Lechoix de la procĂ©dure sans audience semble irrĂ©versible. C’est pourquoi le demandeur devra Ă©viter de s’engager tout de suite dans cette voie et attendre de voir comment se dĂ©roule la procĂ©dure avant de renoncer, avec l’accord de la partie adverse, Ă  plaider le dossier. 4. La procĂ©dure participative de mise en Ă©tat. Download Free PDFDownload Free PDFDownload Free PDFPierre KahadiThis PaperA short summary of this paper35 Full PDFs related to this paperDownloadPDF PackPeople also downloaded these PDFsPeople also downloaded these free PDFsPeople also downloaded these free PDFsLes sanctions en procĂ©dure civile Ă  la recherche d'un clavier bien tempĂ©rĂ©, in C. Chainais et D. Fenouillet Dir., Les sanctions en droit contemporain. Vol. 1, La sanction, entre technique et politique, Dalloz, Coll. L'esprit du droit, 2012, p. cecile chainaisDownload Free PDFView PDFDroit judiciaire privĂ©by bonsoir soirDownload Free PDFView PDFLa demande dĂ©finitivement rejetĂ©e. 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La Cour d’appel de Douai CODE CIVIL algĂ©rien. CODE CIVIL algĂ©rien. ivre I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Titre I Des effets et de l'application des lois Titre II Des personnes physiques et morales Livre II DES OBLIGATIONS ET DES CONTRATS Titre I Des sources de l'obligation Titre II Des effets de l'obligation Titre III Des modalitĂ©s de l'obligation Titre IV De la transmission de l'obligation Titre V De l extinction de l'obligation Titre VI De la preuve de l'obligation Titre VII Du contrats portant sur la propriĂ©tĂ© Titre VIII Des contrats relatifs Ă  la jouissances des choses Titre IX Des contrats portants sur la prestation de services Titre X Des contrats alĂ©atoires Titre XI Du cautionnement Livre III DES DROITS RÉELS PRINCIPAUX Titre I Du droit de propriĂ©tĂ© Titre II Des dĂ©membrements du droit de propriĂ©tĂ© Livre IV DES DROITS RÉELS ACCESSOIRES OU DES SURETES RÉELLES Titre I De l'hypothĂšque Titre II Du droit d'affectation Titre III Du nantissement Titre IV Des privilĂšges DĂ©cret lĂ©gislatif n° 93-03 du 1er Mars 1993 relatif Ă  la promotion immobiliĂšre Texte relatif au contrat de bail Sommaire Ordonnance n° 75-58 du 26 septembre 1975 portant code civil, modifiĂ©e et complĂ©tĂ©e. AU NOM DU PEUPLE, Le Chef du Gouvernement, PrĂ©sident du Conseil des ministres, Sur le rapport du ministre de la jus, garde des sceaux, Vu les ordonnances n os 65-182 du 10 juillet 1965 et 70-53 du 18 djoumada I 1390 correspondant au 21 juillet 1970 portant constitution du Gouvernement; Le conseil des ministres entendu, Ordonne LIVRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES TITRE I DES EFFETS ET DE L’APPLICATION DES LOIS Art. 1. – La loi rĂ©git toutes les matiĂšres auxquelles se rapporte la lettre ou l’esprit de l’une de ses dispositions. En l’absence d’une disposition lĂ©gale, le juge se prononce selon les principes du droit musulman et, Ă  dĂ©faut, selon la coutume. Le cas Ă©chĂ©ant, il a recours au droit naturel et aux rĂšgles de l’équitĂ©. Art. 2. – La loi ne dispose que pour l’avenir; elle n’a point d’effet rĂ©troactif. La loi ne peut ĂȘtre abrogĂ©e que par une loi postĂ©rieure Ă©dictant expressĂ©ment son abrogation. Toutefois, l’abrogation peut aussi ĂȘtre implicite lorsque la nouvelle loi contient une disposition incompatible avec celle de la loi antĂ©rieure ou rĂ©glemente une matiĂšre prĂ©cĂ©demment rĂ©gie par cette derniĂšre. Art. 3. – Sauf disposition spĂ©ciale, les dĂ©lais sont calculĂ©s d’aprĂšs le calendrier grĂ©gorien. Art. 4. – Les lois promulguĂ©es sont exĂ©cutoires sur le territoire de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire. Elles sont obligatoires Ă  Alger, un jour franc aprĂšs leur publication et partout ailleurs dans l’étendue de chaque daĂŻra, un jour franc aprĂšs que le Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire qui les contient, soit parvenu au chef lieu de cette daĂŻra. La date du cachet de la daĂŻra apposĂ©e sur le Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire en fait foi. Art. 5. – Les lois de police et de sĂ»retĂ© obligent tous ceux qui habitent le territoire. Chapitre I Des conflits de lois dans le temps Art. 6. – Les lois relatives Ă  la capacitĂ© s’appliquent Ă  toutes les personnes qui remplissent les conditions prĂ©vues. Lorsqu’une personne ayant une capacitĂ© juridique aux termes de l’ancienne loi, devient incapable d’aprĂšs la loi nouvelle, cette incapacitĂ© n’affecte pas les actes antĂ©rieurement accomplis par elle. Art. 7. – Les nouvelles dispositions touchant la procĂ©dure s’appliquent immĂ©diatement. Toutefois, en