Reminder of your requestDownloading format TextView 1 to 4 on 4Number of pages 4Full noticeTitle Le Petit Parisien journal quotidien du soirPublisher Le Petit Parisien ParisPublication date 1901-10-14Contributor Roujon, Jacques 1884-1971. Directeur de publicationRelationship textType printed serialLanguage frenchFormat Nombre total de vues 126844Description 14 octobre 1901Description 1901/10/14 Numéro 9117.Description Collection numérique Grande collecte d'archives. Femmes au travailDescription Collection numérique La Grande CollecteRights Consultable en ligneRights Public domainIdentifier ark/12148/bpt6k560485bSource Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850Provenance Bibliothèque nationale de FranceOnline date 06/05/2008The text displayed may contain some errors. The text of this document has been generated automatically by an optical character recognition OCR program. The estimated recognition rate for this document is 100%.», Dernière Edition PROCHAINEMENT Le Petit Parisien paraître tous les jours sur SIX PAGES, même format. NOS MATELOTS Le sort de nos matelots, qui a tant de fois èmu la sensibilité des poètes, mérite à un égal degré la sollicitude des hommes d'Etat. Il pose, en effet, une question sociale, commerbiale et militaire tout ensemble. Par ses risques, ses fatigues, ses dangers, la profession maritime crée à ceux qui l'exercent des droits indiscutables. Mais ces droits reconnus imposent d'autre part, à ceux qui en sont investis, des obligations correspondantes, si bien que les unes et les autres, s'appelant et se contrariant, compliquent singulièrement le problème à résoudre. Aussi est-ce un devoir pour la presse de saisir toutes les occasions d'en préciser les données, d'en marquer la portée, d'en indiquer aussi les solutions possibles. On a dit que c'était toujours une bonne action que de parler avec conscience et sincérité des choses maritimes. Je n'ai point, ici, d'autre prétention. Un premier point d'abord est à noter, qu'il serait mauvais de laisser dans l'ombre. La situation du personnel maritime ne s'est pas modifiée au cours du siècle dernier d'une façon aussi sensible que celle des autres ouvriers. Comme l'a dit M. Charles Roux, la transformation s'est limitée aux conditions matérielles de la navigation le sort des gens de mer ne s'en est pas trouvé changé. » Dans certains pays, dans le RoyaumeUni surtout, cette immobilité est frappante, et l'on a pu affirmer avec raison que les marins anglais exercent la plus pénible et la moins rétribuée des professions. En France aussi et à plusieurs reprises, les nôtres se sont plaints justement de l'infériorité de leur situation. En ils touchaient, en général, 60 francs par mois. Il en est à l'heure actuelle qui ne sont pas mieux payés et à qui le demi-siècle écoulé n'a apporté aucune amélioration de salaire. Ceci ne s'applique pas, bien entendu, aux marins des grandes Compagnies subventionnées qui, par certains côtés, sont de véritables fonctionnaires, mais plusieurs maisons d'importance secondaire ont maintenu ces prix, plus que médiocres. A quoi cela tient-il ? Car, tout, dans l'ordre économique, doit s'expliquer. Les raisons sont assez nombreuses. La première, c'est que la navigation à Vapeur, en se développant, a' permis aux armateurs de réduire sensiblement le personnel embarqué. La complication croissante des machines n'a pas produit une augmentation correspondante du nombre des travailleurs employés à les manier, et l'offre devenant supérieure à la demande, les salaires ont naturellement diminué. Une autre conséquence du même phénomène a été de niveler, si je puis dire, la 'capacité professionnelle des gens de mer et de déprécier la valeur de leurs services techniques. Cela est vrai pour tous les ouyriers, mais ce l'est particulièrement pour ceux de l'industrie maritime. Naguère, dit fort justement M. Ambroise Colin dans son intéressant ouvrage sur la marine marchande, les marins embarqués à bord d'un bateau à voiles devaient connaître dans tous ses détails un métier qui comprenait en quelque sorte vingt métiers divers. La force, l'agilité leur étaient indispensables pour accomplir les manoeuvres périlleuses auxquelles l'usage des voiles donnait lieu. Il fallait une longue expérience pour faire un bon gabier ou un timonier passable. Certaines connaissances, pratiques, scientifiques même, notamment en météorologie, complétaient enfin le bagage des matelots ». N» Feuilleton du PETIT Parisien. La Griffe d'Or GRAND ROMAN INEDIT TROISIÈME PARTIE L'ACCUSÉE VI suite le pauvre M. Truchon se leva, le cœur très Serré, les yeux gros; où étaient ses enfants? Il entra chez sa femme, qui sanglotait. Et ma ioi en la voyant pleurer, il se mit pleurer aussi. Au cinquième, la vicomtesse de Tillière venait de reprendre sa place, dans le grand fauteuil, près d'une fenêtre du salon, où les campes avaient été allumées. Elle attendait son beau-père pour recommencer l'interminable lecture du Temps ». Elle était bien certaine de la reprendre avec tranquillité. Tant de complications, survenues en si peu de temps, n'étaient pas, quant à elle, pour l'épouvanter. Son éternelle insouciance la sauvait toujours. ons eu l'incroyatole fortune déposséder un Pasteur, ua géaie ainur*l>te, umveiel; nous avons écouté sa voix praphi$ti{Ue, nous non apbiiquons a suivre .ses pH'fleptW! »uec tu» minutie un peu exagérée parfois; et nous laissons aveo tranquillité, subsister parmi nous les usages anciens. Il