ï»żDansle cadre du contrĂŽle mĂ©dical de la conduite, vous devez prendre rendez-vous auprĂšs d'un mĂ©decin de ville agréé par le prĂ©fet sauf si ce contrĂŽle mĂ©dical fait suite Ă  une infraction liĂ©e Ă  l'alcool ou aux stupĂ©fiants : dans ce cas prendre rendez-vous en commission mĂ©dicale.. TĂ©lĂ©charger les listes des mĂ©decins agréés par le prĂ©fet de Loire-Atlantique pour le

Troubles neuromusculaires, troubles mĂ©taboliques, mais aussi problĂšmes comportementaux
 l’exposition aux mĂ©taux lourds, y compris Ă  faible dose, peuvent ĂȘtre Ă  l’origine de nombreuses pathologies souvent insidieuses. Voici ce que nous savons aujourd’hui sur les plus frĂ©quents de ces toxiques indĂ©celables par les examens mĂ©dicaux classiques. De nombreuses affections physiques et mentales sont provoquĂ©es par une intoxication chronique aux mĂ©taux lourds. Ils intoxiquent nos cellules et prennent la place des oligo-Ă©lĂ©ments qui sont des catalyseurs d’activitĂ©s enzymatiques. Cette substitution a pour effet d’inhiber de nombreuses fonctions vitales au niveau cellulaire. De plus, ils perturbent le fonctionnement du systĂšme immunitaire et sont responsables des maladies auto-immunes dont la frĂ©quence ne cesse d’augmenter. Une des prioritĂ©s est d’abord de les Ă©viter au quotidien. Ce n’est pas facile car les sources de ces pollutions sont nombreuses et diffĂ©rentes selon le toxique incriminĂ©. L’aluminium Ce mĂ©tal est prĂ©sent dans L’eau du robinet, car les stations d’épuration qui rendent l’eau potable utilisent du sulfate d’aluminium pour Ă©liminer les matiĂšres organiques de l’eau. Les ustensiles de cuisine en aluminium, casseroles ou emballages feuille d’alu, barquettes en alu libĂšrent du mĂ©tal dans les aliments 100 g de tomates conservĂ©es dans une feuille d’alu toute une nuit peuvent contenir jusqu’à 6,5 mg d’aluminium. Citons Ă©galement les boĂźtes de conserve et les boissons en canette. Les additifs alimentaires sous forme de colorant E173, d’épaississants, d’antiagglomĂ©rants, d’émulsifiants E520, E521, E522, E523. Le E541 dans les viennoiseries et les E554, E555, E556, E559, dans les aliments sĂ©chĂ©s en poudre ainsi que le sel raffinĂ© et les fromages industriels. Les cosmĂ©tiques comme certains dentifrices et dĂ©odorants contiennent du chlorure d’aluminium. La plupart des vaccins contiennent des doses d’aluminium 50 Ă  80 fois supĂ©rieures aux normes europĂ©ennes 15 ”g par litre. Certains mĂ©dicaments, dont de nombreux antiacides, contiennent de l’hydroxyde d’aluminium parfois en forte dose, comme le Maalox 200 mg. Les effets de l’aluminium sur la santĂ© L’aluminium est toxique pour le cerveau, il peut ĂȘtre Ă  l’origine de pertes de mĂ©moire ainsi que de la maladie d’Alzheimer. Plusieurs Ă©tudes dĂ©montrent que le risque de dĂ©velopper la maladie d’Alzheimer est huit fois plus Ă©levĂ© chez les personnes qui absorbent une quantitĂ© anormalement Ă©levĂ©e d’aluminium Il peut interfĂ©rer avec l’assimilation du calcium et du phosphore. Cela empĂȘche la croissance des os rachitisme et rĂ©duit la densitĂ© osseuse ostĂ©oporose. Sa toxicitĂ© peut aussi avoir pour consĂ©quence des douleurs musculaires, de l’anĂ©mie, des troubles digestifs, une perturbation de la fonction hĂ©patique, des coliques et une insuffisance rĂ©nale. Une pathologie musculaire inflammatoire myofasciite Ă  macrophages dont les symptĂŽmes sont des douleurs musculaires et de la fatigue avec un peu de fiĂšvre. Les biopsies musculaires prĂ©lĂšvements de cellules pratiquĂ©es sur ces malades rĂ©vĂšlent alors la prĂ©sence d’une concentration anormale d’aluminium au niveau du muscle oĂč l’on a administrĂ© un vaccin contenant de l’aluminium. Une action perturbatrice sur le systĂšme immunitaire cause premiĂšre des maladies auto-immunes. Le mercure Les sources de pollution au mercure sont diverses mais la pollution de loin la plus importante provient des amalgames dentaires. Une personne possĂ©dant huit amalgames mĂ©talliques en bouche ce qui est la moyenne de la population française peut s’intoxiquer au mercure Ă  raison de 15 ”g par jour. Toutefois, l’importance de la libĂ©ration du mercure dans l’organisme est trĂšs variable. Le mercure est Ă©galement utilisĂ© comme conservateur dans les vaccins. Le thiomersal est un sel de mercure qui agit comme anti-infectieux et conservateur. Mais il existe d’autres sources de contamination air polluĂ© usines, poissons et mollusques, plastiques, encres d’impression, certaines peintures, pesticides organo-mercuriels, en cas de bris de nĂ©on ou d’ampoules Ă  Ă©conomie d’énergie. Signes de l’excĂšs de mercure Tremblements musculaires, paralysie, convulsions. Hypersalivation, stomatite, parodontite. HyperactivitĂ© et troubles de l’attention chez les enfants. Autisme. Perturbations du systĂšme immunitaire, qui sont la cause premiĂšre des maladies auto-immunes. L’arsenic L’arsenic est largement rĂ©pandu dans la biosphĂšre sous forme d’élĂ©ment trace. Dans certaines rĂ©gions, les concentrations d’arsenic dans le sol et dans l’eau sont trĂšs Ă©levĂ©es, que ce soit naturellement ou du fait de l’activitĂ© humaine. En effet, l’arsenic est employĂ© comme insecticide dans l’agriculture. On en retrouve surtout dans les cĂ©rĂ©ales le riz et le blĂ©, les lĂ©gumes, les fruits de mer. À une moindre Ă©chelle, l’arsenic est utilisĂ© pour le traitement du bois, dans les industries du verre et des pigments, dans les appareils Ă©lectroniques et pour les alliages. Signes de l’excĂšs d’arsenic Faiblesse, somnolence. Maux de tĂȘte, convulsions. Douleurs musculaires. Neuropathie pĂ©riphĂ©rique. Le plomb Le plomb est un mĂ©tal largement utilisĂ© dans les batteries de voiture, sous forme de tĂŽles plombĂ©es dans le secteur de la construction, dans le plastique PVC, dans le cristal et la cĂ©ramique, sous forme d’écran contre les radiations, dans certaines teintures pour cheveux. Signes de l’excĂšs de plomb Effets sur le systĂšme nerveux hyperactivitĂ©, troubles de l’attention, faiblesse intellectuelle. Effets sur la moelle osseuse et le sang le plomb bloque plusieurs enzymes nĂ©cessaires Ă  la synthĂšse de l’hĂ©moglobine. Ces effets sanguins aboutissent Ă  une diminution du nombre des globules rouges et Ă  une anĂ©mie. Effets gastro-intestinaux constipation ou diarrhĂ©e, goĂ»t de mĂ©tal dans la bouche, douleurs ou crampes abdominales. Le cadmium Pour les fumeurs, la source majeure d’exposition au cadmium est la fumĂ©e de cigarette. Pour les non-fumeurs, la voie principale d’absorption du cadmium est l’ingestion de nourriture. Cela est dĂ» au fait que ce mĂ©tal, prĂ©sent dans le sol, se retrouve Ă  l’état de traces dans les lĂ©gumes qui y poussent. On en trouve Ă©galement dans les gaz d’échappement des automobiles. Signes de l’excĂšs de cadmium EmphysĂšme pulmonaire sans antĂ©cĂ©dent de bronchite chronique. Insuffisance rĂ©nale. Risque augmentĂ© de fractures osseuses. L’antimoine La voie principale de contamination est la prĂ©sence d’antimoine dans les eaux minĂ©rales embouteillĂ©es et stockĂ©es dans des rĂ©cipients en plastique de type polyĂ©thylĂšne tĂ©rĂ©phtalate PET car l’antimoine est utilisĂ© comme catalyseur de polymĂ©risation du PET. La concentration d’antimoine est proportionnelle au temps de sĂ©jour de l’eau dans la bouteille en plastique qui, on le sait, peut-ĂȘtre assez long. L’antimoine entre dans la composition de nombreux alliages, auxquels il confĂšre duretĂ© et rĂ©sistance Ă  la corrosion. On l’utilise Ă©galement dans les textiles comme retardateur de flamme. Signes de l’excĂšs d’antimoine Irritation des voies aĂ©riennes supĂ©rieures rhinite, laryngite, trachĂ©ite. ProblĂšmes cardiovasculaires hypertension, arythmie
. Troubles digestifs gastro-entĂ©rites. Troubles nerveux cĂ©phalĂ©es
. Se dĂ©barrasser des mĂ©taux lourds Aluminium dans les vaccins, mercure des amalgames dentaires