matiĂšre de prescription, les rĂšgles concernant les points de dĂ©part, la suspension et l’interruption, sont celles dĂ©terminĂ©es par l’ancienne loi pour toute la pĂ©riode antĂ©rieure Ă  l’entrĂ©e en vigueur des nouvelles dispositions. Il en est de mĂȘme en ce qui concerne les dĂ©lais de procĂ©dure. – Les preuves prĂ© constituĂ©es sont soumises Ă  la loi en vigueur, au ou la preuve est Ă©tablie ou au moment oĂč elle aurait dĂ» ĂȘtre Ă©tablie. Chapitre II Des conflits de lois dans l’espace Art. 9. – En cas de conflit de loi, la loi algĂ©rienne est compĂ©tente pour qualifier la catĂ©gorie Ă  laquelle appartient le rapport de droit, objet de litige, en vue de dĂ©terminer la loi applicable. Art. 10. – Les lois concernant l’état et la capacitĂ© des personnes, rĂ©gissent les AlgĂ©riens mĂȘme rĂ©sidant en pays Ă©tranger. Toutefois, si l’une des parties, dans une transaction d’ordre pĂ©cuniaire conclue en AlgĂ©rie et devant y produire ses effets, se trouve ĂȘtre un Ă©tranger incapable et que cette incapacitĂ© soit le fait d’une cause obscure qui ne peut ĂȘtre facilement dĂ©celĂ©e, cette cause n’a pas d’effet sur sa capacitĂ© et sa validitĂ© de la transaction. Les personnes morales Ă©trangĂšres, sociĂ©tĂ©s, associations, fondations ou autres qui exercent une activitĂ© en AlgĂ©rie, sont soumises Ă  la loi algĂ©rienne. Art. 11. – Les conditions relatives Ă  la validitĂ© du mariage sont rĂ©gies par la loi nationale de chacun des deux conjoints. Art. 12. – Les effets du mariage, y compris ceux qui concernent le patrimoine, sont soumis Ă  la loi nationale du mari, au moment de la conclusion du mariage. La dissolution est soumise Ă  la loi nationale de l’époux, au moment de l’acte introductif d’instance. Art. 13. – Dans les cas prĂ©vus par les articles 12 et 13, si l’un des deux conjoints est AlgĂ©rien, au moment de la conclusion du mariage, la loi algĂ©rienne est seule applicable, sauf en ce qui concerne la capacitĂ© de se marier. Art. 14. – L’obligation alimentaire entre parents est rĂ©gie par la loi nationale du dĂ©biteur. Art. 15. – Les rĂšgles de fonds en matiĂšre d’administration lĂ©gale, de curatelle et autres institutions de projections incapables et des absents, sont dĂ©terminĂ©es par la loi nationale de la personne Ă  protĂ©ger. Art. 16. – Les successions, testaments et autres dispositions Ă  cause de mort, sont rĂ©gis par la loi nationale du de cujus, du testateur ou du disposant au moment du dĂ©cĂšs. Toutefois, la forme du testament est rĂ©gie par la loi nationale du testateur, au moment du testament ou par la loi du lieu oĂč le testament a Ă©tĂ© Ă©tabli. Il en est de mĂȘme de la forme des autres dispositions Ă  cause de mort. Art. 17. – La possession, la propriĂ©tĂ© et autres droits rĂ©els sont soumis, pour ce qui est des immeubles, Ă  la loi de la situation de l’immeuble et pour ce qui est des meubles, Ă  la loi du lieu oĂč se trouvait le meuble, au moment oĂč s’est produit la cause qui a fait acquĂ©rir ou perdre la possession, la propriĂ©tĂ© ou les autres droits rĂ©els. Art. 18. – Les obligations contractuelles sont rĂ©gies par la loi du lieu oĂč le contrat Ă  Ă©tĂ© conclu, Ă  moins que les parties ne conviennent qu’une autre loi sera appliquĂ©e. Toutefois, les contrats relatifs Ă  des immeubles sont soumis Ă  la loi de la situation de l’immeuble. Art. 19. – Les actes entre vifs sont soumis, quant Ă  leur forme, Ă  la loi du lieu oĂč ils ont Ă©tĂ© accomplis. Ils peuvent ĂȘtre Ă©galement soumis Ă  la loi nationale commune aux parties. Art. 20. – Les obligations non contractuelles sont soumises Ă  la loi de l’Etat sur le territoire duquel se produit le fait gĂ©nĂ©rateur de l’obligation. Toutefois, lorsqu’il s’agit d’une obligation nĂ©e d’un fait dommageable, la disposition de l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent n’est pas appliquĂ©e aux frais qui se sont produits Ă  l’étranger et qui, quoique illicites d’aprĂšs la loi Ă©trangĂšre, sont considĂ©rĂ©s comme licites par la loi algĂ©rienne. Art. 21. – Les dispositions qui prĂ©cĂšdent ne s’appliquent que lorsqu’il n’en est pas autrement disposĂ© par une loi spĂ©ciale ou par une convention internationale en vigueur en AlgĂ©rie. Art. 22. – En cas de pluralitĂ© de nationalitĂ©s, le juge applique la nationalitĂ© effective. Toutefois, la loi algĂ©rienne est appliquĂ©e si la personne prĂ©sente, en mĂȘme temps, la nationalitĂ© algĂ©rienne, au regard de l’AlgĂ©rie et, une autre nationalitĂ©, au regard d’un ou de plusieurs Etats Ă©trangers. En cas d’apatridie, la loi Ă  appliquer est dĂ©terminĂ©e par le juge. Art. 23. – Lorsque les dispositions qui prĂ©cĂšdent