En2020, le marché des glaces a enregistré une croissance de 10,3 % de son chiffre d'affaires à 1,26 milliard d'euros. Le marché des glaces a surperformé en 2020. Après une année 2019 en
Les fabricants français de surimi font actuellement face à une hausse historique des cours du Colin d'Alaska, en raison d'une demande croissante mondiale pour cette espèce. Il est désormais difficile pour ces entreprises d'assumer cette hausse spectaculaire. Elles demandent donc aux distributeurs de tenir compte de cette situation dans leurs prix d' fabricants français de surimi, n°1 en Europe, avec près de 40 % de la production, sont aujourd'hui dans une situation très difficile. Ils font face à une hausse historique des cours du Colin d'Alaska, qui représente près de 95 % de leurs approvisionnements en chair de poisson ; celle-ci constitue la matière première principale du surimi, et représente selon la situation propre de chaque opérateur, de 40 à 60 % de son coût de production. La croissance de la demande mondiale pour cette espèce, couplée à une parité euro / dollar défavorable, a fait grimper les cours du Colin d'Alaska de + 21 % à +25 % sur les 24 derniers mois. Asphyxiées, les entreprises de surimi ne sont aujourd'hui pas en mesure d'assumer seules cette hausse spectaculaire. Dans l'esprit de la loi égalim et dans le cadre des négociations commerciales de 2020, elles demandent aux distributeurs de tenir compte de cette situation dans leurs prix d'achat. Il en va de la viabilité de leurs activités et de leur capacité à proposer, de façon pérenne, des btonnets de surimi pour répondre aux attentes des consommateurs, sans compter la capacité à investir pour innover et exporter. Un marché mondial sous tension La demande asiatique en chair de poisson, matière première principale du surimi, associée à la demande en filets de colin d'Alaska surgelés pour la fabrication de plats cuisinés ou de panés de poissons, se combinent aujourd'hui à une pêche mondiale stable pour cette espèce. Comme pour beaucoup de poissons, le rapport entre l'offre et la demande de Colin d'Alaska se trouve déséquilibré, entraînant la hausse des cours et le bouleversement des équilibres économiques existants. Un appel à l'esprit des états Généraux de l'Alimentation pour des entreprises en grande difficulté Face à cette situation très difficile, les fabricants de surimi alertent tous les acteurs de la filière dans l'esprit de la Loi égalim, ils les appellent à la solidarité et à la responsabilité collective pour faire face à ces surcoûts. En particulier, ils demandent aux distributeurs de prendre en compte cette situation en répercutant la hausse dans leurs prix d'achat. Sans cette prise en compte, les entreprises du secteur pourraient avoir des difficultés à s'approvisionner, produire, investir, innover et exporter. Il est important de rappeler que ce secteur est composé de PME qui participent activement à la vie économique des régions où elles sont implantées. La France championne d'Europe de la production et de la consommation de surimi La France figure en tête des pays européens producteurs de surimi et compte 4 entreprises fabricantes. En 2018, leur millier de collaborateurs en ont fabriqué près de 46 500 tonnes pour un chiffre d'affaires de 172 millions d'euros. Les deux autres principaux pays européens producteurs sont l'Espagne et la Lituanie qui en ont respectivement préparé 36 000 tonnes et 35 000 tonnes en 2018. La France est également n°1 de la consommation de surimi en Europe, avec plus de 48 000 tonnes vendues sur le marché national en 2018, devant l'Espagne 42 000 tonnes et l'Italie 13 300 tonnes.