ne faut pas que ces errements durent plus longtemps; suivons l'exemple qu'on nous donne; mieux, exigeons que les Mîtes à ordures vient closes elles aussi, notre odorat, notre vue ne'seront plus offensés par les horreurs des dessous de la vie et la santé publique y gagnera peutêtre la conservation annuelle d une centaine d'existence au minimum. Cette considératioa, à elle seule, ne sufflraiteUe pas à militer en faveur de ce que le -conseil éfi aanté do l'Empire n'a pas hésifc; à appeler une meaure nécessitée par l'mWr&i du bien public? ÉCHOS ET NOUVELLES La Société pour le patronage laique de la jeunesse du quartier de la Salpêtrière a procédé, hier, une heure, dans la préau des coies, 40, rue Jenaer, à la distribution des prix et récompenses décernés à ses élèves. M. Naudy, inspecteur primaire du treizième arrondissement, délégué par M. Leygues, ministre de nnstraction publique, présidait cette cérdmonie. Une partie do concert très intéressante a clôturé cette réunion. De Berlfn Une grande tête a eu lieu hier soir, en l'honneur de Vïrchow, dont on célèbre le 80* anniversaire. Etaient présidents d"honnnr MM. le courte de P06adowsky sectétaire d'Etat; Studt, mîiiisïre des CuLtes; Lenthold, médecin en chef de l'armée Bacelli, de Rome; Lister, de Londres Cornil, de Paris Toldo, de Vienne Roptschewski, de Saint-Pétersbourg Stokois, d'Amsterdam, ainsi que d'autres représentants allemande et étrangers. Le professeur Waldegers, secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences, a fait d'abord I'41og3 de M. Virchow et de son action éducatriee *gua le mondeentier reconnaît, admirant ces troisgénies Virchow, Mommsen et Helmholtz. Puis il lui a remis, de la part des médecins allemands, un don s'élevant 50,000 marks peur venir en aide la fondation Virchow. M. Studt, ministre des Cultes, a annonce ensuite que l'empereur conférait à M. Virchow la grande médaille d'or pour les sciences, et a lu une lettre autographe de Sa Majesté. Le ministre, au milieu d'applaudissements .en; thousiastes, après avoir lu la lettre autographe de l'empereur, a prononcé des paroles diogieusea pour le docteur Virchow. Enfin les représentants étrangers ont pris la parole. M. Corail pris la parole au nom de la France. Au milieu de nombreux applaudissements, il a rappelé la création par M. Virchow de la pa6hologie cellulaire. Des applaudissements eattoou-' siajtea ont acoueilli son discours. De Morlalx L'Association française pomologique a terminé. hier soir ses travaux. La municipalité a offert un grand banquet par souscription, auquel assistaient MM. Raguet et Legludic, sénateurs Ctoarec et Miossec, députés, le sous-préfet de Morlaix, etc. Les prix ont été distribués au théâtre. Le concours pomologique a obtenu un grande succès. Quoique la question de savoir quel est le pays où les trains marchent le plus vite revienn* souvent sur le tapis, elle n'avait pas encore, que, nous saehiona, été résolue d'une manière délcLtive, ou t,out au moins d'une façon suffisamjacnt impartiale et précise. Une revue allemande, qui fait autorité sur ,ces questions, les Archiv fur elsenbahnioesen, établit dans une étude récente fordre suivant desvi-; tesses maxima pour touales peys, ou à peu près de l'Europe. Compilés d'après les horaires des cent quinze principales compagnies service d'été i&Oi, on peut considérer les résultats donnés ci-deMous comme officiels. La France vient en tête de liste avec une vi-' tesse maxima de 93 k. 5 à l'heure. C'est 6 kilomètres de plus que le meilleur express anglais, qui fait du 87 k. 7. Ensuite, le classement donne le troisième rang à l'Allemagne 82 k. T. le qbatriéme la Belgique k. 6, le cinquième la' Hollande 75 k. 7, le sixième à l'Autriche /73 k. 2, te septième à l'Italie 67 k. 1, le huitième h la Russie 61 k. 5,le neuvième au Danemark & et le dixième à la Turquie 42 k. 4. La Grèce, la Bulgarie et la Suède sont zxzqvo avec 35 kilomètres. La santé par le sourire. Telle pourrait être la devise d'un jeune mais déjà réputé médecin de Minneapolis, aux EtatsUnis. Il ne croit pas à la diète, lui, comme ton confrère de Chicago dont nous racontions, il y a quelques joure, les singulières méthodes de traitement non, à eon avis, et plusieurs guison3 sensationnelles l'ont confirmé dans son opinion, il n'est d'autre remède aux dfvers maux dont est affligée notre misérable nature humaine que la ouive, mai» le sourire permanent et proirâit. Par ces deua épithètes, le docteur américain. entend quel faut sourire d'une façon continue, au. moins trois ou quatre heures par jour, ensuite que l'on doit sourire non seulement des lèvres et des yeux, mais encore en dedans », du fond du cœur. Ça, 'est plns-difôeile. surtout quand on est malade Notre Esculape, qui traite spécialement les troubles nerveux et les affections ci'eJsUuftae pari ce moyen, a en ce moment une cinquantaine de malades dans sa clinique, dont la auraieetété ou guéris ou sérieusement . par quelques séances de sourire. Mille mots à la minute, soixante niUe à l'heure, voilà la vitesse de transmission obtenue ces jours-ci, aux Etats-Unis, avec un nouvel appareil télégraphique expérimente par la compagnie du Peunsylvania Railroad. Ingénieuse combinaison du Baudot français et du Weatstone américain, l'appareil en qoeatwn permet d'enregistrer les dépêches imprimées en clair sur une baude de papier chimique au prpssiate de potasse. L'impression s'opère par électrolyse, avec une extraordinaire rapidité jointe à une