renvoient au droit d’un Etat dans lequel existent plusieurs systĂšmes juridiques, le systĂšme Ă  appliquer est dĂ©terminĂ© par le droit interne de cet Etat. Art. 24. – L’application de la loi Ă©trangĂšre, en vertu des articles prĂ©cĂ©dents, est exclue si elle est contraire Ă  l’ordre public ou aux bonnes mƓurs en AlgĂ©rie. TITRE II DES PERSONNES PHYSIQUES ET MORALES Chapitre I Des personnes physiques Art. 25. – La personnalitĂ© commence avec la naissance accomplie de l’enfant vivant et fini par la mort. L’enfant conçu jouit des droits civils Ă  la condition qu’il naisse vivant. Art. 26. – La naissance et le dĂ©cĂšs sont Ă©tablis par les registres Ă  ce destinĂ©s. A dĂ©faut de cette preuve ou si l’inexactitude des indications contenues dans les registres est Ă©tablie, la preuve peut ĂȘtre fournie par tous autres moyens dans les formes prĂ©vues par la loi sur l’état civil. Art. 27. – La tenue des registres de naissances et dĂ©cĂšs et les dĂ©clarations y relatives, est rĂ©glementĂ©e par la loi sur l’état civil. Art. 28. – Toute personne doit avoir un nom et un ou plusieurs prĂ©noms. Le nom d’un homme s’étend Ă  ses enfants. Les prĂ©noms doivent ĂȘtre de consonance algĂ©rienne; il peut en ĂȘtre autrement pour les enfants de parents appartenant Ă  une confession non musulmane. Art. 29. – L’acquisition et le changement de nom sont rĂ©gis par la loi Ă  l’état civil. Art. 30. – La nationalitĂ© algĂ©rienne est rĂ©glementĂ©e par le code de la nationalitĂ© Art. 31. – La disparition et l’absence sont soumises aux prescriptions du droit de la famille. Art. 32. – La famille est constituĂ©e des parents de la personne. Sont parentes entre elles les personnes ayant un auteur commun. Art. 33. – La parentĂ© en ligne directe est celle qui existe entre ascendants et descendants. La parentĂ© en ligne collatĂ©rale est celle qui existe entre personnes ayant un auteur commun, sans que l’un descende de l’autre. Art. 34. – En ligne directe, le degrĂ© de parentĂ© est calculĂ© en remontant vers l’auteur commun et en contant chaque parent, Ă  l’exclusion de l’auteur. En ligne collatĂ©rale, on remonte du descendant Ă  l’ascendant commun, puis en descend jusqu’à l’autre descendant. Tout parent, Ă  l’exclusion de l’auteur commun, compte pour un degrĂ©. Art. 35. – Les parents de l’un des deux conjoints sont les alliĂ©s de l’autre conjoint, dans la mĂȘme ligne et au mĂȘme degrĂ©. Art. 36. – Le domicile de tout AlgĂ©rien est le lieu oĂč se trouve son habitation principale. A dĂ©faut, la rĂ©sidence habituelle en tient lieu. Art. 37. – Le lieu oĂč la personne exerce son commerce ou sa profession, est considĂ©rĂ© comme un domicile spĂ©cial pour les affaires qui se rapportent Ă  ce commerce ou Ă  cette profession. Art. 38. – Le mineur, l’interdit, le disparu et l’absent ont pour domicile celui de leur reprĂ©sentant lĂ©gal. Toutefois, le mineur qui a atteint 18 ans et les personnes qui lui sont assimilĂ©es, ont un domicile propre, pour tout ce qui a trait aux actes qu’ils sont lĂ©galement capables d’accomplir. Art. 39. – On peut Ă©lire un domicile spĂ©cial pour l’exĂ©cution d’un acte juridique dĂ©terminĂ©. L’élection de domicile doit ĂȘtre prouvĂ©e par Ă©crit. Le domicile Ă©lu pour l’exĂ©cution d’un acte juridique sera considĂ©rĂ© comme domicile pour tout ce qui se rattache Ă  cet acte, y compris la procĂ©dure de l’exĂ©cution forcĂ©e, Ă  moins que l’élection ne soit expressĂ©ment limitĂ©e Ă  certains actes dĂ©terminĂ©s. Art. 40. – Toute personne majeure jouissant de ses facultĂ©s mentales et n’ayant pas Ă©tĂ© interdite, est pleinement capable pour l’exercice de ces droits civils. La majoritĂ© est fixĂ©e Ă  19 ans rĂ©volus. Art. 41. – L’exercice d’un droit est considĂ©rĂ© comme abusif dans les cas suivants - s’il a lieu dans le seul but de nuire Ă  autrui, - s’il tend Ă  la satisfaction d’un intĂ©rĂȘt dont l’importance est minime par rapport au prĂ©judice qui en rĂ©sulte pour autrui, - s’il tend Ă  la satisfaction d’un intĂ©rĂȘt illicite. Art. 42. – La personne dĂ©pourvue de discernement Ă  cause de son jeune Ăąge ou par suite de sa faiblesse d’esprit ou de sa dĂ©mence, n’a pas la capacitĂ© d’exercer ses droits civils. Est rĂ©putĂ© dĂ©pourvu de discernement, l’enfant qui n’a pas atteint l’ñge de seize ans. Art. 43. – Celui qui a atteint l’ñge de discernement, sans ĂȘtre majeur, de mĂȘme que celui qui a atteint sa majoritĂ©, tout en Ă©tant prodigue ou frappĂ© d’imbĂ©cillitĂ©, ont une capacitĂ© limitĂ©e conformĂ©ment aux prescriptions de la loi. Art. 44. – Ceux qui sont complĂštement ou partiellement incapables, sont soumis, selon le cas, au rĂ©gime de