évaluéesà 13 600 tonnes et 97 millions d’euros en 2020. Elles sont constantes en volume depuis dix ans, bien que leur valeur soit croissante pour cette même période (+ 30 % en dix ans). Les importations sont en forte augmentation (+ 51 % en volume et + 76 % en valeur en dix ans) atteignant 49420 tonnes et 212 millions d’euros en 2020
L’Agence Bio a tenu le 9 juillet sa traditionnelle conférence de presse annuelle. L’occasion pour Laure Verdeau et Philippe Henry, respectivement directrice et président de l’Agence Bio, de faire le point sur l’évolution du marché et de la production biologique en France. Circuits Bio revient sur les 10 éléments à retenir. Laure Verdeau, directrice de l'Agence Bio 13,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires, en croissance de 10,4 %En 2020, la consommation de produits bio en France a dépassé les 13 milliards d’euros de chiffre d’affaires, suivant une progression de 10,4 % par rapport à 2019. Le montant dépensé par les Français pour l’achat de produits estampillés AB a plus que doublé en cinq ans. Crise sanitaire oblige, la consommation de produits bio s’est très majoritairement concentrée à domicile 96 %.188 € par an et par habitantLes Français ont dépensé en moyenne près de 190 € pour l’achat de produits bio. La consommation de produits bio en France représente 6,5 % des dépenses alimentaires des ménages.+ 30 % pour les surgelésParmi les plus belles dynamiques observées dans les ventes de produits bio, les bières et les surgelés ont réalisé de très beaux scores avec des croissances respectives de 33 % et de 30 %. L’épicerie salée et sucrée, reste la principale catégorie avec 31 % du chiffre d’affaires des produits bio en France, suivie des fruits et légumes frais 17 % et de la crèmerie 15 %. + 1 pt de part de marché pour le réseau spécialiséComme nous l’évoquions dans un précédent article, la crise sanitaire semble avoir rebattu les cartes dans la distribution. Si les circuits généralistes demeurent, et de loin, le principal canal de distribution avec 55 % des ventes totales, le réseau spécialisé bio a gagné un point de part de marché l’an passé. Laure Verdeau l’explique par une politique d’ouverture dynamique des principales % de produits importésCocorico ! Malgré la hausse de la demande en produits bio, le taux d’importation reste stable, à 33,5 % en 2020, contre 33,1 % en 2019. Cette part tombe à 21 % si on exclut les produits tropicaux, tels que les bananes, le café ou le cacao, qui ne peuvent pas être produits sur le territoire. Philippe Henry, président de l'Agence Bio 9,5 % des surfaces cultivées en FranceLa production biologique représente près d’un hectare sur dix en France, soit 2,55 millions d’hectares en incluant les surfaces certifiées et en conversion. A noter que cette part est toutefois encore très loin des objectifs du Plan Ambition Bio du gouvernement, lequel prévoyait d’atteindre 15 % des surfaces labellisées AB en 2022.+ 20 % de surface bio dans le Grand-EstPeu converti à ce mode de production, les départements du nord et de l’est rattrapent leur retard en matière d’agriculture biologique. L’Agence Bio a observé une progression du nombre de fermes bio de 20 % dans le Grand-Est et de + 13 % dans les Hauts-de-France. L’Occitanie, la Nouvelle-Aquitaine et l’Auvergne Rhône-Alpes restent les trois premières régions de production avec plus de la moitié des surfaces bio en % de l’emploi agricoleL’agriculture biologique représente près d’un emploi agricole sur cinq. Cette proportion considérable traduit la forte dynamique d’emploi de la bio alors que ce mode de production ne représente que 12 % des exploitations agricoles en France. Au total, plus de 79 000 opérateurs fermes, entreprises et distributeurs sont certifiés bio sur le % des légumes secs produits en bioLes protéines végétales sont le fer de lance de l’agriculture biologique dans l’Hexagone. 46 % des légumes secs lentilles, pos chiches, pois cassés, etc. cultivés en France sont certifiés AB. Deux raisons à cette forte proportion les légumineuses sont intéressantes d’un point de vue agronomique pour enrichir le sol. Elles le sont aussi d’un point de vue nutritionnel car riches en protéines. La France, 1er pays producteur en EuropeSi la France demeure le deuxième pays consommateur de produits bio en Europe, derrière l’Allemagne, elle vient de passer en 2020 sur la première marche du podium en terme de surfaces agricoles. D’après l’Agence bio, elle a grillé l’Espagne, indétrônable depuis plus d’une décennie, qui enregistrait 2,35 millions d’hectares cultivés en bio en 2019.
Ensemble 100,0. Parts de marché du commerce de détail selon la forme de vente en 2020 : produits non alimentaires. Forme de vente¹. Parts de marché (en % de la valeur TTC) (p) Magasins alimentaires spécialisés et petites surfaces d'alimentation générale². 0,6. Grandes surfaces d’alimentation générale. 13,9.