netteté parfaite. On se sert de l'alphabet Morse, le levier transmetteur agissant sur des électro-aimants qui perforent un ruban de papier suivant des points ou des traits représentant les lettres du message à passer. Ce ruban est ensuite placé dans un instrument spécial, où il se déroule automatiquement, de façon à déterminer une auccession de' contacts et d'interruptions du courant, dont la position, 1 la grosseur et à l'espacement des trous. Sur une ligne do 1,600 kilomètres, ayant une résistance de i,200 ohms, on est arrivé à envoyer plus de mille mots à la minute. La force élec- tro-motrice employée était de 10 k. volts. o– Nom chasseurs ne cessent de se plaindre de l'extrême rareté du gibier, et principalement de la caille. Le nombre de ces dernières va décroissant, tous les ans, dans des proportions inquiétantes, et l'on peut prévoir le jour où ces oiseaux de passage auront complètement dtëpafu de nos régions, si des mesures Internationales ne sont sévèrement prises pour empêcher les massacres auxquels ils sontsoumte dans certaines contrées. Un de nos correspondants nous signale, en et- fet, que deux navires, l'un Italien, l'autre alle- mand, ont débarqué ces jours derniers à Naples 150,000 cailles vivantes et 90,000 cailles mortes. Ces dernières, étant donné leur état, ont dû être brûlées par mesure d'hygiène. Notons encore que les cailles qui touchent le port de Naples représentent une intime partie des cailles capturées de la sorte, le plus grand nombre, et de beaucoup, étant destination de l'Angleterre. A quel effrayant total n'arriyeraiUon pas si on calculait sur ces données le nombre des couvées qui sont ainsi annuellement détruites? Les bizarreries de la langue, On parle des époux X. Mais le mari, dit quelqu'un, ne s'aperçoit donc de rien Si, mais il a là-dessus sa maniére de voir. c'est de fermer les yeux t GOUTTES Accidents d$ Tramways Hier, vers une heure et demie, à l'angle des mes Gay-Lussac et Saint-Jacques, un tramway de la ligne Porte-dTvry-les Halles a heurté le fiacre 9605. Une dame, qui se trouvait dans lo dernier véhicule, a eté blessée à la tète. A sept heures du soir, un tramway de la ligne Boulogne-Montreuil, a tamponné, rue de Vouillé, une voilure vide qui est venue heurter deux personnes, M. Charles Lacroix, bouvier et son fils Chariot, âgé de huit ans. Tous deux ont été blessés à la tête et à l'épaule gauche. Ils ont été transportés à l'hôpital Necker où M. t,acrnix a dû être admis d'urgence, sos blessures étautplus graves que celles de son fils, qui a pu regagner le domicile paternel, 56, rue Labrousse. Précoces Voleurs Avant-hier soir, vers onze heures. alors que la tête foraine du boulevard Richard-Lenoir battait son plein, trois inspecteurs de la sûreté aperçurent cinq jeunes gens, presque des enfants, activement occupés à fouiller les poches des promeneurs et des badauds. Après les avoir filés un instant, les inspecteurs, certains de leur fait, appréhendèrent les précoces voleurs et les emmenèrent au poste central de police du onzième arrondissement. Ces individus interrogés par M. Daltroff, commissaire de police, ont nié énergiquement avoir volé, affirmant que les agents se trompaient. Ils ont néanmoins été gardés à la disposition de la justice. Ce sont Louis et Jules Narquoil, âgés de quinze et seite ans, demeurant rue Pelleport; Edmond Dumolin, âgé de seize ans, domicilié rue de Ménilmontant et Henri et Louis Sauvey, âgés de quinze et dix-sept ans, demeurant rue Juillet. Dangereux Malfaiteur Deux agents du neuvième arrondissement en bourgeois, de service sur les grands boulevards, remorquaient hier soir, vers neuf heures, les allures d un individu qui, s'approchantdes femmes arrêtées aux devantures des magasins, paraissait explorer leurs poches. Devant le Vaudeville, deux dames s'apprêtaient à pousser le tambour de la porte du théâtre, lorsque l'homme se précipita sur l'une d'elles et lui arracha des mains une trousse de breloques en argent. Les agents s'élancèrent sur les traces du malfaiteur, qu'ils rejoignirent boulevard des Capucines ils s'en rendaient maîtres après une course lutte. Fouillé au commissariat de police, il fut trouvé porteur d'un couteau tbut ouvert et de plusieurs porte-monnaie contenant des pièces fausses. Il a déclaré à M. Tanguy se nommer Max Hoja et avoir servi dans lalégion étrangère. qui a fini son service aux bataillons d'Afrique, est sans domicile depuis six mois il a déjà subi trois condamnations. Il a été envoyé au Dépôt. Une Capture mouoomentée En montant l'esoalier d'une maison située 105, rue des Boulets, un enfant de dix ans aperçut. avant-hier soir vers six heures, deux individus qui pillaient l'appartement occupé au premier étage par M. Duclou. L enfant redescendit immédiatement, et avertit un marchand de vins établi au rez-de-chaussée, qui monta immédiatement à l'appartement Indiqué et surprit les deux cambrioleurs. A sa vue, les malfaiteurs enjambèrent une fenêtre et sautèrent sur la toiture d'un immeuble voisin. L'un d'eux réussit à prendre la fuite; son acolyte, moins heureux, s'étant blessé à la jambe assez sérieusement, demeura en détresse. Mais s'armant d'un couteau à la lame longue et fort effilée, il en menaça quiconque l'approcherait. Peu intimidé, le gardien de la paix Loize, du dixième arrondissement, se fit apporter une échelle, grimpa sur la toiture, et rejoignit le cambrioleur qu'il désarma après une lutte assez mouvementée. Conduit au commissariat de