l’administration lĂ©gale, de la tutelle ou de la curatelle dans les conditions et conformĂ©ment aux rĂšgles prescrites par la loi. Art. 45. – Nul ne peut renoncer Ă  sa capacitĂ© ou en modifier les conditions. Art. 46. – Nul ne peut renoncer Ă  sa libertĂ© individuelle. Art. 47. – Celui qui subit une atteinte illicite Ă  des droits inhĂ©rents Ă  sa personnalitĂ©, peut en demander la cessation et la rĂ©paration du prĂ©judice qui en sera rĂ©sultĂ©. Art. 48. – Celui dont le droit Ă  l’usage d’un nom est injustement contestĂ© ou dont le nom a Ă©tĂ© indĂ»ment portĂ© par un autre, peut demander la cessation de ce fait et la rĂ©paration du prĂ©judice subi. Chapitre II Des personnes morales Art. 49. – Les personnes morales sont - l’Etat, la wilaya, la commune, - les Ă©tablissements et offices publics dans les conditions dĂ©terminĂ©es par la loi, - les entreprises socialistes et les coopĂ©ratives, les associations et tout groupement auxquels la loi accorde la personnalitĂ© morale. Art. 50. – La personne morale jouit, dans les limites dĂ©terminĂ©es par la loi, de tous les droits, Ă  l’exclusion de ceux qui sont propres Ă  la personne physique. Elle a notamment - un patrimoine, - une capacitĂ© dans les limites dĂ©terminĂ©es dans l’acte constitutif ou Ă©tablies par la loi, - un domicile qui est le lieu oĂč se trouve le siĂšge de son administration. Les sociĂ©tĂ©s dont le siĂšge social se trouve Ă  l’étranger et qui exercent en AlgĂ©rie, sont rĂ©putĂ©es, au regard de la loi interne, avoir leur siĂšge en AlgĂ©rie, - un reprĂ©sentant pour exprimer sa volontĂ©, - le droit d’ester en justice. Art. 51. – La loi dĂ©termine dans quelles conditions les Ă©tablissements et organismes Ă©tatiques Ă©conomiques et sociaux, les groupements, tels que les associations et coopĂ©ratives, peuvent se constituer et acquĂ©rir la personnalitĂ© juridique ou la perdre. Art. 52. – Sous rĂ©serve des dispositions spĂ©ciales applicables aux Ă©tablissements Ă  caractĂšre administratif et aux entreprises socialistes, l’Etat, en cas de participation directe Ă  des rapports de droit civil, est reprĂ©sentĂ© par le ministre des finances. CODEDE PROCÉDURE CIVILE, COMMERCIALE ET SOCIALE Page 1 S O M M A I R E Code de procĂ©dure civile, commerciale et sociale DĂ©cret n o99-254/P-RM du 15 septembre 1999 TITRE I Les dispositions prĂ©liminaires page 3 TITRE II Les audiences et la reprĂ©sentation des parties page 9 TITRE III La procĂ©dure gracieuse page 10 TITRE IV La procĂ©dure
Vous devez saisir le tribunal par requĂȘte titleContent, par assignation titleContent ou par requĂȘte pouvez utiliser la requĂȘte uniquement lorsque le montant de la demande n'excĂšde pas 5 000 €.Pour dĂ©terminer la valeur du litige, il faut prendre en compte le montant total des vous ĂȘtes d'accord avec votre adversaire pour faire trancher votre litige par le tribunal, vous pouvez faire une requĂȘte conjointe, mĂȘme si le montant des demandes excĂšde 5 000 €.RequĂȘteSauf motif lĂ©gitime, la requĂȘte titleContent doit obligatoirement ĂȘtre prĂ©cĂ©dĂ©e d'une tentative de conciliation, de mĂ©diation ou d'une procĂ©dure pouvez prĂ©parer la requĂȘte vous-mĂȘme ou bien demander Ă  un avocat de le pouvez utiliser un modĂšle ou bien la rĂ©diger sur papier aux fins de saisine du tribunal judiciaireVous devez joindre Ă  votre requĂȘte les copies de vos piĂšces justificatives facture, contrat, devis, preuve de la tentative de conciliation, ....Vous pouvez demander que la procĂ©dure se dĂ©roule sans au dĂ©roulement de la procĂ©dure sans audience - ProcĂ©dure orale devant le tribunal judiciaire ou le juge des contentieux de la protectionLa requĂȘte doit comprendre les Ă©lĂ©ments suivants IdentitĂ© complĂšte des partiesTribunal saisiObjet de la demande dommages-intĂ©rĂȘts, remise d'un bien, annulation d'un contrat,...Motifs du litigeListe des piĂšcesVous devez chiffrer vos demandes 100 € de dommages-intĂ©rĂȘts par exemple.La requĂȘte doit ĂȘtre datĂ©e et savoir il est possible de solliciter une somme correspondant aux frais que vous avez dĂ» engager pour la procĂ©dure frais de dĂ©placement, timbres,....La requĂȘte complĂ©tĂ©e doit ĂȘtre dĂ©posĂ©e ou transmise par courrier au greffe titleContent du tribunal fois que la requĂȘte est transmise ou dĂ©posĂ©e, vous ĂȘtes avisĂ© par le tribunal des lieu, jour et heure d'audience. Votre adversaire est convoquĂ© par lettre recommandĂ©e avec avis de pouvez saisir le tribunal en faisant dĂ©livrer Ă  votre adversaire une assignation titleContent par un huissier de assignation doit comporter des mentions obligatoires DĂ©signation du tribunal compĂ©tentLieu, jour et heure de