en rails le gĂ©nocide nazi dont Ferrat vivait dans sa chair les sĂ©quelles puisque son pĂšre en est mort alors qu’il Ă©tait encore enfant. L’époque paraissait vouloir l’oublier un vent de frivolitĂ© soufflait alors sur une certaine chanson française les YĂ©yĂ©s rĂ©gnaient et les ondes baignaient dans un pastiche de sous-culture amĂ©ricaine. Ferrat Ă©tait prĂȘt, disait-il, Ă  twister les mots s’il fallait les twister / Pour qu’un jour les enfants sachent qui Ă©taient ceux que les Nazis avaient assassinĂ©s ». Potemkine » Potemkine », du nom du cuirassĂ© dont les marins se rĂ©voltent en 1905 pour ĂȘtre contraints de manger de la nourriture avariĂ©e quand les officiers se gobergent, cĂ©lĂšbre sans doute sur des roulements de tambours guerriers le rĂȘve d’une sociĂ©tĂ© alternative. Mais on ne pouvait s’empĂȘcher en l’écoutant de penser aussi Ă  d’autres marins, ceux de Cronstadt qui, en mars 1921, se sont dressĂ©s contre le nouveau pouvoir soviĂ©tique les bolcheviques ont Ă©crasĂ© leur rĂ©volte dans le sang. Une rĂ©volution prĂ©sentĂ©e comme une nouvelle aube de l’humanitĂ© pouvait donc dĂšs son commencement laisser craindre le pire par ses mĂ©thodes. J’entends, j’entends » Jean Ferrat n’était pas naĂŻf. Il met trĂšs tĂŽt en musique le poĂšme d’Aragon J’entends, j’entends ». C’est un cri de dĂ©sespoir devant l’indiffĂ©rence de ceux Ă  qui ses mots s’adressent. Il se sent si semblable Ă  eux pourtant, leur enfer », dit-il, est le sien. Mais tous ces hommes et femmes, pierres tendres tĂŽt usĂ©es » qui voudraient au ciel bleu croire / Comme l’alouette au miroir », n’entendent rien Tout se perd et rien ne vous touche, se plaint-il. Ni mes paroles ni mes mains / Et vous passez votre chemin / Sans savoir ce que dit ma bouche » Avoir Ă©tĂ© peut-ĂȘtre utile devient un rĂȘve modeste et fou / Il aurait mieux valu le taire, finit-il par convenir. / Vous me mettrez avec en terre / Comme une Ă©toile au fond d’un trou. » Jean Ferrat ne se fait pas trop d’illusion il a les yeux ouverts non seulement sur la violence des hommes mais sur l’indiffĂ©rence qu’on peut rencontrer y compris chez ceux qui la subissent, quand on veut la combattre. Ma mĂŽme » et Que serais-je sans toi ? » Que reste-t-il alors pour tenir et survivre ? L’amour qu’un homme et une femme peuvent se porter l’un Ă  l’autre et qui les soulĂšve au-dessus d’eux-mĂȘmes. Ils y puisent la force de leur rĂ©sistance. Ferrat n’a cessĂ© de solliciter les poĂštes connus ou inconnus qui l’entourent pour mettre leurs chants d’amour en musique. MĂȘme dans la grisaille d’une vie ouvriĂšre de banlieue, chante-t-il dans Ma mĂŽme », il peut y avoir du soleil qui s’attarde » quand deux amants, retirĂ©s dans leur mansarde Ă  Saint-Ouen, se disent toutes le choses qui leur viennent / C’est beau comme du Verlaine / On dirait », avant de faire l’amour en secret ». Mais c’est encore Ă  Aragon qu’il emprunte les plus beaux poĂšmes pour les revĂȘtir de mĂ©lodies aussi somptueuses qu’on ne se lasse pas d’entendre C’est si peu dire que je t’aime », C’est toujours la premiĂšre fois », Aimer Ă  perdre la raison / À ne savoir que dire / À n’avoir que toi d’horizon ». Il faut avouer qu’Aragon est une mine de poĂȘmes d’amour. FerrĂ© a pris Elsa » Ă  qui il suffit de paraĂźtre en rattachant ses cheveux » pour qu’à ce geste touchant son amant renaisse et reconnaisse un monde habitĂ© par le chant ». Ferrat, lui, s’est emparĂ© de Que serais-je sans toi qui vins Ă  ma rencontre ? » Une femme peut-elle entendre d’un amant paroles d’amour plus sublimes ? L’union de deux ĂȘtres reste, envers et contre tout et tous, la seule promesse du bonheur accessible Ailleurs que dans les rĂȘves / Ailleurs que dans les nues ». Qui n’a pas entendu Ă  la vue de l’ĂȘtre aimĂ© qu’il retrouve aprĂšs une absence, crier en soi comme une vigie aprĂšs des jours d’errance sur le dĂ©sert des mers Terre, terre, voici / Ces rades inconnues. » ? C’est fou, on ne s’en Ă©tait pas rendu compte Ă  ce point, comme les chansons de Jean Ferrat ont pu non seulement accompagner toute une vie, mais en ont imprĂ©gnĂ© des instants prĂ©cieux sans le savoir. Il faut qu’il disparaisse pour s’en apercevoir. Paul Villach À propos Articles rĂ©cents Parolesde chanson Jean Ferrat: C'Est Toujours La PremiĂšre Fois. Accueil NouveautĂ© Top 100 Artistes. Scroll Paroles Enfin enfin je te retrouve, toi qui n'avais jamais Ă©tĂ© Qu'absente comme jeune louve ou l'eau dormante au fond des douves S'Ă©chappant au soleil d'Ă©tĂ© Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois Absente comme souveraine qu'on voit entre deux haies passer O toi si proche et si lointaine, dĂšs que l'amour file sa laine Entre nos doigts dĂ©saccordĂ©s Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois La faim de toi qui me dĂ©vore me fait plier genoux et bras Je n'aurais pas assez d'amphore, ni de mots encore et encore Pour y mettre son terme bas Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois La soif de toi par quoi je tremble, ma lĂšvre Ă  jamais dessĂ©chĂ©e Mon amour qu'est-ce qu'il t'en semble, est-ce de vivre ou non ensemble Qui pourra m'en dĂ©saltĂ©rer Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois L'amour de toi par quoi j'existe n'a pas d'autre rĂ©alitĂ© Je ne suis qu'un nom de ta liste, un pas que le vent sur la piste Efface avant d'avoir Ă©tĂ© Tu peux m'ouvrir cent fois les bras, c'est toujours la premiĂšre fois. xHMjo.
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