police de M. Guicheteau, cet individu déclara se nommer Louis Poilvet, et être âgé de vingt ans. C'est un repris de justice ayant déjà subi deux condamnations. il était porteur, au moment de son arrestation, de divers bijoux volés chez M. Iiuçlou. Dans l'appartement qu'il occupait, rue de Picardie, on a trouvé des armes diverses, et tout une trousse d'ustensiles nécessaires aux cambrioleurs. Poilvet s'est laissé envoyer au dépôt sans avoir voulu donner le nom de son acolyte que l'on recherche activement. Parfs ta Nutt Veps une heure, hier matin, un ouvrier bijoutier, Paul Lucas, âgé de vingt et un ans, demeurant 64, rue de Charenton, qui avait passé la soirée avec des amis, regagnait son domicile lorsque, boulevard Sébastopol, il fut accosté Ne 119. Feuilleton du PETIT Parisien. LES DEUX AIMEES GRAND ROMAN INÉDIT TROISIÈME PARTIS L'AMOUR VAINQUEUR VIII suite Deux Cambrioleurs Aerné ne tarda pas à en devenir plus épris que jamais. Comme tu es belle lui disait-il les yeux luisants, chaque fois qu'il la rencontrait seul à seul. Mais elle avait un plan, elle voulait rester froide, afin de l'affoler plus sûrement. Il parut en effet céder au caprice violent, qui de nouveau le reprenait. Mais comme elle lui résistait savamment, prudemment, tout à coup il descendit en luimême, finit par se ressaisir, et un jour où elle l'avait repoussé en lui disant Avec Pauline si jalouse auprès de nous, tu es fou, en vérité Elle l'entendit qui répondait entre ses dents Tu as raison, je suis fou. C'est sûr. J'aviserai. Il affecta de ne plus la regarder, et prévint la comtesse qu'il allait repartir prochainement pour la Gascogne. Alors Rosita comprit qu'elle était allée trop loin. Traduction et reproduction interdites. par une femme chez laquelle il refusa de se rendre. A un signal de cette dernière, deux individus qui se tenaient dissimulés derrière une porte cochère se précipitèrent sur l'ouvrier bijoutier. Celui-ei s'apprêta à repousser ses agresseurs, mais à peine avait-il eu le temps de se mettre sur la défensive qu'il fut frappé par l'un d'eux de deux coups de couteau. Lucas s'affaissa, baigné dans son sang, pendant que la fille et les deux individus prenaient la fuite. Des passants se mirent à leur poursuite et arrêtèrent les deux hommes, qu'ils remirent entre les mains des gardiens de la paix. Conduits chez M. Data', commissaire de police, ils déclarérent se nommer Auguste Vienne et Emile Cornette, tous deux âgée de dix-neuf ans, ouvriers fleuristes. Vienne n'a pas de domicile, Cornette demeure 3, rue Pierre-Dupont. Ils ont été envoyés an dépôt. Lucas, atteint au flanc et CI. l'omoplate droite, a été transporté à l'hôpital Saint-Louis; ses blessures ne sont pas mortelles. Un - A deux heures de l'après-midi, un ouvrier fumiste, M. François Belloni, âgé de vingt ans, demeurant avenue Daumesnil, est tombé du toit d'un immeuble 25, ruo Lauriston, dans une cage d'escalier. Il a été transporté à l'hôpital Beaujon. Son état est des plus graves. -•̃"•– M, Louis Pocheron, journalier, est tombé du premier étage d'un immeuble où. il travaillait, 26, rue Jean-Raspail, sur une marquise. Il s'est tué net. ̃+~» Au cours de l'avant-dernière nuit, vers deux heures du matin, un ouvrier ébéniste, M. Henri Roche, demeurant 126, rue de Charonne, rentrait chez lui et passait rue des Boulets, lorsqu'il fut assailli par huit individus qui le rouèrent de coups, le terrassèrent, lui enlevèrent tout ce qu'if avait sur lui, puis disparurent, se dispersant de tous côtés. Ces rôdeurs, dont M. Guicheteau, commissaire police, possède le signalement, sont activement recherchés. MIEUX, MEILLEUR MARCHÉ Pour payer moins cher et être mieux, servi, il faut faire aux établissements Allez frères tous ses achats d'articles de ménage, d'éclairage et de chauffage. L'Anniversaire de Brouvelieures De notre correspondant particuliers Brouvelieures, 13 octobre. Un temps merveilleux, un chaud soleil, ont favorisé la cérémonie de Brouvelieures, dont le Petit Parision a parlé déjà hier. Aussi la foule a-t-elle été grande à l'église et devant le monument. Dès neuf heures, une soixantaine de combattants étaient réunis devant l'obélisque com'mémoratif, venus souvent de très loin. Ils se sont formés en cortège et se sont rendus à l'église, remarquablement décorée, où un service solennel a eu lieu. L'oraison funèbre a été prononcée par l'abbé Villexte. Après l'absoute, le cortège, dans lequel figurent MM. Kelsch, député; Bejot, conseiller général le maire de Brouvelieures, le commandant d'armes de Bruyères et plusieurs officiers, s'est rendu devant le monument. Celui-ci, belle pyramide en granit rose des Vosges, est admirablement entretenu par la munieipalité de Brouvelieures, qui l's entouré d'un bois de et d'allées bien sablées. M. Helsoh a pris le premier la parole pour saluer les combattants venus pour honorer les camarades tombés au champ d'honneur. Après lui, M. Félix Bouvier, l'historien militaire, a lu des Je suis stupide, pensa-t-elle, j'ai agi comme une pensionnaire. Elle recommença ses œillades et ses provocations. Hervé affecta de ne plus les voir. Mais cela ne faisait pas l'affaire de Rosita, Alors elle décida qu'elle jouerait le tout pour le tout. Et une nuit, sans vergogne, sans qu'il le lui eût demandé, elle alla le trouver dans sa chambre à lui, celle qui se trouvait à deux pas de l'appartement de la comtesse. Là, sans penser que Pauline, si ombrageuse, pouvait les surprendre, elle mit en jeu tout