l'audience informations que vous devez obtenir auprĂšs du tribunalObjet de la demande dommages-intĂ©rĂȘts, remise d'un bien, annulation d'un contrat...IdentitĂ© complĂšte des partiesMotifs du litigeListe des piĂšcesDĂ©marche amiable tentĂ©e pour parvenir Ă  la rĂ©solution prĂ©alable du litigeMode de comparution de votre adversaire devant la juridiction, c'est-Ă -dire s'il doit prendre un avocat, dans quel dĂ©lai, ...ConsĂ©quences en cas de non comparution de votre adversaireVous devez chiffrer vos demandes 100 € de dommages-intĂ©rĂȘts par exemple.L'assignation constitue vos conclusions, c'est-Ă -dire vos demandes et vos savoir dans votre demande, il est possible de rĂ©clamer une somme correspondant aux frais que vous avez dĂ» engager pour la procĂ©dure frais de dĂ©placement, timbres, ....ModĂšle d'assignation sans reprĂ©sentation obligatoireL'assignation peut ĂȘtre rĂ©digĂ©e par un pouvez demander dans votre assignation que la procĂ©dure se dĂ©roule sans doit ĂȘtre dĂ©posĂ©e au tribunal judiciaire au moins 15 jours avant la date d' la date d'audience a Ă©tĂ© communiquĂ©e par voie Ă©lectronique, l'assignation doit ĂȘtre dĂ©posĂ©e dans le dĂ©lai de 2 mois Ă  compter de cette non respect des dĂ©lais entraĂźne la caducitĂ© de l'assignation, c'est-Ă -dire que l'assignation est nulle et que vous devez en refaire une conjointeEn accord avec votre adversaire, vous pouvez saisir le tribunal par la remise au greffe d'une requĂȘte requĂȘte, signĂ©e conjointement par les parties, doit indiquer les points d'accord et les points de requĂȘte doit comprendre les Ă©lĂ©ments suivants IdentitĂ© complĂšte des partiesTribunal saisiObjet de la demande dommages-intĂ©rĂȘts, remise d'un bien, annulation d'un contrat...Motifs du litigeListe des piĂšcesElle doit ĂȘtre datĂ©e et noter la procĂ©dure peut se dĂ©rouler sans audience. Dans ce cas, la requĂȘte conjointe doit comporter l'accord des savoir pour obtenir en urgence des mesures provisoires, en attendant le procĂšs principal, vous pouvez utiliser une procĂ©dure en rĂ©fĂ©rĂ©.
CODEDE PROCÉDURE PÉNALE Loi n° 61-33 du 14 aoĂ»t 1961 portant institution du Code de procĂ©dure pĂ©nale (modifiĂ©e par Loi n° 2003-026 du 13 juin 2003 et la Loi n° 2004-21 du 16 mai 2004) TABLE DES MATIERES Titre prĂ©liminaire - De l'action publique et de l'action civile Livre I De l'exercice de l'action publique et de l'instruction Art. 1 Ă  10 Titre I Des autoritĂ©s chargĂ©es Read PDFRead Free PDFRead PDFPierre KahadiThis PaperA short summary of this paper35 Full PDFs related to this paperReadPDF PackPeople also downloaded these PDFsPeople also downloaded these free PDFsPeople also downloaded these free PDFsLes sanctions en procĂ©dure civile Ă  la recherche d'un clavier bien tempĂ©rĂ©, in C. Chainais et D. Fenouillet Dir., Les sanctions en droit contemporain. Vol. 1, La sanction, entre technique et politique, Dalloz, Coll. 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Bonjourà Tous, Suite à une demande transcription d'acte de mariage camerounais, l'acte de naissance apparait aprÚs vérification non conforme aux dispositions de l'article 47 du

Cass. 2e civ., 10 janv. 2013, no 11-27480, F–P+B cassation partielle CA Nancy, 23 septembre 2011, Mme Flise, prĂ©s. – SCP Gaschignard, SCP Piwnica et MoliniĂ©, av. Le renvoi ordonnĂ© en application de l'article 47 du Code de procĂ©dure civile doit ĂȘtre fait devant une juridiction situĂ©e dans un ressort limitrophe de celui de la juridiction initialement saisie. Cass. 2e civ., 10 janv. 2013, no 11-27480, F–P+B cassation partielle CA Nancy, 23 septembre 2011, Mme Flise, prĂ©s. – SCP Gaschignard, SCP Piwnica et MoliniĂ©, av.
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article706-47-4 du code de procĂ©dure pĂ©nale. dommages et intĂ©rĂȘts recouvrement. dommages et intĂ©rĂȘts rĂ©fĂ©rĂ©. article 700 dommage et intĂ©rĂȘt. dommages et intĂ©rĂȘts rĂ©fĂ©rĂ© prud’homal. dommages et intĂ©rĂȘts rĂ©gime fiscal. article 7 du code de procĂ©dure pĂ©nale. dommages et intĂ©rĂȘts rĂ©gime social. dommages et intĂ©rĂȘts

Lorsqu'un magistrat ou un auxiliaire de justice est partie Ă  un litige qui relĂšve de la compĂ©tence d'une juridiction dans le ressort de laquelle celui-ci exerce ses fonctions, le demandeur peut saisir une juridiction situĂ©e dans un ressort limitrophe. Le dĂ©fendeur ou toutes les parties en cause d'appel peuvent demander le renvoi devant une juridiction choisie dans les mĂȘmes conditions. A peine d'irrecevabilitĂ©, la demande est prĂ©sentĂ©e dĂšs que son auteur a connaissance de la cause de renvoi. En cas de renvoi, il est procĂ©dĂ© comme il est dit Ă  l'article 82.