 la prĂ©sence de ces mĂ©taux a une incidence sur le fonctionnement de notre organisme. Mais le fait que ces toxiques soient particuliĂšrement dangereux rend leur Ă©limination dĂ©licate. Quand on envisage d’éliminer ce type de toxique, il faut donc ĂȘtre prudent. Avant d’envisager une cure pour enlever les mĂ©taux lourds il est bon de se faire une idĂ©e de l’importance de l’intoxication. Dans ce but, plusieurs analyses sont possibles prise de sang, examen des urines, des selles ou des cheveux. Mais les rĂ©sultats ne donnent qu’une idĂ©e partielle du degrĂ© d’intoxication. Il est donc prĂ©fĂ©rable de procĂ©der Ă  au moins deux de ces analyses et de les mettre en perspective avec d’autres Ă©lĂ©ments antĂ©cĂ©dents mĂ©dicaux, insuffisance des Ă©monctoires, etc.. Un bilan hĂ©patique et rĂ©nal, ainsi qu’un statut antioxydant ORAC assay, par exemple seront les bienvenus. Concernant le mercure, il faut savoir que ce mĂ©tal est non seulement trĂšs volatil mais aussi trĂšs attirĂ© par les tissus nerveux et rĂ©nal. Ainsi, lorsqu’il est larguĂ© dans l’organisme, non seulement il n’est dĂ©tectable dans le sang que trĂšs peu de temps, mais le taux relevĂ© est toujours infĂ©rieur Ă  celui de l’intoxication rĂ©elle. Les dĂ©tecter Le diagnostic et la quantification de la prĂ©sence de mĂ©taux lourds, ou Ă©lĂ©ments traces mĂ©talliques, dans notre organisme n’est pas chose aisĂ©e. Certains prĂ©conisent l’analyse des cheveux, la prise de sang, le dosage urinaire, l’analyse de selles ou de la salive. Le problĂšme est que les mĂ©taux lourds se fixant principalement dans les cellules, ces tests ne constituent pas des preuves irrĂ©futables de l’intoxication. Souvent, ils ne sont pas si faciles Ă  utiliser. Le dosage de mercure dans les cheveux, par exemple, s’est rĂ©vĂ©lĂ© nĂ©gatif dans les cas d’intoxication de longue durĂ©e puis parfois positif aprĂšs avoir commencĂ© un traitement. J’ai eu personnellement l’occasion de tester un dispositif portatif Ă©quipĂ© d’un spectrophotomĂštre de type Raman couplĂ© Ă  un logiciel permettant la mesure des mĂ©taux lourds intracellulaires mais Ă©galement la biodisponibilitĂ© des minĂ©raux utiles calcium, magnĂ©sium, zinc, cuivre, fer
. Ce dispositif fournit des rĂ©sultats fiables et rapides le test prend trois minutes. Il devrait bientĂŽt Ă©quiper la plupart des cabinets des thĂ©rapeutes conscients de l’importance du dosage des minĂ©raux et des mĂ©taux lourds pour notre santĂ©. Bien se prĂ©parer AprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© les rĂ©sultats des analyses et quelle que soit la cure envisagĂ©e, elle est rarement recommandĂ©e en premiĂšre intention. En effet, il faut d’abord s’assurer d’une certaine hygiĂšne de vie qui doit reposer au moins sur une alimentation Ă  base de produits essentiellement biologique, un rĂ©gime de type mĂ©diterranĂ©en et un habitat sain. MĂȘme si une cure de dĂ©toxication est indiquĂ©e, il ne faut pas l’envisager seul, car elle peut mettre en danger les fonctions cĂ©rĂ©brales, hĂ©patiques, rĂ©nales et mĂȘme cardiaques. En effet, au cours de la cure, les mĂ©taux indĂ©sirables et autres toxiques accumulĂ©s dans l’organisme sont larguĂ©s dans le sang, passent par le foie et les reins avant d’ĂȘtre Ă©ventuellement Ă©liminĂ©s. Le risque est que la quantitĂ© de produits nocifs remise en circulation soit trop importante et provoque pour les Ă©monctoires un travail trop important. Avec pour risque Ă©vident, la saturation c’est-Ă -dire l’insuffisance aiguĂ« hĂ©patite toxique, insuffisance rĂ©nale aiguĂ« potentiellement mortelle. DĂ©sintoxication par la mĂ©decine naturelle On recourt en gĂ©nĂ©ral Ă  des substances chĂ©latrices, capables de former avec les minĂ©raux ionisĂ©s des complexes stables, inactifs et hydrosolubles, donc facilement Ă©vacuables par les voies urinaires. Certains de ces produits ont nĂ©anmoins un inconvĂ©nient majeur, leur non-sĂ©lectivitĂ©, de sorte que les minĂ©raux indispensables subissent le mĂȘme traitement, risquant de crĂ©er des dĂ©ficits, voire des carences en calcium, fer, magnĂ©sium
 Il n’est donc pas envisageable de s’engager dans une telle dĂ©sintoxication au long cours sans l’avis, puis le suivi pĂ©riodique d’un mĂ©decin nutrithĂ©ra- peute ou d’un naturopathe. Ces substances ne doivent pas ĂȘtre prises pendant la grossesse ni l’allaitement. Les algues Outre l’EDTA qui est le plus ancien des traitements mais qui, molĂ©cule de synthĂšse oblige, n’a pas sa place ici, le second complĂ©ment chĂ©lateur auquel on pense est la chlorella Chlorella pyrenoidosa. Cette microalgue a d’abord Ă©tĂ© utilisĂ©e au Japon aprĂšs la Seconde Guerre mondiale pour offrir des apports suffisants en protĂ©ines et vitamines. Dans un second temps, il s’est avĂ©rĂ© que la chlorella possĂ©dait la propriĂ©tĂ© de chĂ©later les minĂ©raux, Ă  raison de deux ou trois grammes biologique indispensable ! par jour en continu, des mois durant. Toutefois, il est frĂ©quent de ressentir un certain inconfort maux de tĂȘte, malaise digestif, baisse de l’humeur, douleurs articulaires, etc. aprĂšs quelques jours de cure de dĂ©sintoxication Ă  la chlorella. Certains conseillent d’augmenter, parfois de façon considĂ©rable, la posologie. Ce genre de protocole pousse les Ă©monctoires dans leurs limites, au risque de provoquer leur vieillissement accĂ©lĂ©rĂ©. Face aux intoxications, il existe une autre algue capable de dĂ©barrasser notre organisme de ces mĂ©taux trĂšs nocifs. I. Des recherches mondiales ont dĂ©montrĂ© que l’algue brune Laminaria japonica contient plusieurs principes actifs de la plus haute valeur thĂ©rapeutique dont l’alginate qui est un puissant capteur, ou chĂ©lateur, de mĂ©taux lourds. Par rapport Ă  la chlorella, le traitement est plus rapide et surtout il ne prĂ©sente pas ces phĂ©nomĂšnes d’aggravation temporaire des symptĂŽmes. La durĂ©e du traitement dĂ©pend surtout de l’importance de l’intoxication entre 3 et 6 mois et il sera de prĂ©fĂ©rence suivi par un mĂ©decin formĂ© Ă  la chĂ©lation. La zĂ©olite ComplĂ©ment moins connu, la zĂ©olithe clinoptilolite ZC du fait de sa structure stable et de sa nature microporeuse, ce minĂ©ral prĂ©sent dans certaines roches volcaniques offre une grande surface de contact avec l’air, chargĂ©e nĂ©gativement riche en Ă©lectrons, ce qui attire les Ă©lĂ©ments chargĂ©s positivement pauvres en Ă©lectrons ou cations dont de nombreux polluants tels que le cadmium, le mercure, le nickel, le plomb et certaines bactĂ©ries, entre autres. Outre son rĂŽle d’éboueur, la ZC possĂ©derait d’importantes activitĂ©s antioxydantes, rĂ©gulatrice de la flore intestinale et restauratrice de l’immunitĂ©. Afin d’augmenter ses propriĂ©tĂ©s thĂ©rapeutiques, elle est vendue sous forme micronisĂ©e, soit pure, soit combinĂ©e avec du curcuma ou de l’aloĂ© vĂ©ra. La dose habituellement recommandĂ©e est de 5 grammes 1 ou 2 fois par jour. L’argile Dans de nombreuses cultures, les femmes en consomment pendant leur grossesse, notamment lors du premier trimestre quand leur systĂšme immunitaire doit s’adapter Ă  la prĂ©sence du corps Ă©tranger qu’est le fƓtus qu’elles portent. Un peu plus tard, les enfants de ces femmes consomment de l’argile jusqu’à l’adolescence, chaque fois qu’ils sont touchĂ©s par une pathologie digestive. Une façon souvent efficace de se protĂ©ger des toxiques y compris des mĂ©taux lourds. Le lait de jument La prĂ©sence de peptides bifidogĂšnes aide Ă  la restauration de la flore intestinale, celle des glycomacropeptides complexes de glucides et de peptides de grande taille et de casĂ©ine K rĂ©gule la sĂ©crĂ©tion des enzymes qui facilitent la digestion. Attention aux Ă©monctoires Quelle que soit l’intention que l’on a avant de dĂ©marrer une cure de dĂ©sintoxication, il est indispensable de se rappeler que les fonctions Ă©monctorielles vont ĂȘtre rĂ©quisitionnĂ©es alors qu’elles sont peut-ĂȘtre saturĂ©es, voire diminuĂ©es. Il est donc Ă©vident que la posologie des chĂ©lateurs ne doit pas ĂȘtre exagĂ©rĂ©e et que leur prise doit ĂȘtre associĂ©e Ă  celle de certains draineurs. Pour ce faire, en mĂȘme temps qu’un dĂ©pistage des mĂ©taux toxiques, il est capital de faire dresser par son mĂ©decin traitant un bilan des fonctions hĂ©patiques et rĂ©nales avant mĂȘme de commencer la cure, puisque, de toutes les fonctions Ă©monctorielles, ce sont ces deux-lĂ  qui sont majoritairement sollicitĂ©es au minimum, dosages sanguins de la crĂ©atinine, des transaminases ALAT, ASAT et des gamma glutamyl-transpeptidases GGT. Ce premier Ă©tat des lieux prĂ©sente d’ailleurs un double intĂ©rĂȘt adapter au mieux la posologie des chĂ©lateurs et des draineurs, et servir de repĂšre lorsque de nouveaux contrĂŽles seront pratiquĂ©s. Dr Thierry Schmitz pour Alternative SantĂ©