l'arsenal de ses séductions diaboliques Si la comtesse, par hasard, les entendait, les voyait, déçue dans son amitié plus encore que dans son amour, elle pouvait les chasser, ne plus vouloir se retrouver jamais en leur présence. Et l'avenir alors, quel serait-il?. Et cette fortune si habilement commencée, que deviendrait-elle?. Rosita, toujours si prudente, songeait bien à ces choses, mais elle estimait qu'au-dessus de tout cela il y avait son iniluence sur Hervé, qui devait être reprise complète et absolue. La bataille qu'elle livra se termina par la plus complète des victoires. Pauline ne se douta de rien, et Treize-Arbres enivré par les philtres savants que lui avait versés sa maîtresse, se seutit reppts pour elle du plus impérieux, du plus irrésistible des amours, Maintenant, il était de nouveau prêts lai donner tout ce qu'il plairait à Rosita de lui demander. Dais le coup de passion qui l'étreignait, Madeleine était oubliée. vers d'une superbe envolée, poète Grand mougin, qui combattit comme sergent dans le corps franc des Vosges. Puis, M. Germain, un des sous-offlciers de Bourras, a rappelé avec une émotion communicative les noms des camarades morts dans les combats et ceux des autres vétérans qui ont récemment disparu. M. Bejot a célébré les qualités militaires de Bourras et de ses soldats. Il les a comparés aux Boôrs, dont il a loué la ténacité et le pahiotisme. Les discours ont éti's clos par celui de M. Ardouin-Dumazot, l'écrivain militaire qui fut suergent-fourrier au corps franc des Vosges, discours très vibrant et ému, dans lequel l'orateur a fait T61oge de l'armée actuelle. A midi a eu lieu le banquet, dans la-grande salle de la mairie de Brouvelieures, gracieusement mise à la dispositiou des anciens soldats de Bourras. M. Kelsch, député, a porté le premier toast à la santé du chef de l'Etat; le lieutenant Mansuy, président de l'Association, a lu les lettres des camarades qui n'ont pu venir, l'éloge du colonel Bourras et des vaillants qui surent si bien le seconder. M. Bernard a raconte comment s'engagea le combat. Enfin, M- ArdoulnDumazet a rappelé comment l'inspecteur des Chemins de fer Mansuy, après avoir ramené sous le feu de l'ennemi le matériel des chemins de fer restê à Metz, vint 6 la Bourgonce faire le coup da feu ayant encore sa redingote et son Le banquet a pris fin deux heures. LE CONCOURS DE JOUETS ET D'ARTICLES DE PARIS L'initiative si heureusement prise par M. Lépine, et dont nous exposions l'économie ces jours derniers, n'a pas été accueillie dès l'abord, par les intéressés, avec l'enthousiasme que l'on pouvait attendre. Certaines objections ont été faites, quant à la garantie de la propriété des modèles de jouets ou d'articles de Paris soumis mi jugement du jury, et tel petit façonnier ou ouvrier en chambre, pour qui la création d'un jouet nouveau représente, en perspective, un capital appréciable, ne se soucie pas de voir le fruit de ses veilles et de ses peines copié servilement par un concurrent mieux outillé et pouvant le priver complètement du bénéfice de son invention. De là, de la part des intéressés, une certaine préoccupation, avant de se faire inscrire pour le concours, de la garantie qu'ils pourraient obtenir vis-à-vis de toute personne qui voudrait, à leur détriment, copier ou reproduire leur invention. Cette garantie a été créée au prollt de toutes les personnes qui prennent part à une exposition régulièrement autorisée par la loi du 23 mai 1868, qui est ainsi conçue Tout Français ou étranger, auteur soit d'une découverte ou invention susceptible d'être brevetée aux termes de la loi du 5 juillet 1844, soit d'un dessin de fabrique qui doive être déposé, conformément à la loi du 18 mars 1806, ou ses ayants droit, peuvent, s'ils sont admis dans une exposition publique autorisée par l'administration, se faire délivrer par la 'préfet le préfet de la Seine, secrétariat généralt 2' bureau, pour Paris et le département de la Seine dans le département duquel cette exposition est ouverte, un certificat descriptif de l'objet déposé. Ce certificat assure à celui qui l'obtient, les mêmes droits que lui conférerait un brevet d'invention ou un dépôt légal de dessin de fabrique, à dater du jour do 1 admission jusqu'à la fin du troisième mois qui suivra la clôture de l'expoaition, sans préjudice du brevet que l'exposant peut prendre ou da dépôt qu'il peut opérer avant l'expiration de ce terme. La demande de ce certificat doit étre. faite dans le premier mois, au plus tard, de l'ouverture de l'exposition. Elle est adressée à la préfecture de la Seine et accompagnée d'une description exacte de l'objet à garantir, et s'il y a lieu, d'un plan ou d un dessin dudit objet. Les demandes ainsi que les décisions prises par le préfet sont inscrites sur un registre spécial qui est ultérieurement transmis au ministère du Commerce et de l'Industrie, et comntuniqué sans frais à toute réquisition. La délivrance du certificat est gratuite. » On voit donc que la propriété de l'objet soumis au concours sera garantie aux intéressés pendant un délai de trois mois. Les formalités étant des plus simples, on peut s'attendro à ce quo le nombre des demandes d'admission, qui s'est élevé Il pour les deux premières journées, s'augmente rapidement. De nombreux prix en espèces, venant s'adjoindre aux distinctions et médailles officielles, sont revoir Le directeur d'un grand magasin de nouveautés de la rive droite vient de faire parvenir déjà, à M. Lépine, préfet