Économie La vente de Captain Iglon à l’américain Nomad pour 2,6 millions d’euros, s’inscrit dans la recomposition de ce marché très atomisé Article réservé aux abonnés Captain Iglo, connu en France pour ses bâtonnets de poisson pané, va passer sous pavillon américain. Le leader des surgelés en Europe, la société Iglo marques Iglo, Bird Eyes et Findus en Italie change, en effet, de mains. Son propriétaire, le fonds d’investissement britannique Permira, a annoncé, lundi 20 avril, la cession de cette activité à l’américain Nomad. Le montant de la transaction est estimé à 2,6 milliards d’euros. A l’issue de l’opération, Permira devrait conserver 9 % du capital de Nomad. Cette cession n’est pas en soi une surprise. Permira avait déjà tenté de mettre sur le marché Iglo en 2012. Sans succès à l’époque. L’offre déposée conjointement par les fonds Blackstone Group et BC Partners n’avait pas été jugée suffisante financièrement. Elle plafonnait à 2,5 milliards d’euros, quand son propriétaire en attendait 2,8 milliards. Objectif ambitieux Permira avait alors recruté en 2013 un nouveau patron, Elio Leoni Sceti, ex-dirigeant d’EMI Music, avec un objectif affiché plus qu’ambitieux doubler le chiffre d’affaires d’Iglo d’ici à 2020. Un calendrier qu’il n’aura pas à respecter puisque son départ vient d’être annoncé concomitamment au changement d’actionnaire. Permira était entré sur le marché du surgelé, profitant de la décision du géant anglo-néerlandais Unilever de se délester de cette activité. Il avait ainsi avalé les marques Iglo et Bird Eyes en 2006 pour 1,7 milliard d’euros. Puis Findus en Italie, en 2010, pour 800 millions d’euros. Un temps, le nom de Permira avait même été évoqué comme un éventuel repreneur de Findus Europe du Sud, dont la France, détenue alors par un autre fond d’investissements, Lion Capital. Finalement l’offre de Nomad a été jugée suffisamment attractive pour que Permira concrétise son projet de désengagement du surgelé. Si cette société américaine n’était guère connue avant cette acquisition de poids, ses deux promoteurs, Martin E. Franklin et Noam Gottesman le sont. Le premier a créé le groupe Jarden, en multipliant les acquisitions de marques grand public, à l’exemple de Spontex et de Mappa en France. Jarden pèse plus de 7 milliards de dollars 6,56 milliards d’euros. Le second a fait fortune dans des fonds spéculatifs. Ensemble, ils ont créé Nomad et l’ont introduite en Bourse à Londres il y a un an, avec l’objectif de faire des emplettes dans le secteur agroalimentaire, en levant 500 millions de dollars. Rebaptisée Nomad Foods, elle devrait faire son entrée à la Bourse de New York. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Sila météo atypique a impacté le marché cette saison, l’offre continue de booster le rayon des surgelés. La profondeur des gammes et la démarche d’innovation menée par l’ensemble des industriels permettent aux glaces de poursuivre depuis 10 ans leur croissance de fond : +2,9% de chiffre d’affaires, en moyenne par an, bien au-delà de la moyenne annuelle du
Le groupe agroalimentaire Bonduelle démarre la recherche d’investisseurs, voire d’acquéreurs, pour ses activités de légumes en conserve et surgelés aux États-Unis et au Canada. Des activités regroupées dans une business unit baptisée Ball, qui compte près de 3 000 salariés et pèse 615 millions d’euros dans le chiffre d’affaires du groupe nordiste, qui s’établit à 2,7 milliards d’euros sur l’exercice 2020/2021 + 1,6 % par rapport à 2019/2020, hors taux de change. À ce stade, rien n’est exclu partenariats, nouvelle organisation actionnariale, cession totale, etc. "Divers scenarii sont à l’étude. Nous retiendrons la meilleure solution pour poursuivre la croissance de Ball et pour le groupe", annonce Guillaume Debrosse, directeur général de Bonduelle. Un marché américain concurrentiel L’activité de Ball est restée stable sur cet exercice 2020/2021 par rapport au précédent. Sur ce marché de la conserve et du surgelé, le groupe nordiste occupe une "position industrielle dominante au Canada, souligne Guillaume Debrosse. Les perspectives de développement se situent aux États-Unis, mais nos outils de production y sont saturés et d’autres acteurs sont présents. Pour continuer à faire de la croissance, il faut investir." Ces investissements, le groupe nordiste ne souhaite pas les assumer seul. "Il s’agit d’investissements avec un retour garanti, mais importants. Il faudrait par exemple acquérir des entrepôts frigorifiques, dont le prix avoisine les 20 millions de dollars", précise-t-il. Cette future cession de Ball, qu’elle soit totale ou partielle, ne marque pas un désintérêt du groupe pour l’Amérique du Nord. Bonduelle y possède une autre business unit, dédiée aux activités de frais, qui représente 31 % de l’ensemble des activités outre-Atlantique. Elle affiche un chiffre d’affaires de 668 millions d’euros mais est en déficit, en raison du manque de main-d’œuvre, des invendus et maladies qui perturbent les approvisionnements, de l’inflation et de surcoûts logistiques liés à la crise. Elle fait donc l’objet "d’un plan musclé de redressement", indique Grégory Sanson, directeur financier du groupe Bonduelle. Une source de financement Cette opération va permettre au groupe de financer ses priorités stratégiques, comme de dynamiser ses marques propres, tombées à 47 % du chiffre d’affaires en 2020/2021 contre plus de la moitié sur les précédents exercices. Cela permettra aussi de financer la démarche RSE Bonduelle a d’ailleurs souscrit un crédit revolving ou renouvelable de 400 millions d’euros pour soutenir les actions en vue d’obtenir la certification "B Corp" octroyée aux entreprises répondant à des exigences sociétales et environnementales, de gouvernance et de transparence d’ici 2025. Cette décision autour de Ball intervient dans un contexte compliqué pour Bonduelle, marqué par la crise sanitaire et une campagne agricole 2021 délicate. Le groupe "reste en bonne santé financière, mais avec des ressources plus limitées, notamment pour faire des acquisitions", affirme Grégory Sanson. Les taux de change "privent le groupe de 123 millions d’euros de chiffre d’affaires et de 4 millions d’euros de rentabilité opérationnelle courante". Le résultat net, lui, progresse tout de même de 4,6 %, pour s’établir à 57,1 millions d’euros.