LISTEDES MEDECINS AGREES PAR LA PREFECTURE DU CHER CONSULTANT HORS COMMISSION MEDICALE (en cabinet privĂ©) au 22 JUILLET 2022 DANS LE CHER : Docteur Adresse TĂ©lĂ©phone CAMUS Jean-Louis 6 passage LĂ©vĂȘque 18100 VIERZON .68 CLASQUIN Maryse 2 rue des Ă©coles 18160 CHEZAL-BENOIT 09.77.96.30.27 De nombreuses affections physiques et mentales sont provoquĂ©es par une intoxication chronique aux mĂ©taux lourds. Ils intoxiquent nos cellules et prennent la place des oligo-Ă©lĂ©ments qui sont des catalyseurs d’activitĂ©s enzymatiques. Cette substitution a pour effet d’inhiber de nombreuses fonctions vitales au niveau cellulaire. De plus, ils perturbent le fonctionnement du systĂšme immunitaire et sont responsables des maladies auto-immunes dont la frĂ©quence ne cesse d’augmenter. Une des prioritĂ©s est d’abord de les Ă©viter au quotidien. Ce n’est pas facile car les sources de ces pollutions sont nombreuses et diffĂ©rentes selon le toxique incriminĂ©. L’aluminium Ce mĂ©tal est prĂ©sent dans L’eau du robinet, car les stations d’épuration qui rendent l’eau potable utilisent du sulfate d’aluminium pour Ă©liminer les matiĂšres organiques de l’eau. Les ustensiles de cuisine en aluminium, casseroles ou emballages feuille d’alu, barquettes en alu libĂšrent du mĂ©tal dans les aliments 100 g de tomates conservĂ©es dans une feuille d’alu toute une nuit peuvent contenir jusqu’à 6,5 mg d’aluminium. Citons Ă©galement les boĂźtes de conserve et les boissons en canette. Les additifs alimentaires sous forme de colorant E173, d’épaississants, d’antiagglomĂ©rants, d’émulsifiants E520, E521, E522, E523. Le E541 dans les viennoiseries et les E554, E555, E556, E559, dans les aliments sĂ©chĂ©s en poudre ainsi que le sel raffinĂ© et les fromages industriels. Les cosmĂ©tiques comme certains dentifrices et dĂ©odorants contiennent du chlorure d’aluminium. La plupart des vaccins contiennent des doses d’aluminium 50 Ă  80 fois supĂ©rieures aux normes europĂ©ennes 15 ”g par litre. Certains mĂ©dicaments, dont de nombreux antiacides, contiennent de l’hydroxyde d’aluminium parfois en forte dose, comme le Maalox 200 mg. Les effets de l’aluminium sur la santĂ© L’aluminium est toxique pour le cerveau, il peut ĂȘtre Ă  l’origine de pertes de mĂ©moire ainsi que de la maladie d’Alzheimer. Plusieurs Ă©tudes dĂ©montrent que le risque de dĂ©velopper la maladie d’Alzheimer est huit fois plus Ă©levĂ© chez les personnes qui absorbent une quantitĂ© anormalement Ă©levĂ©e d’aluminium Il peut interfĂ©rer avec l’assimilation du calcium et du phosphore. Cela empĂȘche la croissance des os rachitisme et rĂ©duit la densitĂ© osseuse ostĂ©oporose. Sa toxicitĂ© peut aussi avoir pour consĂ©quence des douleurs musculaires, de l’anĂ©mie, des troubles digestifs, une perturbation de la fonction hĂ©patique, des coliques et une insuffisance rĂ©nale. Une pathologie musculaire inflammatoire myofasciite Ă  macrophages dont les symptĂŽmes sont des douleurs musculaires et de la fatigue avec un peu de fiĂšvre. Les biopsies musculaires prĂ©lĂšvements de cellules pratiquĂ©es sur ces malades rĂ©vĂšlent alors la prĂ©sence d’une concentration anormale d’aluminium au niveau du muscle oĂč l’on a administrĂ© un vaccin contenant de l’aluminium. Une action perturbatrice sur le systĂšme immunitaire cause premiĂšre des maladies auto-immunes. Le mercure Les sources de pollution au mercure sont diverses mais la pollution de loin la plus importante provient des amalgames dentaires. Une personne possĂ©dant huit amalgames mĂ©talliques en bouche ce qui est la moyenne de la population française peut s’intoxiquer au mercure Ă  raison de 15 ”g par jour. Toutefois, l’importance de la libĂ©ration du mercure dans l’organisme est trĂšs variable. Le mercure est Ă©galement utilisĂ© comme conservateur dans les vaccins. Le thiomersal est un sel de mercure qui agit comme anti-infectieux et conservateur. Mais il existe d’autres sources de contamination air polluĂ© usines, poissons et mollusques, plastiques, encres d’impression, certaines peintures, pesticides organo-mercuriels, en cas de bris de nĂ©on ou d’ampoules Ă  Ă©conomie d’énergie. Signes de l’excĂšs de mercure Tremblements musculaires, paralysie, convulsions. Hypersalivation, stomatite, parodontite. HyperactivitĂ© et troubles de l’attention chez les enfants. Autisme. Perturbations du systĂšme immunitaire, qui sont la cause premiĂšre des maladies auto-immunes. Lire aussi Maladies auto-immunes le mercure mis en cause L’arsenic L’arsenic est largement rĂ©pandu dans la biosphĂšre sous forme d’élĂ©ment trace. Dans certaines rĂ©gions, les concentrations d’arsenic dans le sol et dans l’eau sont trĂšs Ă©levĂ©es, que ce soit naturellement ou du fait de l’activitĂ© humaine. En effet, l’arsenic est employĂ© comme insecticide dans l’agriculture. On en retrouve surtout dans les cĂ©rĂ©ales le riz et le blĂ©, les lĂ©gumes, les fruits de mer. À une moindre Ă©chelle, l’arsenic est utilisĂ© pour le traitement du bois, dans les industries du verre et des pigments, dans les appareils Ă©lectroniques et pour les alliages. Signes de l’excĂšs d’arsenic Faiblesse, somnolence. Maux de tĂȘte, convulsions. Douleurs musculaires. Neuropathie pĂ©riphĂ©rique. Lire aussi RĂ©gime sans gluten attention Ă  l’excĂšs d’arsenic ! Le plomb Le plomb est un mĂ©tal largement utilisĂ© dans les batteries de voiture, sous forme de tĂŽles plombĂ©es dans le secteur de la construction, dans le plastique PVC, dans le cristal et la cĂ©ramique, sous forme d’écran contre les radiations, dans certaines teintures pour cheveux. Signes de l’excĂšs de plomb Effets sur le systĂšme nerveux hyperactivitĂ©, troubles de l’attention, faiblesse intellectuelle. Effets sur la moelle osseuse et le sang le plomb bloque plusieurs enzymes nĂ©cessaires Ă  la synthĂšse de l’hĂ©moglobine. Ces effets sanguins aboutissent Ă  une diminution du nombre des globules rouges et Ă  une anĂ©mie. Effets gastro-intestinaux constipation ou diarrhĂ©e, goĂ»t de mĂ©tal dans la bouche, douleurs ou crampes abdominales. Le cadmium Pour les fumeurs, la source majeure d’exposition au cadmium est la fumĂ©e de cigarette. Pour les non-fumeurs, la voie principale d’absorption du cadmium est l’ingestion de nourriture. Cela est dĂ» au fait que ce mĂ©tal, prĂ©sent dans le sol, se retrouve Ă  l’état de traces dans les lĂ©gumes qui y poussent. On en trouve Ă©galement dans les gaz d’échappement des automobiles. Signes de l’excĂšs de cadmium ‱ EmphysĂšme pulmonaire sans antĂ©cĂ©dent de bronchite chronique. ‱ Insuffisance rĂ©nale. ‱ Risque augmentĂ© de fractures osseuses. Lire aussi Du cadmium dans les biberons L’antimoine La voie principale de contamination est la prĂ©sence d’antimoine dans les eaux minĂ©rales embouteillĂ©es et stockĂ©es dans des rĂ©cipients en plastique de type polyĂ©thylĂšne tĂ©rĂ©phtalate PET car l’antimoine est utilisĂ© comme catalyseur de polymĂ©risation du PET. La concentration d’antimoine est proportionnelle au temps de sĂ©jour de l’eau dans la bouteille en plastique qui, on le sait, peut-ĂȘtre assez long. L’antimoine entre dans la composition de nombreux alliages, auxquels il confĂšre duretĂ© et rĂ©sistance Ă  la corrosion. On l’utilise Ă©galement dans les textiles comme retardateur de flamme. Signes de l’excĂšs d’antimoine ‱ Irritation des voies aĂ©riennes supĂ©rieures rhinite, laryngite, trachĂ©ite. ‱ ProblĂšmes cardiovasculaires hypertension, arythmie
. ‱ Troubles digestifs gastro-entĂ©rites. ‱ Troubles nerveux cĂ©phalĂ©es
. Les dĂ©tecter Le diagnostic et la quantification de la prĂ©sence de mĂ©taux lourds, ou Ă©lĂ©ments traces mĂ©talliques, dans notre organisme n’est pas chose aisĂ©e. Certains prĂ©conisent l’analyse des cheveux, la prise de sang, le dosage urinaire, l’analyse de selles ou de la salive. Le problĂšme est que les mĂ©taux lourds se fixant principalement dans les cellules, ces tests ne constituent pas des preuves irrĂ©futables de l’intoxication. Souvent, ils ne sont pas si faciles Ă  utiliser. Le dosage de mercure dans les cheveux, par exemple, s’est rĂ©vĂ©lĂ© nĂ©gatif dans les cas d’intoxication de longue durĂ©e puis parfois positif aprĂšs avoir commencĂ© un traitement. J’ai eu personnellement l’occasion de tester un dispositif portatif Ă©quipĂ© d’un spectrophotomĂštre de type Raman couplĂ© Ă  un logiciel permettant la mesure des mĂ©taux lourds intracellulaires mais Ă©galement la biodisponibilitĂ© des minĂ©raux utiles calcium, magnĂ©sium, zinc, cuivre, fer