de police, une somme de mille francs destinée à être attribuée en prix. Cet exemple sera certainement suivi. Ce serait méconnaître l'esprit inventif de l'ouvrier parisien si l'on ne pouvait prédire d'avance, à ce concours, le plus vif succès. LES SPORTS LE MARATHON AMATEURS Sous le nom de Marathon des amateurs se disputait hier, une course pédestre de 40 kilomètres dont l'itinéraire rappelons-le, passait par Rneil, Marly; Rûexpieniloiirt. d'Avray et Saint-Cloud le départ et l'arrivée se Cette épreuve a obtenu un très joli et très franc succès sur tout le parcours, une foule considérable de chauffeurs, de cyclistes et même de piétons. Deux cent quarante 4oncurrents sur les 325 inscrits se sont présentés dès midi au départ. A une heure précise, le starter donnait le signal, et cette petite armée, aux maillots multicolores et aux mollets nus émergeant des larges culottes noires classiques, s'élançait sur la route d'un pas léger, c'est le cas de le dire. Au retour, par exemple, ce paa s'était considérablement alourdi et, à part quelques exceptions, les courageux pédestrians tlnirent dans un piteux état. Quetques-uns rentrérent à Paris en automobile ou même sur le dos de camarades comptaisants. Voici les passages des premiers concurrents aux principaux contrbtes A Rueil 11 kil.. Filliâtre R. C. F. passe 1" à m., suivi de Theato à 50 mètres. A Marly t7 kit. 350 m.. Filliâtre passe 1" à 2 h. 8 m., suivi de Theato k 30 mètres. A Versailles 27 kil. 75 m.. Theato passe 1" à 2 h. 44 m. Filliâtre 2*, à 2 h. 45 m., 3' Lesage Belge, à 2 h. 46 m. A l'arrivée, le classement s'est établi de la façon suivante 1" Filliâtre, du Racing-Club, couvrant la distance en 2 h. 38 m. 15 s., temps fut bat le précédent record. Lesage, un coureur belge, en 2 h. 40 m. 27 s. 3' Theato, du Racigg, en 2 h. 42 m. L'Espagnole estima alors qu'il était bien revenu son esclave, et elle pensa qu'elle pouvait lui faire connaître le petit hôtel où, patiemment, silencieusement, avec une persévérance de fourmi, elle entassait les richesses qu'elle dérobait à l'hôtel de Baudreuil. Si tu veux, lui dit-elle un jour, en lui faisant connaître sa nouvelle situation de propriétaire, ce sera désormais notre chez nous; là, comme l'hôtel m'appartient, il ne pourra nous arriver aucune espèce de désagrément. Nous y passerons, loin de tous, nos meilleurs instants. Il ne demandait pas mieux et, une aprèsmidi, en effet, Rosita lui en fit les honneurs. Hervé, dans ce cadre si bien assorti à la beauté de sa maîtresse, créé par elle 11 force d'intelligence et de perversité, se sentit envahi pour Rosita d'une tendresse encore plus ardente que par le passé. Décidément, celle qui était arrivée ce résultat n'était pas une créature ordinaire. Mais l'Espagnole avait un autre but que de filer le panait amour avec le rapin, qui aujourd'hui, du reste, lui était devenu parfaitement indifférent. Elle voulait lui faire avouer le commerce que certainement il faisait avec les tableaux de Saint-Martin-des-Anges, surtout se faire donner une large part dans le produit des larcins qu'il commettait lui aussi, de son côté. J Ce fut dur et difficile à obtenir. Hervé avait maintenant pris l'amour des économies. Voir augmenter son péeule était aujourd'hui sa seule ambition. Mais Hosita savait le faire arriver il. ses fins. Puisque tout nous sera commun plus tard, lui dit-elle, ton argent ne sera pas plus! en Déril chez moi que chez toi, au contraire. Thoato, qui avait tenu la tûto une grande par- tic dc la course, a été lâché Il la sortie do Ver- sailles. 4* Kuger, un Bordelais Lafitte, 6' Prevot, Cure, 8' Ketler, 90 Teluera, 10 Vottiau, ll'Voiturier, Lazare. Tous so suivaient à quelques minutes d'intervalle. LE CHAMPIONNAT DE FRANCE Le championnat de Franche des 100 kilomètres, bicyclettes, s'est disputé hier, ainsi que nous l'avons annoncé. Cette année, l'entraînement par simples bicyclettes était seul admis. Voici les résultats 1" Bourotte, en 2 h. 31 m. 12 s.; 2' Jue, à une longueur; Bruni, 4» Lorgeou, 5 Ruinart, 6' Fossier. FOOTBALL L'équipe première du Racing-Club de France Inaugurait hier sa saison par uu match de rugby contre le Wasp-Footbal-Club de Londres. Les nôtres, inBufllsarrinlBrtt entraînés, après ont finalement succombé. L'équipe anglaise a été proclamée victorieuse par 5 points 0 pour le Racing. LE SRiTOS-OUWSlIT » Le Santos-Drimont n» 7 7 devait sortir hier et venir pendant les courses hippiques planer audessus de Longchamps, mais au dernier moment son propriétaire a abandonné co projet, le vent soufflant trop violemment. Un détail qui ne sera pas pour nuire dans l'esprit de la foule à la popularité du jeune aéronaute l'arrière du ballon est depuis hier agrémenté d'un magnifique drapeau tricolore. Il. SantOB-Oumont renouvellera ses expériences tous les jours de temps calme, mais ils deviennent rares en cette saison! Ajoutons qu'un public très nombreux s'était rendu aux environs du parc des Coteaux et que son désappointement a été grand à l'annonce de la remise de l'expérience. M. Santos-Dumotit a aujourd'hui ses fidèles qui ne veulent pas pater une sortie. LE CONGRÈS DE L'U. V. F. L'Union vétocipêdique de France nous adresse le communiqué suivant Le congrès de l'Union vélocipbdique de France se réudissant mardi 15 octobre à midi, au GrandOrient, 16, rue Cadet, le comité directeur de l'Union vélocipédique de France prie les délègués de province qui arriveratent à Paris dans la journée de lundi de vouloir