etinnovations des différents segments du marché Édition été 2020 - Marché français ÉTUDE DE MARCHÉ . Les plats préparés ou prêts à l'emploi offrent une praticité dans l’élaboration des repas. Cet avantage stratégique a entraîné une augmentation de la demande et par conséquent de l’offre de plats préparés, en particulier parmi la population active qui consacre de moins
Pourriez-vous présenter Écomiam en quelques mots ?Écomiam est le numéro 3 de la distribution spécialisée de produits frais surgelés. C’est une aventure entrepreneuriale familiale qui a débuté en 2009 en Bretagne. Nous avons aujourd’hui 27 points de vente, pour l’essentiel en Bretagne et en Pays de Loire, et nous disposons d’une offre click and collect » et d’un site de vente en ligne assurant la livraison en France métropolitaine en 48 h. Nous avons construit un modèle qui vise à s’approcher au plus près des préoccupations de nos clients sur la qualité et le prix des produits qu’ils consomment.• Votre entreprise repose sur un corpus de valeurs et d'engagements très précis. Pouvez-vous nous en dire plus ?En effet, ce qui nous différencie de nos concurrents, c’est que chez écomiam chaque produit vendu est 100 % français, si possible local, que chacun puisse le vérifier grâce à la facilité de la traçabilité, mais aussi que la vente profite à tous les acteurs de la chaîne, du producteur au consommateur. Nous avons mis en place une méthode de transparence sur les prix chaque étiquette indique ce qui constitue le prix final d’un produit. De plus, nous cherchons à être accessibles au plus grand nombre. Cela passe par un marketing réduit à son minimum, chez nous pas d’emballage superflu et pas de publicité. Cette économie est répercutée directement sur les produits et c’est aussi le client qui est gagnant à la fin. De plus, moins de marketing nous permet de réduire notre impact environnemental, puisque plus de marketing sur nos produits impliquerait plus d’emballage. • Sur quel marché évolue aujourd’hui Écomiam ?Nous évoluons sur le marché de la distribution de produits surgelés dans lequel nous avons des concurrents très identifiés auprès du public tels que Picard et Thiriet, respectivement numéro 1 et 2 du secteur, mais avec lesquels nous avons des différences en termes de positionnement des produits bruts à cuisiner, de qualité et au juste prix. Nous sommes les seuls à avoir fait ces choix audacieux, là où nos concurrents sont plutôt reconnus comme traiteurs du surgelé » avec une offre importante de plats préparés. Le marché français des produits surgelés à domicile est de l’ordre de 7 milliards d’euros par an. Nous avons la conviction que notre modèle a une belle place à y prendre. • À quelle stratégie répond la décision de votre introduction en bourse ?Depuis 2009, nous avons travaillé à faire aboutir notre modèle et nous savons aujourd’hui que les consommateurs y sont sensibles. Nous souhaitons donc consolider notre place de numéro 3 et commercialiser nos produits auprès de l’ensemble des Français, ce qui passe notamment par l’élargissement de notre réseau. Concrètement, notre objectif est l’ouverture de 20 nouveaux magasins par an d’ici fin 2025, soit un total de 125 points de vente. La bourse est également un vecteur qui permet d’accroître notre notoriété et ainsi augmenter la fréquentation de nos magasins tout en préservant notre indépendance et nos valeurs. • Quelles sont vos perspectives de croissance ?L’exercice 2020 qui se termine fin septembre est déjà bien orienté puisque nous devrions être à plus de 22 millions d’euros de chiffre d’affaires avec un résultat d’exploitation supérieur à 250 K€. Nos ambitions à 5 ans sont claires un chiffre d’affaires multiplié par 5 pour atteindre 110 millions d’euros en 2025, ce qui devrait conduire à un résultat d’exploitation de 7 millions d’euros. Soit une marge opérationnelle de 6 %. La souscription des titres à cette introduction en bourse est proposée sur EasyBourse aux détenteurs de PEA, PEA PME-ETI, et Compte-Titres. La souscription se fait depuis l’espace client en cliquant ici.