. Ce dispositif fournit des rĂ©sultats fiables et rapides le test prend trois minutes. Il devrait bientĂŽt Ă©quiper la plupart des cabinets des thĂ©rapeutes conscients de l’importance du dosage des minĂ©raux et des mĂ©taux lourds pour notre santĂ©. DĂ©sintoxication par la mĂ©decine naturelle On recourt en gĂ©nĂ©ral Ă  des substances chĂ©latrices, capables de former avec les minĂ©raux ionisĂ©s des complexes stables, inactifs et hydrosolubles, donc facilement Ă©vacuables par les voies urinaires. Certains de ces produits ont nĂ©anmoins un inconvĂ©nient majeur, leur non-sĂ©lectivitĂ©, de sorte que les minĂ©raux indispensables subissent le mĂȘme traitement, risquant de crĂ©er des dĂ©ficits, voire des carences en calcium, fer, magnĂ©sium
 Il n’est donc pas envisageable de s’engager dans une telle dĂ©sintoxication au long cours sans l’avis, puis le suivi pĂ©riodique d’un mĂ©decin nutrithĂ©rapeute ou d’un naturopathe. Ces substances ne doivent pas ĂȘtre prises pendant la grossesse ni l’allaitement. Les algues Outre l’EDTA qui est le plus ancien des traitements mais qui, molĂ©cule de synthĂšse oblige, n’a pas sa place ici, le second complĂ©ment chĂ©lateur auquel on pense est la chlorella Chlorella pyrenoidosa. Cette microalgue a d’abord Ă©tĂ© utilisĂ©e au Japon aprĂšs la Seconde Guerre mondiale pour offrir des apports suffisants en protĂ©ines et vitamines. Dans un second temps, il s’est avĂ©rĂ© que la chlorella possĂ©dait la propriĂ©tĂ© de chĂ©later les minĂ©raux, Ă  raison de deux ou trois grammes biologique indispensable ! par jour en continu, des mois durant. Toutefois, il est frĂ©quent de ressentir un certain inconfort maux de tĂȘte, malaise digestif, baisse de l’humeur, douleurs articulaires, etc. aprĂšs quelques jours de cure de dĂ©sintoxication Ă  la chlorella. Certains conseillent d’augmenter, parfois de façon considĂ©rable, la posologie. Ce genre de protocole pousse les Ă©monctoires dans leurs limites, au risque de provoquer leur vieillissement accĂ©lĂ©rĂ©. Face aux intoxications, il existe une autre algue capable de dĂ©barrasser notre organisme de ces mĂ©taux trĂšs nocifs. I. Des recherches mondiales ont dĂ©montrĂ© que l’algue brune Laminaria japonica contient plusieurs principes actifs de la plus haute valeur thĂ©rapeutique dont l’alginate qui est un puissant capteur, ou chĂ©lateur, de mĂ©taux lourds. Par rapport Ă  la chlorella, le traitement est plus rapide et surtout il ne prĂ©sente pas ces phĂ©nomĂšnes d’aggravation temporaire des symptĂŽmes. La durĂ©e du traitement dĂ©pend surtout de l’importance de l’intoxication entre 3 et 6 mois et il sera de prĂ©fĂ©rence suivi par un mĂ©decin formĂ© Ă  la chĂ©lation. La zĂ©olite ComplĂ©ment moins connu, la zĂ©olithe clinoptilolite ZC du fait de sa structure stable et de sa nature microporeuse, ce minĂ©ral prĂ©sent dans certaines roches volcaniques offre une grande surface de contact avec l’air, chargĂ©e nĂ©gativement riche en Ă©lectrons, ce qui attire les Ă©lĂ©ments chargĂ©s positivement pauvres en Ă©lectrons ou cations dont de nombreux polluants tels que le cadmium, le mercure, le nickel, le plomb et certaines bactĂ©ries, entre autres. Outre son rĂŽle d’éboueur, la ZC possĂ©derait d’importantes activitĂ©s antioxydantes, rĂ©gulatrice de la flore intestinale et restauratrice de l’ d’augmenter ses propriĂ©tĂ©s thĂ©rapeu- tiques, elle est vendue sous forme micronisĂ©e, soit pure, soit combinĂ©e avec du curcuma ou de l’aloĂ© vĂ©ra. La dose habituellement recommandĂ©e est de 5 grammes 1 ou 2 fois par jour. Attention aux Ă©monctoires Quelle que soit l’intention que l’on a avant de dĂ©marrer une cure de dĂ©sintoxication, il est indispensable de se rappeler que les fonctions Ă©monctorielles vont ĂȘtre rĂ©quisitionnĂ©es alors qu’elles sont peut-ĂȘtre saturĂ©es, voire diminuĂ©es. Il est donc Ă©vident que la posologie des chĂ©lateurs ne doit pas ĂȘtre exagĂ©rĂ©e et que leur prise doit ĂȘtre associĂ©e Ă  celle de certains draineurs. Pour ce faire, en mĂȘme temps qu’un dĂ©pistage des mĂ©taux toxiques, il est capital de faire dresser par son mĂ©decin traitant un bilan des fonctions hĂ©patiques et rĂ©nales avant mĂȘme de commencer la cure, puisque, de toutes les fonctions Ă©moncto- rielles, ce sont ces deux-lĂ  qui sont majoritairement sollicitĂ©es au minimum, dosages sanguins de la crĂ©atinine, des transaminases ALAT, ASAT et des gamma glutamyl-transpeptidases GGT. Ce premier Ă©tat des lieux prĂ©sente d’ailleurs un double intĂ©rĂȘt adapter au mieux la posologie des chĂ©lateurs et des draineurs, et servir de repĂšre lorsque de nouveaux contrĂŽles seront pratiquĂ©s. Carnet d’adresse Chlorella Laminaria japonica En aucun cas les informations et conseils proposĂ©s sur le site Alternative SantĂ© ne sont susceptibles de se substituer Ă  une consultation ou un diagnostic formulĂ© par un mĂ©decin ou un professionnel de santĂ©, seuls en mesure d’évaluer adĂ©quatement votre Ă©tat de santĂ© Elleest ainsi prĂ©conisĂ©e en tant que dĂ©puratif, hypotenseur, antiseptique, anthelminthique, effet amincissant et hypoglycĂ©miant, hypolipĂ©miant mais cette plante prĂ©sente Ă©galement un intĂ©rĂȘt dans les
Une approche alimentaire globale extrait d’un article paru dans Biocontact. DĂ©c. 2002 Autisme, hyperactivitĂ©, Ă©chec scolaire, troubles obsessionnels de comportement, dĂ©pression la liste des effets de l’intoxication aux mĂ©taux lourds est impressionnante. Mme Elke Arod a mis au point un protocole alimentaire spĂ©cifique pour nous dĂ©barrasser de ces poisons afin de retrouver joie de vivre et santĂ©. L’homme du troisiĂšme millĂ©naire vit dans un monde de paradoxes il peut vivre aujourd’hui dans le confort grĂące Ă  l’avancĂ©e de la technologie car tout est Ă  sa disposition voyage dans n’importe quel coin du globe et bientĂŽt de l’espace, et pourtant, il est de plus en plus dĂ©muni en vraies bonnes solutions pour guĂ©rir les nombreuses maladies qui l’assaillent. Nous croulons sous une abondance alimentaire. L’hygiĂšne n’a jamais Ă©tĂ© aussi prĂ©pondĂ©rante, l’instruction et la communication autant accessibles. Nous n’avons jamais eu autant de mĂ©decins et autant de spĂ©cialistes dans chaque domaine de la mĂ©decine, autant vaccinĂ©s, autant de mĂ©dicaments Ă  notre disposition. Les mĂ©decins n’ont jamais eu autant de technologies mĂ©dicales Ă  leur service scanner, chirurgie par laser et mĂȘme par robot Ă  distance. Et pourtant nous trĂ©buchons lamentablement sur les Ă©lĂ©ments de base comme les mĂ©taux lourds qui causent de graves pathologies. Et par voie de consĂ©quence, nous n’avons jamais eu autant de malades parmi nous. Aujourd’hui on sait que le mercure est le plus redoutable des mĂ©taux lourds et pourtant on l’introduit librement et lĂ©galement dans toutes sortes de vaccins et mĂ©dicaments, amalgames dentaires, industrie. Quel paradoxe ! Pourtant l’étiquette sur chaque bouteille de mercure comporte une tĂȘte de mort. On croit rĂȘver ! MON HISTOIRE Un long parcours semĂ© d’embĂ»ches, mais terminĂ© avec succĂšs. Le temps de l’épreuve Steven est la matĂ©rialisation, la reprĂ©sentation au quotidien de l’amour que j’ai trop longtemps retenu emmaillotĂ©. Cet amour enrichi Ă  chaque instant, et maintenant finalement partagĂ©, a pris racine dans le terreau de nos deux maladies. Aujourd’hui, nous aurions plutĂŽt tendance Ă  penser que ce n’est plus qu’une relique de mĂ©moire maladies aux apparences multiples, aux formes lentes mais qui, jour aprĂšs jour, nous rendaient la vie insupportable. A 32 ans, je souffrais dĂ©jĂ  depuis 3 ans environ de polyarthralgies atypiques, de fibromyalgies extrĂȘmement fugaces et migratrices, d’un Ă©tat fĂ©brile aux environs de 39° de sudations diurnes et nocturnes d’origine indĂ©terminĂ©e, de douleurs dentaires, d’une fatigue permanente, toutes sortes de douleurs que mon corps ne dĂ©sirait plus vivre. En 1977, du jour au lendemain, des douleurs m’ont paralysĂ© le bras. Mon mĂ©decin avait alors diagnostiquĂ© que cela pouvait ĂȘtre une douleur due Ă  un abus de tennis ; malheureusement, j’en faisais tellement peu