1J.-L. HalpĂ©rin, L’impossible Code civil, Paris, coll. Histoires, 1992, p. 46-47. 2 A titre d‘exemple : A. Tissier, « Le centenaire du Code de procĂ©dure civile et les projets de rĂ©forme », dans Revue trimestrielle de droit civil, 1906, p. 625 qui parle d‘une Ɠuvre « aussi imparfaite, aussi hĂątivement Ă©laborĂ©e et qui Ă©tait dĂ©jĂ  vieille en naissant » et J.-L. HalpĂ©rin

Assez peu usitĂ©e au quotidien, la procĂ©dure sur renvoi aprĂšs cassation demeure souvent un mystĂšre. Elle obĂ©it effectivement Ă  des rĂšgles bien prĂ©cises, qui seront exposĂ©es dans cet article, afin de permettre aux praticiens et justiciables, d’en comprendre plus aisĂ©ment le fonctionnement. Seule sera examinĂ©e ici la procĂ©dure avec renvoi devant une cour d’appel lorsque la reprĂ©sentation est obligatoire. 1. Le cadre juridique Il faut avant tout comprendre dans quel contexte intervient une procĂ©dure de renvoi devant une Cour d’appel aprĂšs cassation. SchĂ©matiquement, les dĂ©cisions suivantes ont Ă©tĂ© rendues Étape 1 = Jugement rendu par un tribunal Étape 2 = ArrĂȘt prononce par une premiĂšre cour d’appel Étape 3 = ArrĂȘt rendu par la Cour de cassation Lorsqu’il y a cassation, la Cour remet les parties au litige dans la situation dans laquelle elles se trouvaient avant l’intervention de l’arrĂȘt anĂ©anti. La Cour de cassation ne tranche pas directement le litige, mais le renvoie devant une cour d’appel qui rendra alors un nouvel arrĂȘt. Cette nouvelle dĂ©cision sera elle-mĂȘme susceptible, Ă  certaines conditions, d’un nouveau pourvoi en cassation. A noter cependant que la cassation sans renvoi est possible si, compte tenu des points qu’elle atteint, son intervention ne laisse plus rien Ă  trancher aux juges du fond. C’est le cas, par exemple, lorsque la Cour de cassation dĂ©clare la juridiction judiciaire incompĂ©tente pour connaĂźtre d’un litige. La Cour de cassation peut encore, en cassant sans renvoi, rĂ©gler le litige au fond et y mettre fin par application de la rĂšgle de droit appropriĂ©e aux faits tels qu’ils ont Ă©tĂ© souverainement constatĂ©s et apprĂ©ciĂ©s par les juges du fond. 2. Les effets attaches a la cassation La cassation a pour effet d’anĂ©antir l’autoritĂ© de la chose jugĂ©e attachĂ©e Ă  l’arrĂȘt attaquĂ©. Elle entraĂźne Ă©galement l’annulation, par voie de consĂ©quence de toute dĂ©cision qui en est la suite » article 625 du Code de procĂ©dure civile. Par ailleurs, la cassation fait naĂźtre une obligation de restitution des sommes versĂ©es en application de la dĂ©cision annulĂ©e, concernant les condamnations, en principal, frais, intĂ©rĂȘts et accessoires. 3. L’étendue de la cassation En vertu de l’article 623 du Code de procĂ©dure civile la cassation peut ĂȘtre totale ou partielle. Elle est partielle lorsqu’elle n’atteint que certains chefs dissociables des autres ». Selon l’article 624 du mĂȘme Code, la portĂ©e de la cassation est dĂ©terminĂ©e par le dispositif de l’arrĂȘt qui la prononce. Elle s’étend Ă©galement Ă  l’ensemble des dispositions du jugement cassĂ© ayant un lien d’indivisibilitĂ© ou de dĂ©pendance nĂ©cessaire. La Cour de cassation prĂ©cise donc, dans son dispositif, la portĂ©e de la cassation qu’elle prononce, qu’elle soit totale ou partielle. Dans l’hypothĂšse d’une cassation partielle, elle en prĂ©cise expressĂ©ment de quel chef. En principe, la cassation ne profite qu’au demandeur et ne peut nuire qu’au dĂ©fendeur. Par ailleurs, selon l’article 625 du Code de procĂ©dure civile, sur les points qu’elle atteint, la cassation replace les parties dans l’état oĂč elles se trouvaient avant le jugement cassĂ©. Si elle en est requise, la Cour peut, dans le dispositif de l’arrĂȘt de cassation, prononcer la mise hors de cause des parties dont la prĂ©sence devant la cour de renvoi n’est plus nĂ©cessaire Ă  la solution du litige. 4. La dĂ©signation de la juridiction de renvoi Selon les dispositions de l’article 626 du Code de procĂ©dure civile En cas de cassation suivie d’un renvoi de l’affaire Ă  une juridiction, celle-ci est dĂ©signĂ©e et statue, le cas Ă©chĂ©ant, conformĂ©ment Ă  l’article L. 431-4 du Code de l’organisation judiciaire ». L’article L 431-4 alinĂ©a 1 du Code de l’organisation judiciaire dispose En cas de cassation, l’affaire est renvoyĂ©e, sous rĂ©serve des dispositions de l’article L. 411-3, devant une autre juridiction de mĂȘme nature que celle dont Ă©mane l’arrĂȘt ou le jugement cassĂ© ou devant la mĂȘme juridiction composĂ©e d’autres magistrats ». Il faut souligner que le renvoi ordonnĂ© devant la mĂȘme cour, mais autrement composĂ©e afin d’éviter qu’un mĂȘme magistrat risque Ă  nouveau de connaĂźtre de l’affaire, prĂ©sente des avantages pour les plaideurs et leurs conseils, car elle plus facile Ă  gĂ©rer, en