Consommation Surgelés : crevettes et poissons panés plébiscités en 2020. Le surgelé a été plébiscité en 2020 et le rayon marée n’a pas dérogé à la règle. Les achats des ménages de produits de la mer surgelés pour leur consommation à domicile ont ainsi progressé de 13 % par rapport à 2019, relaie FranceAgriMer en s
Publié le 15/05/2020 à 1851, Mis à jour le 15/05/2020 à 1857 Les produits surgelés ont bénéficié du confinement. JOEL SAGET / AFP Les produits surgelés ont connu une croissance de 30% en mars et en avril, surpassant les conserves et même les produits frais, plus difficiles à stocker. Trouver des idées de repas pendant les deux mois de confinement a parfois relevé du défi. Pour éviter de manger tous les jours la même chose, les Français ont largement plébiscité les produits lire aussiÉlectroménager, plein air, décoration ce qu'achètent les Français depuis le déconfinementEn mars et avril, ces produits ont connu une hausse maintenue de 30%. Une croissance qu'on retrouve chez les magasins spécialisés, Picard en tête, avec une progression de 28% sur les quatre premières semaines de confinement. Le surgelé a même surpassé le frais à l'image des cordons-bleus qui ont connu une croissance 2,5 fois plus forte qu'au rayon frais +60% contre +24%. De même pour les légumes cuits mais aussi la viande +55% contre + 26% et les pizzas + 21% contre +4%. Un phénomène qui ne date pas du confinement, note Nicolas Léger, Directeur Analytique chez Nielsen qui relève une routine de plus en plus présente de ces produits En 10 ans la part des produits du réfrigérateur dans la consommation a progressé de près de 6 points, au détriment de ceux du placard».D'autant que les produits surgelés ont offert un atout indéniable pendant le confinement où l'achat des courses était moins fréquent qu'en temps normal ils se préservent longtemps. C'est également le cas des conserves mais celles-ci ont connu une hausse beaucoup moins significative. En effet, si les premières semaines du confinement ont joué en faveur des conserves du rayon épicerie, stockées en masse par les Français, il n'empêche que ces derniers ont davantage puisé dans leur réserve de produits surgelés par la suite», note le cabinet Nielsen. Cette tendance à consommer des produits frais explique sans doute en partie l'appétence des produits surgelés au détriment des conserves stockées dans les placards», précise Nicolas stockage plus contraignantToutefois, la capacité de stockage dans les congélateurs des Français reste limitée. Seulement 27% ont vraiment stocké et fait des réserves de produits surgelés salés, contre 53% qui ont déclaré avoir fait des réserves de conserves. Si seuls 8% des ménages n'ont pas de congélateurs, les consommateurs doivent aussi faire avec l'espace de stockage limité dans leur congélateur - un stockage qui est plus contraignant que pour des conserves ou des pâtes, et qui peut susciter un retour plus rapide en magasin», note Adèle Evrard, consultante succès des produits surgelés pourrait se poursuivre au-delà du confinement. Cela dépendra surtout de la fréquence à laquelle les consommateurs se rendront en magasin - si elle reste en deçà de l'avant-confinement, la reprise du surgelé sera durable, ce qui pourrait inciter les hypermarchés et supermarchés à leur accorder plus de surface en points de vente», analyse Daniel Ducrocq, Directeur des Services à la Distribution.
Résultat les ventes en ligne ont doublé sur la semaine du 6 au 12 avril, faisant gagner plus de 3 points de parts de marché à ce circuit depuis le début du confinement. Il représente à court terme environ 10% du marché des produits de grande consommation ( plus de 10% début avril ), un niveau record pour ce circuit qui était encore à moins de 6% en 2019.