 Ensuite, la colonne fut atteinte, puis les genoux, et ma tempĂ©rature commença Ă  grimper avec les mois. Etant donnĂ© que les causes rĂ©elles du mal ne pouvaient ĂȘtre dĂ©celĂ©es, on avait avancĂ© la fatalitĂ© des motifs psychosomatiques, j’ai dĂ» prendre mon courage Ă  deux mains pour poursuivre mes activitĂ©s professionnelles et j’ai Ă©tĂ© obligĂ©e de me dĂ©placer Ă  l’aide de bĂ©quilles. Souvent, je ne pouvais travailler que sous injection de cortisone et en prenant des analgĂ©siques. Le 18 juin 1980, le diagnostic d’un mĂ©decin de l’hĂŽpital tomba mon Ă©tat Ă©tait, d’aprĂšs lui, seulement psychique et dĂ» Ă  mon mĂ©tabolisme. NĂ©anmoins, il Ă©tait la premiĂšre caution scientifique d’un mal qui sapait ma vie et mon dynamisme depuis 3 ans. Plusieurs annĂ©es aprĂšs, le 19 aoĂ»t 1989, je donnai naissance Ă  mon petit Steven. Lui aussi, quelques mois aprĂšs, tomba malade. Il ne dormait pas, et la vie devint rapidement un enfer. Moi malade, passe encore, mais lui en plus, cela commençait vraiment Ă  devenir dramatique. Je courais de mĂ©decin en mĂ©decin, mais ma confiance en eux s’attĂ©nuait de plus en plus, car ils ne trouvaient aucune explication Ă  mes souffrances, ni Ă  celles de mon fils. Steven continua Ă  dĂ©velopper toute une sĂ©rie de problĂšmes des otites Ă  rĂ©pĂ©tition, des tumeurs – des granulomes annulaires profonds sur ses tibias -, des blocages respiratoires, une cĂ©citĂ© qui s’était dĂ©clenchĂ©e Ă  l’Ɠil gauche, divers problĂšmes allergiques et dermatologiques, des dĂ©formations osseuses sur le sternum
 et aucune lumiĂšre mĂ©dicale sur de tels symptĂŽmes. Le plus dur Ă©tait qu’en tant que mĂšre, je ne pouvais mĂȘme pas prendre mon bĂ©bĂ© dans mes bras. De plus ,il Ă©tait hyperactif, devenait insupportable, de plus en plus crieur et violent, parfois mĂȘme avec ses petits camarades contre lesquels il jetait tout ce qui lui tombait sous la main. Il se renfermait de plus en plus dans un monde autistique. Dans notre cas, le destin Ă©tait vraiment un drĂŽle » de destin
 Un signe un livre Mais, voilĂ , un jour le ciel pensa tout de mĂȘme Ă  m’aider. Personnellement, j’étais arrivĂ©e Ă  la limite de ce que je pouvais faire, je n’arrivais plus Ă  aider ni mon fils, ni moi-mĂȘme. J’étais affolĂ©e, effondrĂ©e Steven passait des jours prostrĂ© dans un coin, se balançait de plus en plus, et se renfermait dans son monde, dans sa boule, dans son autisme. A cette pĂ©riode, je me voie offrir par Martine, une amie doctoresse, le livre La Drogue cachĂ©e – les phosphates alimentaires » de Herta Haffer. Cet ouvrage traite des problĂšmes des phosphates dans l’alimentation qui peuvent causer des troubles importants du comportement chez certains enfants et adolescents. DĂšs la fin du livre, j’adopte les recommandations prĂ©conisĂ©es. Mon premier geste est de vider le rĂ©frigĂ©rateur, les armoires, pour Ă©liminer toute substance nocive. Puis de suite, j’essaie de bĂątir quelque chose de personnalisĂ© pour mon fils. Je me mets Ă  reprendre une cuisine Ă  l’ancienne, une alimentation naturelle sans conservateur ni colorant. Mais encore faut-il comprendre et savoir quels seront les changements possibles sur le mĂ©tabolisme. Mon cobaye mon fils Steven devient alors le cobaye des expĂ©riences que je vais faire jour aprĂšs jour dans ma cuisine. Avec le temps, je vois une amĂ©lioration physique de ses symptĂŽmes. Pendant 8 ans, je fais des essais alimentaires. Je cherche Ă  aller plus loin que le contenu du livre La Drogue cachĂ©e ». mon fils est mon seul indicateur, me basant uniquement sur ce qu’il peut tolĂ©rer. J’endosse volontiers le rĂŽle de la femme pĂ©nible dans les magasins, qui contrĂŽle tout, qui regarde tout, qui espionne tout autour d’elle, qui demande tout. Je lis les compositions, les ingrĂ©dients, les condiments, la provenance de chaque produit avant qu’il ne puisse entrer dans ma cuisine. Et avec succĂšs, tout doucement, je vois mon fiston se mĂ©tamorphoser. Ce fut tout d’abord un petit sourire, une pointe de sommeil, un peu plus calme, des faits imperceptibles pour une personne Ă©trangĂšre, mais des signes d’amĂ©lioration gigantesques pour moi, sa mĂšre. J’ai pu enfin prendre mon fils dans les bras sans qu’il ne fasse une crise de violence. Mon amour maternel longtemps frustrĂ© pouvait s’exprimer. Comprendre l’évolution Devant ce nouveau bonheur, je ne peux rester ainsi Ă  ce stade ; je me mets alors en piste pour amĂ©liorer encore plus notre alimentation et comprendre aussi pourquoi et comment la nourriture peut faire de tels changements, comme ceux constatĂ©s chez Steven et moi-mĂȘme. Mes bĂ©quilles sont parties au rĂ©duit, j’ai l’impression de voler, je n’ai plus mal nulle part, je me sens merveilleusement bien, je passe des nuits paisibles. Steven peut ĂȘtre scolarisĂ© car tout va bien ; il ne fait plus de crises d’autisme ni de pĂ©riodes de balancements. Bien sĂ»r, il a encore des difficultĂ©s dans les apprentissages, c’est un enfant gai et resplendissant. Mais aprĂšs tout, que vouloir de plus, ayant obtenu dĂ©jĂ  le 80% de ses capacitĂ©s, ce qui est merveilleux ! ». je l’aide de tout mon possible pour qu’il puisse faire des Ă©tudes, je vois qu’il est trĂšs intelligent et cela m’encourage ; je me dis que le reste est juste une question de temps, vu que tous les autres symptĂŽmes physiques ont pu disparaĂźtre. Reproduire ces actes qui amĂ©liorent la vie Avec le temps, l’histoire de Steven est devenue connue dans notre entourage. J’ai l’envie d’aider d’autres familles. J’ai tant appris. La chance de pouvoir aider d’autres enfants va venir de personnes et mĂ©decins qui me les adresseront. Mais je me rends compte Ă©videmment que le changement alimentaire doit ĂȘtre individualisĂ©, que tel enfant peut supporter tel produit, tel aliment, mais pas un autre. L’un est intolĂ©rant au lait et dĂ©rivĂ©s casĂ©ine, au gluten et ses dĂ©rivĂ©s, un autre aux pommes, au sucre ou encore au lait de soja, aux Ɠufs, aux bananes, etc., voire Ă  tous ces aliments en mĂȘme temps ! C’est souvent une intolĂ©rance globale Ă  des aliments de base. Mes journĂ©es me servent Ă  aider les familles, mes nuits Ă  chercher les effets de la nourriture sur le mĂ©tabolisme – pourquoi et comment chacun rĂ©agit diffĂ©remment. J’essaie alors d’apporter des solutions par les complĂ©ments alimentaires pour que l’organisme ne manque pas de calcium, de sĂ©lĂ©nium, des principales vitamines, de zinc, de lipides, etc. Je commence Ă  comprendre que tous ces problĂšmes mĂ©taboliques sont dus aux systĂšmes enzymatiques qui, eux, doivent ĂȘtre en parfait Ă©tat pour que l’organisme puisse s’épanouir et bien faire son travail. Et je cherche, j’étudie, j’apprends et les annĂ©es passent
 Une piste les mĂ©taux lourds Un jour, j’assiste Ă  une confĂ©rence sur les mĂ©taux lourds et leurs effets dans l’organisme. Je me rends compte que c’est peut-ĂȘtre une piste importante dans mes recherches. Je suis prudente, rĂ©alisant qu’il y a comme une chape de plomb sur ce sujet. Pourquoi ? Je m’aventure alors trĂšs prudemment, avançant Ă  petits pas, essayant de contacter des personnes expertes, des Ă©pidĂ©miologistes. Je dĂ©couvre dans ce milieu scientifique que, depuis des annĂ©es, des chercheurs chevronnĂ©s font de la recherche en laboratoire sur ce sujet tabou ». Mais leurs rĂ©sultats ne sont pas divulguĂ©s ou on ne leur permet pas de les divulguer par exemple les rĂ©sultats des travaux de Berthold Chales-de-Beaulieu, chiropraticien allemand connu qui a donnĂ© des confĂ©rences depuis 1969 Ă  des dentistes, sans parler des travaux acharnĂ©s menĂ©s depuis des annĂ©es par plusieurs mĂ©decins français et qui sont restĂ©s dans l’ombre. ParallĂšlement, je continue Ă  me perfectionner dans ma piste alimentaire et une question me vient alors Ă  l’esprit pourquoi ne pas essayer de faire des analyses avec des spĂ©cialistes et de bons laboratoires et trouver le moyen de mettre en Ă©vidence si vraiment il y a intoxication aux mĂ©taux lourds ou pas ? Le puzzle avance Chemin faisant, j’ai une somme d’informations qui, comme les piĂšces d’un puzzle, s’assemblent. Je me rends compte qu’en faisant des analyses trĂšs