bien passer au siège social de l'U. V. F., 21, rue des Hons-Enfants, où une communication intéressante leatrseradonnée. Les bureaux seront ouverts lundi jusqu'à dix heures du soir. PAnis-BRESTa prouvé l'excellence des machines La Française ». Poitiers, 13 octobre. M. Deschanel, président de la Chambre des députés, qui a présidé aujourd'hui le banquet des sociétés de secours mutuels de la Vienne, est arrivé à Poitiers hier soir, par le sud-express. Le président était accompagné de M. Charrier, son chef de cabinet. A sa descente du train M. Deschanel a été reçu par M. Gaston Jolliet, préfet de la Vienne. Il est immédiatement monté en voiture et s'est rendu à la préfecture où un dîner intime a été servi, auxquels assistaient les sénateurs» les députés de la Vienne et plusieurs personnalités du département. Aujourd'hui, la fête a été favorisée par une température exceptionnelle. Les sociétés musicales amenées par les trains du matin ont donné à la ville une joyeuse animation. A midi, le cortège des sociétés se forme et se dirige vers le parc de Blossac, où doit avoir lieu le banquet, sous une tente de cent vingt mètres de long sur quinze mètres de large dressée sur la grande allée et superbement decorée. A midi et demi, M..Deschanel fait son entrée et prend place à la table d'honneur, ayant à sa gauche MM. Surreaux, maire; Thézard, sénateur Duvau et Girardin, députés, et à sa droite, MM. Jolliet, préfet; Ridouard, député; Couteaux, Demarçay, sénateurs; Pain, Dupuytrem, députés, etc. Tous les hauts fonctionnaires du département et de nombreuses notabilités assistaient au banquet, qui comprenait plus de treize cents couverts. C'est M. Jolliet, préfet de la Vienne, qui ouvre la série des toasts, en souhaitant la bienvenue à M. Deschanel, -qui s'est partout montré l'ami des sociétés de secours mutuels. M. Deschanel prend ensuite la parole. Il exprime sa reconnaissance pour le grand honneur qui lui a été fait aujourd hui, et adresse ses remerciements à tous. Il salue le département de la Vienne. M. Deschanel dit qu'il est venu à Poitiers non comme président de la Chambre, mais comme ami des mutualistes. Le mot d'ordre des mutualistes, dit-il, doit être aujourd'hui la concorde et l'union dans cette œuvre, à laquelle M. Cave a donné il y a quelque vingt ans un si grand développement. Il voudrait que tous fussent unis dans un lien commun la fraternité des mutualistes. M. Deschanel fait ensuite un tableau saisissant des résultats que la mutualité apporte et doit apporter un jour dans les rapports du patronat et du travail- En terminant, M. Deschanel invite tous les assistants à lever leurs verres en l'honneur de M. Loubet, ami des mutualistes, des membres des Chambres qui les ouf soutenus, à la France et la République. Des bravos et des applaudissements prolongés accueillent la fin de ce discours. A trois heures, NI. Mabilleau a fait, au théâtre, devant une salle comble, une conférence sur la mutualité qui a obtenu le plus grand succès. DÉPARTEMENTS DE NOS correspondants PARTICULIERS Dimanche 13 octobre. SENLIS. Une dame Adéle Vernet, âgée de cinquante-deux ans, habitant le hameau de Mermont, près Crépy-en-Valois, prise d'un accès de désespoir, a tenté de mettre fin à ses jours en absorbant le contenu d'un flacon de phénol, après avoir essayé sans succès d'en faire boire à son mari. Elle a été secourue heureusement à temps. V1LLERS-COTTERETS. Un accident terrible est arrivé hier. Un enfant de dix-huit mois, le petit Crépin habitant dans le quartier de la Tunisie, a été brûlé vif dans son berceau. C'est un de ses frères, à peine âgé de cinq ans, qui, en jouant avec des allumettes, a mis le feu à la paillasse sur laquelle reposait le pauvre bébé. BORDEAUX. Cet après-midi a eu lieu le banquet de l'Association des conducteurs et commis des ponts et chaussées. M. Monis, ministre de la Justice, qui devait présider, s'est trouvé empê- Moi, maintenant. je n'aurai jamais plus ni tentation ni faiblesse. Marchons résolument tous les deux vers le but que nous nous sommes fixé et qui est le même, et quand il sera atteint, ce but, que notre fortune sera solide, nous nous marierons. Et Pauline'? demanda le rapin la gorge un peu sèche à cause des complications qu il entrevoyait et qu'il redoutait. Hosita eut un geste effrayant de résolution et d'énergie. Je m'en charge dit-elle catégoriquement. Tu sais; fit Treize-Arbres en tremblant, je ne veux pas être mêlé à une chose aussi dangereuse. J'y suffirai, encore plus effrayante. Mais si tu veux échapper à l'enfer qui est aujourd'hui le tien, il faut me payer ,d'avance. Il n'hésita plus, et sur les grosses sommes qne lui remettait le marchand de tableaux, ce fut désormais Rosita qui toucha la plus large part. Hervé alors redoubla de travail et d'assiduité. Il ne produisait cependant pas plus que par Sa main s'était refaite à ce travail où jadis il était paosé maitre, et il allait infiniment plus vite en besogne que dans les commencements. Mais maintenant ses voyages à Paris étaient pins fréquents. Les trois quarts du temps, Pauline ne le voyait même pas. il descendait rue Dombasle, et de là il envoyait un bleu à Rosita pour la prévenir de sa présence. Le soir, alors, elle se rendait rue du Raaelagh, et la fête commentait chd, et a envoyé un tGl"NEAU, avoué, 25, rue Trouchet; Dauvim, notaire à Boulogne-sur-Seine. HAISO.\ A VE,\ORK A L'AMIABLE rès r. St-Denis. Hev. f. Px f. cpt. Ajournai do Propriétaires, 14 bis, ù' Poissonnière.