termes de coĂ»ts. Le cas Ă©chĂ©ant, les services d’un avocat postulant, connaissant sa cour et ses pratiques, seront nĂ©cessaires. Ce renvoi devant la mĂȘme juridiction peut cependant poser des difficultĂ©s pratiques pour les cours de petite taille, disposant de peu de magistrats diffĂ©rents susceptibles de siĂ©ger. 5. La saisine de la cour d’appel de renvoi Lorsqu’une juridiction de renvoi est saisie sur renvoi aprĂšs cassation, elle ne peut en aucun cas dĂ©cliner sa compĂ©tence. L’arrĂȘt de la Cour de cassation n’entraĂźnant pas la saisine automatique de la cour de renvoi, il appartient alors aux parties au litige de la saisir. Ainsi, c’est Ă  l’initiative de la partie la plus diligente et celle qui a intĂ©rĂȘt, en vertu de l’adage pas d’intĂ©rĂȘt , pas d’action », Ă  voir dĂ©finitivement trancher le litige. Selon l’article 636 du Code de procĂ©dure civile, les personnes qui, ayant Ă©tĂ© parties Ă  l’instance devant la juridiction dont la dĂ©cision a Ă©tĂ© cassĂ©e, ne l’ont pas Ă©tĂ© devant la Cour de cassation peuvent ĂȘtre appelĂ©es Ă  la nouvelle instance ou y intervenir volontairement, lorsque la cassation porte atteinte Ă  leurs droits L’article 637 du mĂȘme Code dispose que ces personnes peuvent, sous la mĂȘme condition, prendre l’initiative de saisir elles-mĂȘmes la juridiction de renvoi. La saisine se fait par dĂ©claration au Greffe de la juridiction de renvoi et doit intervenir dans un dĂ©lai de quatre mois Ă  compter de la signification ou de la notification de l’arrĂȘt de la Cour de cassation et, en toute hypothĂšse, Ă  peine de pĂ©remption de l’instance, dans un dĂ©lai de 2 ans Ă  compter de la date du prononcĂ© de cet arrĂȘt. La Cour de cassation a rĂ©cemment statuĂ© sur les modalitĂ©s de la saisine de la Cour de renvoi, lorsque la reprĂ©sentation est obligatoire. Ainsi, il ressort d’un arrĂȘt rendu le 1er dĂ©cembre 2016 Civ. 2e, 1er dĂ©c. 2016, F-P+B, n° que Il rĂ©sulte des articles 631 et 1032 du Code de procĂ©dure civile, qu’en cas de renvoi aprĂšs cassation, l’instance se poursuit devant la juridiction de renvoi, qui est saisie par une dĂ©claration Ă  son secrĂ©tariat ; qu’en application de l’article 930-1 du mĂȘme code, rĂ©gissant la procĂ©dure avec reprĂ©sentation obligatoire devant la cour d’appel, Ă  peine d’irrecevabilitĂ© relevĂ©e d’office, les actes de la procĂ©dure sont remis Ă  la juridiction par voie Ă©lectronique ; que l’obligation, dĂ©coulant sans ambiguĂŻtĂ© de ces textes, de remettre par voie Ă©lectronique la dĂ©claration de saisine Ă  la juridiction de renvoi ne porte pas atteinte au droit Ă  un procĂšs Ă©quitable ; Que c’est dĂšs lors Ă  bon droit que la cour d’appel, retenant exactement que la communication Ă©lectronique Ă©tait devenue obligatoire pour tous les actes de la procĂ©dure d’appel avec reprĂ©sentation obligatoire Ă  compter du 1er janvier 2013, sans aucune distinction selon la date de la dĂ©claration d’appel initiale, a dĂ©cidĂ© que la dĂ©claration de saisine de la cour de renvoi aprĂšs cassation, qui avait Ă©tĂ© faite par un courrier adressĂ© Ă  son greffe, le 3 octobre 2013, Ă©tait irrecevable ». Sa position est donc claire quelle que soit la date de la dĂ©claration d’appel initiale, la dĂ©claration saisissant la cour d’appel de renvoi aprĂšs cassation, doit ĂȘtre remise par voie Ă©lectronique au greffe de la cour d’appel de renvoi. Il faut donc effectuer une dĂ©claration de saisine de la cour de renvoi par le RPVA. Le timbre fiscal de 225 euros est inutile puisque l’instance initiale se poursuit. DĂšs lors, soit le timbre a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© acquittĂ© prĂ©cĂ©demment, soit il n’était pas dĂ». A la suite de la distribution du dossier, le greffe sollicite la copie des mĂ©moires Ă©changĂ©s devant la Cour de cassation, afin d’ĂȘtre joints au dossier de la cour de renvoi. 6. La constitution devant la cour d’appel de renvoi La constitution sur une dĂ©claration de saisine se rĂ©alisĂ© Ă©galement par le RPVA, de façon assez identique Ă  une constitution sur une dĂ©claration d’appel. 