Publié le 03 février 2018 à 00h00 Modifié le 03 février 2018 à 06h13 As de la conservation longue durée, le froid négatif s'est rendu indispensable à notre alimentation et les Français consacrent un budget important au remplissage de leur congélateur. Les investigations scientifiques en cours laissent présager de belles perspectives d'innovations. 1. Un budget de 220 euros par an. Les Français ne sont pas en froid avec les produits surgelés. Bien au contraire. En moyenne, ils dépensent plus de 220 euros par an dans ce rayon. Il s'agit du plus gros budget de l'univers frais libre-service après la crémerie », note l'Alliance grand froid, collectif qui réunit les différentes organisations professionnelles en lien avec le surgelé. Parmi les produits vedettes, arrivent en priorité les aliments à base de pommes de terre 20,2 % suivis des légumes 19,1 %, la poissonnerie et les entrées. En 2016, les produits apéritifs ont connu une progression de 7,6 %. La vente en ligne et les supermarchés profitent de cet engouement. 2. Une offre qui s'étoffe. Légumes, poissons, fruit de mer, viandes, plats préparés, glaces ce sont plus de références qui sont proposées au consommateur toute l'année. L'avantage est de pouvoir se jouer des saisons. Comme pour les produits frais l'innovation va bon train dans le domaine des aliments surgelés. L'offre s'est enrichie récemment de produits sans gluten, ou encore d'aides alimentaires qui permettent d'assembler entièrement des plats. Les professionnels annoncent l'arrivée prochaine de nouvelles références vegan ou encore bio. 3. Réduire l'impact environnemental. Les innovations autour du grand froid sont loin d'être terminées. On en est aujourd'hui à la quatrième génération des fluides frigorigènes, une cinquième va lui succéder et se généraliser d'ici 15 ans. Pour les acteurs du froid, l'objectif est surtout de réduire l'impact environnemental et la consommation d'énergie. 4. La salade, enjeu du futur. On attend aussi des nouveautés dans les assiettes. Les chercheurs se penchent notamment sur la surgélation de la salade, sans détériorer son aspect et sa texture. La salade est un des enjeux du futur », notent les professionnels. 5. Surgélation ou congélation ? La surgélation est un procédé industriel qui consiste à utiliser une température très basse aux alentours de -40 degrés pour refroidir le produit et ensuite de stabiliser cette température à -18 degrés. La congélation est la version domestique de la surgélation avec un refroidissement moins rapide à une température moins froide. Il existe plusieurs techniques la surgélation par contact, utilisée par exemple pour les poissons en filets. Disposés sur des plaques métalliques, ces produits parcourent un tunnel ou la température est inférieure à -37 degrés. Il y a aussi la technique par circulation d'air forcé pour les légumes par exemple ; la méthode de l'immersion, où les produits, comme les cuisses de poulets, sont plongés dans une saumure liquide extrêmement froide. Pour les plats élaborés ou les crustacés, on peut aussi avoir recours à l'IQF individually quick frozen. Dans ce cas, les aliments surgèlent au contact de gaz liquide comme l'azote. Une exposition à Paris Intitulée Froid », l'exposition se déroule jusqu'au 26 août 2018 à la Cité des sciences et de l'industrie.
Cettestatistique montre les ventes de produits surgelés et glaces en valeur en France entre décembre 2018 et décembre 2019, par catégorie de produits, en millions d'euros.
Agence bio réservé aux abonnés En 2020, le bio représente 6,5 % de la dépense alimentaire des ménages français. © Stéphane LeitenbergerMalgré une année compliquée avec la crise sanitaire, le marché de l’agriculture biologique continue sa croissance et atteint les 13,2 milliards d’euros, alors que les conversions continuent de progresser. Voici les chiffres pour 2020, présentés par l’Agence bio. Les chiffres de 2020 de la consommation et de la production bio ont été rendus publics par l’Agence bio le 9 juillet 2021. Malgré une année atypique, une année Covid, la croissance du bio reste à deux chiffres », s’est réjouie Laure Verdeau, directrice de l’Agence bio.