prĂ©cises et bien interprĂ©tĂ©es par des spĂ©cialistes, nous pouvons vraiment mettre en Ă©vidence les intoxications des personnes qui portent des amalgames dentaires. Mais comment se fait-il que nos enfants, eux qui n’ont pas encore d’amalgame, ont aussi des mĂ©taux lourds dans l’organisme et plus encore ? D’autres rĂ©ponses, petites piĂšces du puzzle, sont encore venues Ă  moi cela peut se faire par transfert placentaire. Les mĂ©taux lourds des amalgames, les mĂ©taux lourds des vaccins, les mĂ©taux lourds de la pollution que nous accumulons dans notre organisme, hormis les dĂ©gĂąts directs qu’ils nous font Ă  nous-mĂȘmes peuvent ĂȘtre transfĂ©rĂ©s Ă  nos enfants – mĂȘme par le sperme – et peuvent causer des problĂšmes immĂ©diats. ComprĂ©hension de nos souffrances Le chemin ainsi parcouru m’a apportĂ© enfin l’explication j’étais donc tout simplement intoxiquĂ©e par des amalgames, et les violentes douleurs subies pendant 16 ans ne venaient de rien d’autre que de cette intoxication. Je l’ai ensuite transmise en grande partie 70% environ par voie placentaire Ă  mon fils Steven. Puis pour lui, sont venus s’ajouter des vaccins contenant du ThimĂ©rosal et cela a fait dĂ©border le vase. Avec tant de mĂ©taux lourds dans nos cellules, les systĂšmes enzymatiques se retrouvent bloquĂ©s. Le corps est obligĂ© d’en subir les consĂ©quences graves qui en dĂ©coulent car la nourriture ne peut plus ĂȘtre assimilĂ©e. Les nutriments sains sont transformĂ©s en toxines dans l’organisme. Et ces mĂȘmes toxines provoquent les troubles inflammatoires et neurologiques. DĂšs lors, au fil de son changement alimentaire trĂšs suivi, Steven retrouve toute sa vue et pose ses lunettes ; ses dĂ©formations osseuses comme ses tumeurs sur les tibias ont complĂštement disparu. Il marche, il court et mĂȘme, et avec les annĂ©es, devient champion de trampoline – 3e dans sa catĂ©gorie aux Championnats de Suisse en l’an 2000. Quel succĂšs, je suis heureuse ! Le chemin continue toujours Mais il me restait toujours beaucoup de chemin Ă  parcourir, car je n’avais pas encore toutes les rĂ©ponses. Pourquoi le changement alimentaire agit-il comme une bouĂ©e de sauvetage pour diminuer, arrĂȘter les symptĂŽmes ? Je me suis donc renseignĂ©e pour pouvoir faire effectuer les analyses des troubles du mĂ©tabolisme qui mettraient en Ă©vidence les dĂ©gĂąts causĂ©s par les mĂ©taux lourds. J’ai su qu’aux Etats-Unis je pourrais les obtenir. Bien sĂ»r, les prix Ă©taient excessifs, 6 000 francs suisses environ – ce n’était vraiment pas donnĂ© – mais plusieurs mĂšres ont nĂ©anmoins choisi de les faire faire lĂ -bas. La ligne d’arrivĂ©e Et j’ai pu constater les blocages » sur les acides gras, la dysbiose et autres problĂšmes. La preuve de la cause de ces blocages » Ă©tait lĂ  les mĂ©taux lourds se trouvent dans les cellules et vont bel et bien bloquer une partie des nombreux systĂšmes enzymatiques Depuis, j’ai pu Ă©galement constater avec l’expĂ©rience que chaque individu rĂ©agit diffĂ©remment devant un blocage enzymatique ; et ceci en fonction de son propre hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique. L’intoxication est diffĂ©rente suivant le mĂ©lange des mĂ©taux et des quantitĂ©s logĂ©es dans les cellules de chaque organe. La sĂ©rie des enzymes principales de dĂ©saturation des acides gras saturĂ©s comme la delta-6-dĂ©saturase n’arrive plus Ă  transformer et mĂ©taboliser les huiles et les graisses saturĂ©es ou mono-insaturĂ©es en acides gras essentiels polyinsaturĂ©s, indispensables par exemple pour les cellules nerveuses ou la rĂ©tine
 Certaines personnes vont ainsi dĂ©velopper diffĂ©rentes pathologies comme la sclĂ©rose en plaques, la dĂ©pression, l’hyperactivitĂ©, la schizophrĂ©nie violence, la maladie d’Alzheimer, la dĂ©myĂ©linisation infantile, des pathologies dĂ©gĂ©nĂ©ratives, et peut-ĂȘtre mĂȘme divers cancers ou des maladies cardio-vasculaires. S’organiser pour ĂȘtre efficace Patiemment, j’avais bien mis au point ma piste nutritionnelle. De plus, je me suis organisĂ©e en fondant une association pour les enfants hyperactifs et, Ă©galement crĂ©ant et dirigeant l’antenne suisse Hyperactif-Autiste, troubles du mĂ©tabolisme – un enfant comme les autres » dont le fondateur est M. Jean-Claude Morizot. Aujourd’hui, cette association aide les familles qui cherchent pour leurs enfants d’autres informations que celles de la voie classique ». Nous informons ces familles d’enfants atteints par la dyslexie, des pathologies aggravĂ©es diffĂ©rentes, jusqu’à l’autisme le plus profond, avec perte de langage. Tous ces enfants ont en commun leur intelligence, leurs angoisses, leur hypo ou hyperactivitĂ©, leurs difficultĂ©s d’apprentissage, leurs frustrations, leurs colĂšres. Pour certains s’ajoutent la stĂ©rĂ©otypie, le renfermement dans diverses formes d’autisme, avec ou sans langage, avec parfois des comportements d’automutilation, avec ou sans crises d’épilepsie. Et tout cela est bien souvent dĂ» Ă  une intolĂ©rance cachĂ©e, vĂ©ritable bombe Ă  retardement. A titre d’exemple, un des constituants du blĂ©, le gluten, peut fournir par dĂ©gradation incomplĂšte plus d’une dizaine de petits peptides qui auront en passant dans la circulation gĂ©nĂ©rale une activitĂ© opioĂŻde » au niveau des rĂ©cepteurs cĂ©rĂ©braux ! De la mĂȘme façon, la casĂ©ine, prĂ©sente dans de nombreux produits laitiers, peut former des casomorphines avec le mĂȘme impact et entraĂźnant des troubles du comportement ! Je peut vraiment affirmer que pour toutes ces pathologies – comme l’hyperactivitĂ© qui dĂ©clenche de la violence verbale ou physique, que ce soit chez les enfants, les prĂ©-adolescents, les adolescents et les adultes – la nourriture joue un grand rĂŽle et a vraiment un rĂŽle important Ă  jouer. Aujourd’hui, nous avons la preuve que les blocages enzymatiques entraĂźnent des mauvaises transformations de la nourriture qui peut devenir toxique. Toutes ces dĂ©couvertes et certitudes sont merveilleuses Ă  recevoir pour moi. Je suis heureuse aujourd’hui de pouvoir diriger une association qui, depuis plusieurs annĂ©es dĂ©jĂ , informe, suit et soutient des centaines de personnes dans leur quĂȘte d’une meilleure qualitĂ© de vie pour eux et leurs enfants. Je suis infiniment satisfaite de permettre Ă©galement Ă  tous ces parents et familles de se dĂ©barrasser du poids de la culpabilisation psychologique ou hĂ©rĂ©ditaire attribuĂ©e encore si souvent Ă  tort inutilement par l’entourage ! Une rencontre fructueuse Et il y a deux ans, la chance s’est invitĂ©e aussi. Elle m’offrit la possibilitĂ© de rencontrer le Dr Francis Rocchiccioli de l’HĂŽpital Cochin – Saint Vincent-de-Paul, Ă  Paris, qui s’intĂ©ressait dĂ©jĂ  Ă  l’autisme. Il est enseignant en mĂ©decine, biochimiste, chercheur et grand spĂ©cialiste europĂ©en des acides gras. Par nos Ă©changes, nous avons donc perçu progressivement les enjeux et les possibilitĂ©s qu’offrait l’aspect nutritionnel sur les troubles du mĂ©tabolisme. Il a mis en place, pour l’association, tout un panel d’analyses permettant de vĂ©rifier les dĂ©gĂąts et les troubles dans le mĂ©tabolisme. Ces analyses sont aussi performantes que celles faites en AmĂ©rique. C’est un vĂ©ritable prĂ©sent qui est offert Ă  tous ces enfants et personnes souffrant de troubles du mĂ©tabolisme. Et, analyses aprĂšs analyses, j’ai pu vraiment vĂ©rifier la diversitĂ© et la complexitĂ© des cas. Certains enfants ou personnes peuvent ĂȘtre sensibles au gluten, d’autres Ă  la casĂ©ine, d’autres au sucre, d’autres au cacao, etc. bien souvent ils ne sont pas allergiques, ils n’ont absolument pas un problĂšme de dĂ©fense immunitaire, ou, si c’est le cas, secondaire. Ils sont intolĂ©rants ou sensibles Ă  certains produits de la nourriture courante, et nous retrouvons dans leurs urines des substances accumulĂ©es particuliĂšrement des peptides qui tĂ©moignent de graves problĂšmes dans le mĂ©tabolisme. Une collaboration efficace GrĂące au Dr Francis Rocchiccioli et Ă  ses analyses, nous pouvons trĂšs clairement mettre en Ă©vidence les problĂšmes, les intolĂ©rances de ces personnes et ceci pour un coĂ»t raisonnable. Une collaboration fantastique et intense d’échange d’informations s’installe entre nous. C’est un travail extraordinaire de pouvoir