Plan de l'article Tout sur le thermomètre avant Quelles sont les différentes catégories de thermomètres frontaux ? 3 raisons d’acheter un thermomètre avant Facile, c’est intuitif Efficace, il retourne la température rapidement Obtenez un résultat de mesure précis Comment mesurer la température frontale ? Quel est le meilleur thermomètre frontal en 2020 ? Tout sur le thermomètre avant Il existe plusieurs façons de mesurer la température corporelle, mais tous n’ont pas le même avantage. Parmi nos différents thermomètres , le modèle frontal convient à tous les professionnels de la santé ou particuliers à la maison. Le thermomètre avant est également disponible pour les bébés et en version infrarouge sans contact pour une meilleure précision. A lire aussi Comment savoir si le poulet est cuit sans thermometre ? Quelles sont les différentes catégories de thermomètres frontaux ? Nous pouvons distinguer deux types de thermomètres frontaux A voir aussi Comment choisir une machine à café à grain Thermomètre avec contact Electronique, il mesure la température dès qu’il entre en contact avec le front et fonctionne avec des piles. Le thermomètre sans contact Celui-ci est nécessairement infrarouge. Il fonctionne sur les piles et vous permet de régler la température à distance entre 1 et 4 cm de la cible. Le thermomètre avant peut également être utilisé pour calculer la température des liquides ou des objets. Un thermomètre idéal pour mesurer la température de l’eau de votre bain. 3 raisons d’acheter un thermomètre avant Facile, c’est intuitif Le thermomètre avant , contrairement aux autres thermomètres, nécessite peu de manipulation. Appuyez simplement sur le bouton de l’appareil avant de mesurer la température, attendez quelques secondes et le résultat sera affiché directement. Certains modèles, comme le thermomètre multifonction FT 70 de Beurer, offrent une commodité supplémentaire grâce à un grand écran facile à lire. De plus, une alarme visuelle et sonore vous avertira si la température est trop élevée. Certains thermomètres frontaux ont une fonction vocale, ce qui les rend très faciles à utiliser et adaptés à tout le monde accessible. Le thermomètre 2 en 1 Mediprem est également très pratique, il a la double fonction de l’avant et de l’oreille. C’est un produit innovant et unique en son genre. Vous trouverez ce produit exclusivement chez Girodmedical. Grâce à sa forme compacte, ce thermomètre est résistant aux chocs et facile à transporter. Vous pouvez le ranger dans votre trousse de toilette pour surveiller votre température lorsque vous voyagez et en déplacement. Efficace, il retourne la température rapidement Comme le thermomètre frontal électronique de Colson, vous pouvez obtenir le résultat de votre température en quelques secondes après un simple balayage frontal. Pour les bébés, les thermomètres frontaux sont très pratiques, car ils vous permettent de mesurer en 3 secondes. Par conséquent, il n’est pas nécessaire d’enlever l’enfant pendant la mesure. Afin de ne pas obtenir l’enfant brusquement , les thermomètres infrarouges sans contactColson Flash Temp Thermomètre électronique garantissent un réglage efficace de la température pendant que votre enfant dort. Grâce au rétroéclairage de la plupart des appareils, vous pouvez lire vos mesures même la nuit. Vous nous avez fait confiance pour le thermomètre frontal électronique Colson Flash Temp Obtenez un résultat de mesure précis Ce modèle de thermomètre est conçu pour fournir des données précises sur la température corporelle chez les enfants et les adultes. La mesure est la plus fiable lorsque le thermomètre avant est orienté vers la zone sélectionnée, sans aucune obstruction entre l’appareil et l’individu. Le thermomètre avant est également très pratique, car certains appareils ont une grande capacité de stockage, ce qui peut enregistrer les 30 dernières mesures. Avant vous , tout d’abord, vous devez vous assurer que le front de l’individu est bien clair et essuyé avec une serviette transpiration. Nous vous conseillons d’attacher vos cheveux. Dans ce cas, la mesure pourrait être faussée. Pour utiliser un thermomètre frontal , il suffit de le positionner devant votre front ou le front de l’individu pendant quelques secondes, et laisser le thermomètre afficher automatiquement les résultats. Après quelques secondes, le thermomètre avant affiche la température corporelle de l’individu avec précision et précision sur un écran. Il sera nécessaire de penser au capteur de l’appareil parallèle à l’avant de l’individu tenant une distance entre l’appareil et le front entre 3 et 7 cm. Si vous avez besoin d’effectuer plusieurs utilisations consécutives, il est conseillé d’attendre 15 à 20 secondes entre chaque mesure. Enfin, n’oubliez pas de pour nettoyer l’appareil pour l’entretien du thermomètre avant . Quel est le meilleur thermomètre frontal en 2020 ? Découvrez notre gamme de thermomètres frontaux fiables, efficaces et innovants sur Girodmedical . modèle marque Prix Braun NTF3000 Thermomètre avant et sans contact Marron voir le prix Sanitas SFT 65 Thermomètre multifonction Sanitas voir le prix Mediprem Thermomètre à contact et oreille 2 en 1 Mediprem voir le prix Thermomètre infrarouge sans contact infratemp 2 Frafito voir le prix Colson Thermomètre avant électronique température du flash Colson voir le prix Braun NTF3000 un thermomètre haut de gamme avec un excellent Le rapport qualité-prix ! 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La fièvre est indiquée par une interprétation par code couleur du résultat. Grâce à ce thermomètre frontal, 30 sauvegardes sont possibles. Mediprem Thermomètre à contact et oreille 2 en 1 Ce thermomètre est idéal pour un réglage rapide et précis de la température. L’application frontale est possible pour tous les âges à partir de 3 mois. Ce thermomètre a une capacité de stockage de 20 données inscriptibles. En outre, une alarme sonne lorsque de la fièvre est détectée 6 signaux courts sonores. Infratemp infrarouge sans contact 2 thermomètre rapide et efficace Ce thermomètre vous permet d’ajuster rapidement et efficacement la température. Il a un rappel de 32 sauvegardes que vous pouvez utiliser dans une pièce sombre grâce à la lumière LED lorsque votre bébé dort. Ce modèle de thermomètre est ultra-compact et permet un transport et un rangement faciles. Colson Flash Thermomètre électronique Temp Ce thermomètre infrarouge vous permet de mesurer la température chez les adultes, les enfants et même les objets. Un indicateur sonore et lumineux sonne lorsqu’il détecte de la fièvre. En outre, il enregistre les 30 dernières mesures. Il s’éteint automatiquement après 60 secondes de non-utilisation. N’ hésitez pas encore à attendre et consultez nos différents types de thermomètres frontaux au meilleur prix sur notre site Girodmedical. Pour suivre nos actualités, visitez nos réseaux sociaux Facebook, Pinterest et Twitter !

COMMENTGERER LE RISQUE LIE AUX LEGIONELLES DANS UN RESEAU D’EAU CHAUDE SANITAIRE?. Plan de l’intervention. Un préalable : bien connaître son installation Les 3 principes de gestion des légionelles Maîtriser la température Prévenir l’entartrage et la corrosion Eviter la stagnation de l’eau

Maisen réalité, il existe 3 principaux types desèche-ongles. Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, le sèche-ongles LED et le sèche-ongles UV sont deux différents types bien distincts. Cela dit, leurs fonctions similaires permettent de les associer dans la

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