+10,4 % pour la consommation des ménagesLe marché du bio français a atteint 13,2 milliards d’euros en 2020, soit +10,4 % par rapport à l’an passé. L’agriculture biologique représente ainsi 6,5 % de la dépense alimentaire des la restauration hors domicile a chuté de 21 % par rapport à l’an dernier à la suite des confinements, la consommation à domicile a augmenté de 12,2 %. Les produits à longue conservation enregistrent la meilleure croissance, notamment les produits surgelés +30 %. Le signe que le bio entre dans le quotidien des ménages », a souligné Laure drives ont gagné trois points par rapport à l’an dernier et les acheteurs se sont davantage tournés vers les circuits courts pour consommer bio. Cependant, l’achat en GMS reste majoritaire 55 %.Les grandes cultures se mettent au bioDu côté de la production, l’agriculture biologique compte 53 000 producteurs en cours de conversion ou convertis en 2020, contre 47 000 en 2019. Les producteurs bio représentent 12 % des agriculteurs français, une part qui a triplé en l’espace de dix bio recouvre aussi 9,5 % de la SAU française, un pourcentage encore loin de l’objectif de 15 % de SAU fixé par le plan Ambition bio pour 2022, a souligné Philippe Henry, président de l’Agence bio. Néanmoins, les surfaces en grandes cultures bio ont été multipliées par 2,2 en l’espace de cinq ans. Pour 2020, ce sont 95 000 nouveaux hectares qui sont entrés en première année de conversion. Aujourd’hui, la bio est partout en France, a expliqué Philippe Henry. Alors que les Hauts-de-France étaient en retard sur le bio, ils rattrapent leur retard ». Avec +13 %, il s’agit de l’une des régions qui enregistre la plus forte progression en surfaces France, moteur de la consommation européenneLa France tient la première place des surfaces bio européennes et enregistre également la plus forte croissance. En matière de consommation, Français et Allemands représentent à eux seuls 58 % de la consommation européenne en produits la hausse de la demande enregistrée en 2020, la France continue d’importer un tiers des produits bio. 78 % des légumes bio vendus en France sont d’origine hexagonale », a tenu à préciser Laure Verdeau.> À lire aussi Agence bio 15 % de nouveaux consommateurs bio en 2020 30/06/2021
Cequ’il faut retenir De mai 2019 à mai 2020, les ventes des produits surgelés salés sont reparties à la hausse, en raison de la crise sanitaire et du confinement.
Naturalia et Picard lancent des opérations pour préserver le pouvoir d’achat des consommateurs La rentrée sera sous le signe des restrictions budgétaires. Pour accompagner les consommateurs, des distributeurs, à l’instar de Picard et de Naturalia, mettent en place des opérations de ... 24 août 2022 à 1103 POUVOIR D'ACHAT , NATURALIA Les spécialistes tirent l'offre de surgelés salés vers le haut Tandis que la grande distribution peine à enregistrer de la croissance sur le marché des surgelés salés, les spécialistes mènent des stratégies multi-horizons qui s’avèrent payantes. Créatifs... 27 mars 2022 à 1200 , SURGELÉS SALÉS , GRANDE DISTRIBUTION Surgelés Ferrero fait fondre les Français avec ses glaces Dossier Avec son arrivée sur les bâtonnets glacés, en mars, Ferrero a séduit les consommateurs. En six mois, la gamme a généré 24?millions d’euros de chiffre d’affaires. Glaces Ferrero ... 10 décembre 2021 à 1137 FERRERO , GRANDE CONSOMMATION Menacée, la filière des légumes en conserve et surgelés s’engage dans une démarche RSE La filière des légumes en conserve et surgelés veut consolider sa démarche RSE pour assurer sa pérennité menacée par la destruction de valeur et les aléas climatiques. Après une... 19 novembre 2021 à 1415 INDUSTRIELS , EPICERIE Les fêtes de fin d’année représentent 25 % de l’activité de Picard La saison festive est une période clé pour l’enseigne de produits surgelés Picard, qui génère 25 % de son chiffre d’affaires de mi-novembre à début janvier. Pour soutenir et développer son... 25 octobre 2021 à 1616 PICARD , CATHY COLLART [Dossier] Surgelés salés Une refonte gagnante Pendant la crise sanitaire, les consommateurs se sont de nouveau tournés versles surgelés salés, dont les performances n’étaient plus au rendez-vous depuisdes années. Pour fidéliser les... 17 août 2021 à 2300 SURGELÉS SALÉS , LABEL ROUGE Le marché halal bat ses propres records Charcuterie, traiteur, épicerie, surgelés, liquides... Tous les segments ont profité du contexte sanitaire. Les produits halal ont réussi durablement à s’installer en supermarchés et dans les... 17 mars 2021 à 0000 MARCHÉS , VIANDE HALAL Carrefour revisite l’oeuf de Pâques Pour les fêtes de Pâques, Carrefour propose avec sa marque des oeufs glacés. Carrefour revisite l’oeuf de Pâques et présente son oeuf glacé origami Carrefour Extra, aux saveurs gourmandes... 