effectuer ces vĂ©rifications d’aprĂšs les analyses et, dans un premier temps, d’aider les personnes grĂące au changement alimentaire individualisĂ© qui leur apporte des complĂ©ments et acides gras essentiels, sans colorant ni conservateur, les plus naturels possibles, bien spĂ©cifiques Ă  leurs besoins pour rĂ©parer les membranes, le tube digestif et supprimer les dysbioses. Dans un second temps, elles seront guidĂ©es vers une dĂ©toxication possible des mĂ©taux lourds, si celle-ci est souhaitĂ©e et indispensable. Elles peuvent ainsi vĂ©rifier par elles-mĂȘmes, prendre le temps de chercher d’oĂč vient la source de leurs problĂšmes ; puis par la suite convaincre leur mĂ©decin traitant, parents et entourage en s’appuyant sur les rĂ©sultats fabuleux obtenus lorsque les changements alimentaires sont biens et strictement observĂ©s. Les parents sont accompagnĂ©s pour la mise en place d’un changement alimentaire individualisĂ©, afin qu’il soit bien acceptĂ©, compris et permettre de reconstruire ainsi une nouvelle vie pour leurs enfants. De beaux rĂ©sultats pour Steven Bien Ă©videmment, c’est le docteur Rocchiccioli qui m’a proposĂ© de faire faire une analyse de peptides urinaires aussi pour Steven. J’ai pu constater par les rĂ©sultats que ses problĂšmes Ă©taient bien lĂ , bien clairement rĂ©vĂ©lĂ©s. J’eus un choc inattendu lorsque je vis que les analyses prouvaient une grande intolĂ©rance au gluten. Je n’étais pas allĂ©e assez loin dans le changement alimentaire ; il me fallait Ă  tout prix supprimer le gluten de sa nourriture. Ce fut chose faite immĂ©diatement. Je retournais dans mon laboratoire-cuisine, pour chercher, inventer de nouvelles recettes. Je voulais de nouveau offrir Ă  Steven une nourriture bonne pour lui, Ă©quilibrĂ©e, et surtout faire qu’il ne se sente pas privĂ©, frustrĂ©. Je tiens beaucoup Ă  ce qu’il ait la joie de goĂ»ter Ă  beaucoup de bonheur Ă  travers des pĂątisseries et des gĂąteaux comme tous les autres enfants. L’alimentation joua son rĂŽle Et ce fut comme un coup de baguette magique. AprĂšs seulement un mois du nouveau changement alimentaire sans gluten, Steven, qui avait encore un manque de confiance en lui, des difficultĂ©s avec l’orthographe, l’écriture, les dictĂ©es, beaucoup de difficultĂ©s Ă  faire ses devoirs, une grande susceptibilitĂ© et trĂšs sensible Ă  la frustration, devint comme par enchantement souriant, de bonne humeur, gai, clair dans sa tĂȘte. Il n’avait plus de difficultĂ© pour faire ses devoirs il les dĂ©vorait le soir en rentrant de l’école. En un an, il a fait des progrĂšs extraordinaires pour finir parmi les meilleurs de sa classe. Il est heureux, il s’épanouit et commence Ă  avoir de superbes bonnes notes. Il a maintenant 13 ans et je partage aujourd’hui beaucoup de bonheur avec lui c’est un enfant avec qui en peut dialoguer, qui est heureux de vivre, qui vit pleinement sa vie. Bilan de cette aventure Il me faut tirer un bilan de cette expĂ©rience qui valait, au regard du temps, la peine d’ĂȘtre vĂ©cue. MĂȘme si le chemin n’a pas Ă©tĂ© facile Ă  emprunter, je serais prĂȘte Ă  la refaire pour la joie que m’apporte l’instant de re trouver un sourire sur le visage des enfants. Ces enfants viennent me voir des quatre coins du monde, et me permettent parfois d’ĂȘtre tĂ©moin de leur parole re trouvĂ©e aprĂšs des annĂ©es de silence. Pendant ces 10 annĂ©es de dĂ©veloppement associatif, je me suis appliquĂ©e Ă  donner aux parents les meilleures informations et solutions Ă  prendre en considĂ©ration pour amĂ©liorer l’état de leur enfant J’ai conscience qu’au dĂ©but je n’étais pas en possession de toutes les donnĂ©es. J’ai eu des surprises et des difficultĂ©s. Je voulais tellement apporter du soulagement et des rĂ©ponses immĂ©diates Ă  ces parents pour aider leurs enfants. Ces enfants me font penser Ă  de belles Ferrari, mais qui sont toujours Ă  l’arrĂȘt. Et avec acharnement, nous les poussons avec diffĂ©rentes thĂ©rapies qui ne les font parfois avancer bien pĂ©niblement ! Pourquoi ne pas tourner directement la clĂ© de contact et faire redĂ©marrer Ă  nouveau ce vĂ©hicule ? Je pense aujourd’hui qu’il est temps d’ouvrir le capot de nos belles petites Ferrari, de regarder dans le moteur. Car il ne suffit plus de s’asseoir devant ces enfants, d’incriminer telle ou telle pathologie sans aller voir ce qui se passe d’un point de vue du mĂ©tabolisme, et d’observer comment celui-ci fonctionne. Nous comprenons facilement qu’une voiture fonctionne avec de l’essence et de l’huile, et de l’eau pour laver les vitres. Pour les personnes, c’est la mĂȘme chose nous fonctionnons bel et bien avec de la nourriture, de l’eau et de l’air. Et il faut que ces ingrĂ©dients soient prĂ©sents pour nous donner l’énergie dont nous avons besoin. Pour avoir une bonne voiture il ne lui faut Ă©videmment pas de plomb, de mĂ©taux lourds dans les pneus, sinon elle ne roulerait pas vite ; c’est pareil pour nous et nos cellules. Aujourd’hui, mon expĂ©rience s’est affinĂ©e et enrichie grĂące aux diffĂ©rentes analyses mises en place bilan, aux chĂ©lations Ă©limination des mĂ©taux lourds, aux plans alimentaires individualisĂ©s, Ă  la complĂ©mentation en minĂ©raux, oligo-Ă©lĂ©ments et aides gras essentiels etc., et cela sur des dizaines et des dizaines d’enfants et d’adultes. J’ai pu crĂ©er ma propre thĂ©rapie nutritionnelle la delta –6-dĂ©saturase plus. C’est par la dĂ©couverte de la reconnaissance chez de trĂšs nombreux petits patients de carences en acides gras essentiels ou poly-insaturĂ©s et particuliĂšrement de la sĂ©rie omĂ©ga-3, se traduisant par le blocage d’une enzyme la delta-6-dĂ©saturase. Et tout ceci Ă  cause de l’intoxication au mĂ©taux lourds quantifiĂ©e par les rĂ©sultats des analyses ! La thĂ©rapie nutritionnelle delta-6-dĂ©saturase. Elle offre - Toutes les informations pour dĂ©celer et mettre en Ă©vidence une intoxication aux mĂ©taux lourds. Aujourd’hui, la mĂ©decine traditionnelle ne cherche que rarement Ă  faire le lien entre diverses pathologies comme la fatigue chronique, maux de tĂȘte, dĂ©faillance du systĂšme immunitaire, troubles du systĂšme digestif, troubles de l’humeur et du comportement, hypo et hyperactivitĂ©, jusqu’aux pathologies les plus lourdes, et une intoxication aux mĂ©taux lourds. Pourtant les mĂ©taux lourds peuvent dĂ©clencher dans l’organisme une avalanche de symptĂŽmes les plus divers auxquels chaque individu rĂ©agira diffĂ©remment. - La possibilitĂ© d’aider les personnes Ă  mettre en place une alimentation appropriĂ©e, riche en complĂ©mentations d’aprĂšs leur bagage enzymatique fonctionnel dĂ©terminĂ© par des analyses. - un dĂ©veloppement d’une information par de la documentation et des cassettes vidĂ©o sur une alimentation sans gluten, sans lait, sans protĂ©ine bovine et soja, sans colorants, sans conservateur et phosphates ajoutĂ©s pour les changements les plus stricts. - un dĂ©veloppement de nouveaux produits alimentaires utiles et non encore disponibles actuellement sur les marchĂ©s. - une formation et un dĂ©veloppement de recettes de cuisine spĂ©cifiques allĂ©geant le plus possible les contraintes tout en privilĂ©giant plaisir de manger de tout gĂąteaux, dessert, viande et lĂ©gumes, etc.. - des informations sur les sources de vitamines et de minĂ©raux, parmi lesquels les oligo-Ă©lĂ©ments, leur assimilation et leur rĂŽle. - un accompagnement pour le suivi dans le temps du changement alimentaire et des encouragements. LES METAUX LOURDS Aujourd’hui le langage courant a vulgarisĂ© le terme mĂ©taux lourds », englobant Ă  tort un grand nombre de mĂ©taux mercure, plomb, nickel, cadmium, aluminium, bismuth, titane, cuivre, thallium, Ă©tain, etc. Le terme mĂ©taux lourds » a Ă©tĂ© introduit historiquement au dĂ©but du XXe siĂšcle et ne comportait Ă  l’époque que le mercure, le plomb et le cadmium. Depuis, leur toxicitĂ© a Ă©tĂ© abondamment dĂ©montrĂ©e ainsi que celle de nombreux autres mĂ©taux appelĂ©s mĂ©taux traces » comme par exemple l’étain, le titane et l’aluminium voir plus loin ou le nickel qui peuvent Ă©galement avoir des effets dĂ©vastateurs sur l’organisme quand ils y sont accumulĂ©s. Les mĂ©taux lourds, de par leurs charges positives, rĂ©agissent fortement avec les charges nĂ©gatives des fonctions