7. DĂ©roulement de la procĂ©dure devant la cour d’appel de renvoi Selon l’article 631 du Code de procĂ©dure civile , devant la juridiction de renvoi, l’instruction est reprise en l’état de la procĂ©dure non atteinte par la cassation. La question est souvent posĂ©e, aprĂšs avoir saisi la cour de renvoi, de savoir dans quel dĂ©lai conclure. Avant tout, les parties ne sont pas nĂ©cessairement obligĂ©es de conclure, mĂȘme si elles le font toutes, en pratique. En effet, l’article 634 du Code de procĂ©dure civile prĂ©cise que les parties qui ne comparaissent pas ou qui ne formulent pas de moyens nouveaux ou de nouvelles prĂ©tentions sont rĂ©putĂ©es s’en tenir aux moyens et prĂ©tentions soumis Ă  la juridiction dont la dĂ©cision a Ă©tĂ© cassĂ©e. Par ailleurs, la dĂ©claration de saisine ne peut ĂȘtre assimilĂ©e Ă  une dĂ©claration d’appel elle ne matĂ©rialise pas l’exercice d’une voie de recours et peut d’ailleurs ĂȘtre rĂ©gularisĂ©e tant par l’appelant que par l’intimĂ©, Ă  condition d’y avoir intĂ©rĂȘt. Dans ces conditions, la partie qui saisit la cour de renvoi n’a pas Ă  conclure dans le dĂ©lai de 3 mois de la saisine, Ă  l’instar du dĂ©lai prĂ©vu par l’article 908 du Code de procĂ©dure civile. La cour d’appel d’OrlĂ©ans a statuĂ© sur ce point, le 9 janvier 2014 Chambre commerciale, Ă©conomique et financiĂšre - RG 13/01369 en ces termes L’appel n’est pas caduc faute pour l’appelant d’avoir conclu et communiquĂ© ses piĂšces dans les dĂ©lais fixĂ©s, les sanctions Ă©dictĂ©es en fait de dĂ©lais aux articles 908 et suivants du Code de procĂ©dure civile n’étant pas applicables Ă  l’instance sur renvoi de cassation ». Cela ne signifie pas pour autant qu’aucun dĂ©lai ne s’impose aux parties dans la mesure oĂč, le plus souvent, le conseiller de la mise en Ă©tat ou la Cour si le dossier suivait une procĂ©dure fixĂ©e par le PrĂ©sident impartit des injonctions Ă  chacun, puis une date de clĂŽture et de plaidoiries. A dĂ©faut de respect de ces injonctions, la radiation, voire la clĂŽture, mĂȘme partielle, pourraient ĂȘtre ordonnĂ©es, Ă©tant soulignĂ© que ces potentielles sanctions sont discutables puisque les parties peuvent Ă©galement ne pas conclure devant la Cour de renvoi cf. article 634 prĂ©cĂ©demment Ă©voquĂ©. Selon l’article 632 du Code de procĂ©dure civile, les parties peuvent invoquer de nouveaux moyens Ă  l’appui de leurs prĂ©tentions. Elles peuvent Ă©galement communiquer de nouvelles piĂšces, ou en supprimer des prĂ©cĂ©dentes, devenues inutiles ou obsolĂštes. La question des prĂ©tentions nouvelles, et de l’intervention sont soumises aux rĂšgles qui s’appliquent devant la juridiction dont la dĂ©cision a Ă©tĂ© cassĂ©e articles 633 et 635 du mĂȘme Code. Enfin, en application des dispositions de l’article 636 du Code de procĂ©dure civile, les personnes qui, ayant Ă©tĂ© parties Ă  l’instance devant la juridiction dont la dĂ©cision a Ă©tĂ© cassĂ©e, ne l’ont pas Ă©tĂ© devant la Cour de cassation peuvent ĂȘtre appelĂ©es Ă  la nouvelle instance ou y intervenir volontairement, lorsque la cassation porte atteinte Ă  leurs droits. 8. Les pouvoirs de la cour d’appel de renvoi La Cour de renvoi dispose de la plĂ©nitude de juridiction, dans la mesure oĂč l’affaire est Ă  nouveau jugĂ©e en fait et en droit par la juridiction de renvoi Ă  l’exclusion des chefs non atteints par la cassation article 638 du Code de procĂ©dure civile. 9. L’arrĂȘt rendu par la cour d’appel de renvoi La cour de renvoi statue par un nouvel arrĂȘt rendu par une formation collĂ©giale. Si la cour de renvoi ne se conforme pas Ă  la dĂ©cision de la Cour de cassation, un second pourvoi peut ĂȘtre formĂ© et il sera alors jugĂ© par l’AssemblĂ©e plĂ©niĂšre de la Cour de cassation. Si le renvoi est ensuite ordonnĂ© par l’AssemblĂ©e plĂ©niĂšre, la juridiction de renvoi devra alors se conformer Ă  la dĂ©cision de cette AssemblĂ©e, sur les points de droit jugĂ©s par celle-ci article L. 431-4 du Code de l’organisation judiciaire. Un pourvoi qui critiquerait une dĂ©cision conforme Ă  l’arrĂȘt de la Cour de cassation serait irrecevable. Enfin, la juridiction de renvoi statue sur la charge de tous les dĂ©pens exposĂ©s devant les juridictions du fond y compris sur ceux affĂ©rents Ă  la dĂ©cision cassĂ©e article 639 du Code de procĂ©dure civile. Tel est le mode d’emploi » non exhaustif que je souhaitais vous transmettre sur le renvoi aprĂšs cassation, Ă  vocation surtout pratique.

lanaissance Ă  l’officier de l’état civil. Le surnom ou le pseudonyme, utilisĂ©s pour prĂ©ciser l’identitĂ© d’une personne, ne font pas partie du nom de cette derniĂšre. Article 3 Enfant lĂ©gitime L’enfant lĂ©gitime porte le nom de son pĂšre. En cas de dĂ©sa-veu, il prend le nom de sa mĂšre. Article 4 Enfant naturel L’enfant

ï»żVersion en vigueur depuis le 04 aoĂ»t 2021ModifiĂ© par LOI n°2021-1017 du 2 aoĂ»t 2021 - art. 7Tout acte de l'Ă©tat civil des Français et des Ă©trangers fait en pays Ă©tranger et rĂ©digĂ© dans les formes usitĂ©es dans ce pays fait foi, sauf si d'autres actes ou piĂšces dĂ©tenus, des donnĂ©es extĂ©rieures ou des Ă©lĂ©ments tirĂ©s de l'acte lui-mĂȘme Ă©tablissent, le cas Ă©chĂ©ant aprĂšs toutes vĂ©rifications utiles, que cet acte est irrĂ©gulier, falsifiĂ© ou que les faits qui y sont dĂ©clarĂ©s ne correspondent pas Ă  la rĂ©alitĂ©. Celle-ci est apprĂ©ciĂ©e au regard de la loi française.

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  • art 47 code de procĂ©dure civile