18 février 2021 à 1808 DISTRIBUTEURS , PÂQUES Frais LS Saurisseries sur la voie du "made in France" Dossier Challengé par la truite, le saumon fumé renforce ses garanties de qualité. Confrontés à des problèmes récurrents de disponibilité, les acteurs sécurisent leurs filières. Ce qu’il faut... 11 novembre 2020 à 1137 CONSOMMATEURS , SAUMON Frais LS Surgelés un nouveau souffle pour le secteur Dossier Les ventes de surgelés ont été très dynamiques pendant le confinement. De quoi conforter les choix engagés par les industriels sur les aspects environnementaux et nutritionnels. Ce... 11 novembre 2020 à 1049 FRAIS LS , CARTE D'OR [Dossier] Frais Dossier Chiffres 44,22 Mrds€ le chiffre d’affaires du frais LS, à + 4,9 % +3,2% l’évolution en volume +1,6% L’évolution des prix 44,3% la part des MDD, à + 0,8 pt... 11 novembre 2020 à 0921 FROMAGES , FRAIS LS Fêtes de fin d'année un réveillon classique Dossier Quelle année ! Pour célébrer Noël et la fin de 2020 en famille et avec les amis, on se fera plaisir, comme à chaque fois, et peut-être même un peu plus, histoire de tout oublier ! Autour de la... 13 octobre 2020 à 2300 BOISSONS ALCOOLISÉES , FÊTES COMMERCIALES Les glaciers s'activent pour désaisonnaliser les ventes Le marché des glaces de fin d’année a signé de belles performances en la saison qui s’annonce, les industriels ont travaillé leurs gammes festivesmais ils s’attellent surtout à trouver... 8 septembre 2020 à 2300 SURGELÉS, GLACES , SURGELÉS SUCRÉS Surgelés salés des indicateurs en forte progression Ce qu’il faut retenir De mai 2019 à mai 2020, les ventes des produits surgelés salés sont reparties à la hausse, en raison de la crise sanitaire et du confinement. Les... 19 août 2020 à 2300 SURGELÉS SALÉS , VIANDE DE BOEUF Surgelés salés une embellie à consolider La crise sanitaire et le confinement ont fait revenir les consommateurs dans le linéaire des surgelés salés. Une situation inédite depuis le scandale du horsegate », en 2013. Les industriels... 19 août 2020 à 2300 SURGELÉS SALÉS , ULTRA FRAIS Picard commercialisé chez Marks & Spencer en Grande-Bretagne Le leader de la distribution de produits surgelés en France, Picard, vient d’annoncer un partenariat avec la chaine de magasins Marks & Spencer pour commercialiser une trentaine de références en... 17 juillet 2020 à 0933 PICARD , DISTRIBUTION Picard poursuit la modernisation de son modèle Le leader de la distribution de produits surgelés, qui a changé d’actionnaire fin 2019, se lance des objectifs de taille pour 2020. Notamment pour le développement de son parc et son arrivée... 22 janvier 2020 à 0000 PICARD SURGELÉS , FRAIS FROID Surgelés une arrivée tardive Dossier Le grand froid est l’un des secteurs qui a le moins investi sur le bio. Les consommateurs ne se tournent pas naturellement vers ce type d’offre, ce qui explique l’arrivée tardive des grands... 20 novembre 2019 à 0000 BONDUELLE GROUPE , MADE IN FRANCE Surgelés une touche de luxe Dossier Au rayon des surgelés, les innovations sont toujours très importantes dans les desserts et les bûches glacées. Pour l’édition 2019, on assiste aussi à une montée en gamme des produits salés ... 15 octobre 2019 à 2300 TRAITEUR ET FRAIS NON LAITIER , SURGELÉS, GLACES Les glaciers soignent leur offre de fin d'année Après une saison festive 2018 perturbée par le retrait des bûches Carte d’Or, la période de fin d’année 2019 devrait retrouver un nouvel équilibre. Unilever et Froneri innovent pour suivre les... 10 septembre 2019 à 2300 SURGELÉS, GLACES , FÊTES COMMERCIALES
Hgac7q. dpe1hz5p0e.pages.dev/286dpe1hz5p0e.pages.dev/61dpe1hz5p0e.pages.dev/404dpe1hz5p0e.pages.dev/724dpe1hz5p0e.pages.dev/267dpe1hz5p0e.pages.dev/748dpe1hz5p0e.pages.dev/543dpe1hz5p0e.pages.dev/226dpe1hz5p0e.pages.dev/465dpe1hz5p0e.pages.dev/402dpe1hz5p0e.pages.dev/565dpe1hz5p0e.pages.dev/431dpe1hz5p0e.pages.dev/230dpe1hz5p0e.pages.dev/21dpe1hz5p0e.pages.dev/96
marché du surgelé en france 2020