latĂ©rales de certains acides aminĂ©s des protĂ©ines, particuliĂšrement la cystĂ©ine. Le mercure, redoutable Ă  ce jeu lĂ , et rĂ©agit avec son groupe thiol, jouant normalement un rĂŽle important dans l’état d’oxydorĂ©duction et l’activitĂ© de nombreuses enzymes qui se retrouvent ainsi inhibĂ©es et/ou inactivĂ©es, engendrant des pathologies diverses. Si certains autres mĂ©taux sont indispensables au fonctionnement enzymatique du corps, leur surcharge dĂ©clenche des rĂ©actions toxiques. Ces rĂ©actions les apparentent au mode d’action des mĂ©taux lourds, d’oĂč leur classification infidĂšle ». Les mĂ©langes de mĂ©taux accentuent encore leur toxicitĂ© dans l’organisme. Les pathologies engendrĂ©es par les mĂ©taux lourds sont trĂšs souvent de nature dĂ©gĂ©nĂ©rative diminution des facultĂ©s cognitives, Alzheimer, Parkinson, sclĂ©rose en plaques, Ă©pilepsie, etc.. Les mĂ©taux lourds perturbent l’activitĂ© enzymatique Les mĂ©taux lourds sont chimiquement trĂšs rĂ©actifs. Par exemple le mercure, le plus rĂ©actif d’entre eux, prend la place des oligo-Ă©lĂ©ments essentiels aux enzymes, au niveau des cellules. Cette substitution a pour effet d’inhiber ou d’inactiver de nombreuses enzymes. Le zinc, le calcium, le sĂ©lĂ©nium, le magnĂ©sium, le fer, comme les autres oligo-Ă©lĂ©ments, ne sont pas toxiques, sauf Ă  des concentrations Ă©levĂ©es surtout le fer quand ils ne sont plus utilisĂ©s correctement par les cellules. Ils jouent un rĂŽle de catalyseurs dans beaucoup de fonctions enzymatiques. Le catalyseur est le dĂ©marreur du moteur enzyme sans le catalyseur, pas de dĂ©marrage et donc pas d’activitĂ© enzymatique. Cela devient grave quand par exemple l’enzyme en question joue un rĂŽle essentiel dans la dĂ©gradation du gluten, de la casĂ©ine ou d’autres aliments. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’un aliment mon toxique qui n’est plus mĂ©tabolisĂ© correctement devient toxique pour l’organisme. Exemple la mauvaise dĂ©gradation de la gliadine, dĂ©rivĂ©e du gluten, produit de la gliadinomorphine ou encore dite glutenmorphine, une substance intermĂ©diaire trĂšs toxique qui interagit au niveau des communications entre neurotransmetteurs et neurorĂ©cepteurs, pouvant dĂ©clencher des pathologies telles que hypo et hyperactivitĂ©, dĂ©pression, schizophrĂ©nie, autisme, Ă©pilepsie. De mĂȘme les casomorphines issues d’une mauvaise dĂ©gradation de la casĂ©ine du lait provoquent toute une sĂ©rie de maladies respiratoires chroniques ORL otites, bronchites, sinusites, asthme,de dermatoses et mĂȘme des problĂšmes de vue. Dans le cas de la delta-6-dĂ©saturase, les pathologies sont liĂ©es aux maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives comme expliquĂ© plus loin
 Le fait que le mercure se substitue aux oligo-Ă©lĂ©ments est doublement trompeur le mercure ainsi liĂ© aux enzymes n’est plus dĂ©tectable car il n’est plus sous sa forme libre. Par contre, les oligo-Ă©lĂ©ments sont passĂ©s de la forme liĂ©e aux enzymes Ă  une forme libre. On va donc les doser en plus forte concentration et, sachant que les oligo-Ă©lĂ©ments sont bons pour l’organisme, on sera tentĂ©, Ă  tort, de dire que la personne est en excellente santĂ© car ayant une grande quantitĂ© d’oligo-Ă©lĂ©ments en circulation que l’on peut doser dans les cheveux, alors que celle-ci est en fait secondaire Ă  une intoxication d’un mĂ©tal lourd ! On comprend mieux maintenant l’action trĂšs insidieuse du mercure dans le corps. On peut trĂšs bien dĂ©tecter, chez une personne, pourtant souffrante, de grandes quantitĂ©s d’oligo-Ă©lĂ©ments et trĂšs peu, voire pas du tout, de mercure. Si on arrĂȘte lĂ  le diagnostic, faute de trouver un coupable, on va coller au mal une Ă©tiquette psychosomatique alors que la vraie cause est d’ordre organique. D’oĂč l’importance d’analyses bien ciblĂ©es et bien interprĂ©tĂ©es. LE MERCURE Hg Histoire Le mercure s’appelait autrefois hydrargyre argent liquide » d’oĂč son symbole Hg. Des gisements de mercure paraissent avoir Ă©tĂ© connus dĂšs l’AntiquitĂ© par les PhĂ©niciens. Ils ont Ă©tĂ© exploitĂ©s ensuite par les Grecs, puis par les Romains et au Moyen Age, par les Arabes. Les sels de mercure rĂ©pondaient Ă  bien des indications et un certain nombre Ă©taient utilisĂ©s en thĂ©rapeutique. Ils se prĂ©sentaient sous toutes les formes pilules, sirop, solutions et pommades. Au XVIIIe siĂšcle, le cyanure de mercure Ă©tait utilisĂ© comme antisyphilitique. Au dĂ©but de notre siĂšcle, des mĂ©decins ont criĂ© au danger et tirĂ© la sonnette d’alarme lorsque les dentistes ont commencĂ© Ă  la mettre dans la composition des amalgames en bouche. Personne n’a vraiment voulu les Ă©couter soigner avec une bonne rentabilitĂ© Ă©tait la prioritĂ©. Les dĂ©gĂąts causĂ©s dans l’organisme par le mercure ont Ă©tĂ© dĂ©couverts depuis de nombreuses annĂ©es. Prenons, par exemple, le dĂ©sastre Ă©cologique et humain de la baie de Minamata, qui a commencĂ© en 1932 par des dĂ©versements intempestifs de mĂ©thyl-mercure dans les eaux de la baie. Les premiĂšres atteintes des personnes sont apparues 20 ans aprĂšs les symptĂŽmes Ă©taient de grandes fatigues, des maladies de Parkinson, d’Alzheimer. Le plus dramatique fut lorsque des mĂšres commencĂšrent Ă  mettre au monde des enfants autistes, lourdement handicapĂ©s physiquement et mentalement. Il a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© que le mercure avait causĂ© des mutations chromosomiques Ă  la conception, celles-ci donnant des enfants atteints de troubles physiques et mentaux Ă©tudes et travaux en 1971 par des chercheurs, Ă  l’exemple du Dr suĂ©dois Skerfving. Aujourd’hui, son emploi se trouve dans les diverses branches de l’industrie voir tableau et en mĂ©decine Sources possibles de mercure Effets sur la santĂ© Combustion du charbon Troubles des fonctions thermomĂštres CĂ©rĂ©brales Amalgames dentaires AsthĂ©nie Accumulateurs Troubles visuels Onguents et cosmĂ©tiques Paralysie Fongicides et pesticides Convulsions Papier et adhĂ©sifs Albuminurie Pellicules de films LĂ©sions rĂ©nales Antiseptiques Feutre et vĂȘtements Cire Ă  parquet Peinture Ă  l’eau Engrais chimiques Lampes au nĂ©on Poisson Extraction de l’or et de l’argent D’autres sources possibles d’émission de mercure sont multiples comme les incinĂ©rateurs mortuaires, mĂ©dicaux et municipaux, les poissons d’eau douce, les plantes et animaux de mer
 Le mercure peut ĂȘtre vĂ©hiculĂ© sur de trĂšs longues distances dans l’atmosphĂšre ; une famille ayant une rĂ©sidence prĂšs d’un incinĂ©rateur et localisĂ©e en direction du vent sera plus contaminĂ©e qu’une famille habitant en direction opposĂ©e au vent, mĂȘme si la maison est plus proche de l’incinĂ©rateur. Utilisation actuelle en mĂ©decine Qui n’a pas Ă©tĂ© badigeonnĂ© d’une plaie au Mercurochrome aprĂšs un accident, une opĂ©ration ou des petites blessures ? Le mercure est souvent prĂ©sent dans de nombreux mĂ©dicaments, par exemple Mercryl, MerfĂšne, DacryosĂ©rum. Ils sont retirĂ©s silencieusement un peu plus du marchĂ© chaque annĂ©e ! Le mercure est utilisĂ© comme conservateur dans les vaccins. L’administration des vaccins continue Ă  faire couler beaucoup d’encre
 De nombreux articles dans la presse, de tĂ©moignages de parents, font le lien entre l’administration de ces vaccins et, aprĂšs une courte pĂ©riode, l’apparition des manifestations autistiques post-vaccinales chez les enfants. Actuellement on sait que, dans certaines rĂ©gions du monde, un enfant sur 150 est autiste ; et au regard de ces observations, il faut s’interroger et vĂ©rifier s’il n’y a pas, dans ces manifestations prĂ©coces de l’autisme, un lien souvent associĂ© aux problĂšmes de vaccin ROR. Lors de son arrivĂ©e dans notre monde, le nouveau-nĂ© est accueilli avec une liste de diffĂ©rents vaccins qui va en s’allongeant d’annĂ©es en annĂ©es. Certains contiennent d’assez grandes quantitĂ©s de ThimĂ©rosal ou Ă©thyl-mercurithiosalicylate de sodium. Les vaccins contenant du ThimĂ©rosal sont actuellement donnĂ©s avec dĂ©sinvolture. Voici quelques-uns des agents de prĂ©servation courants trouvĂ©s dans les vaccins – qu’il est fortement conseillĂ© d’éviter ThimĂ©rosal mercure, aluminium, phĂ©nol dĂ©sinfectant, formaldĂ©hyde carcinogĂšne, Ă©thylĂšne-glycol antifreeze, NĂ©omycine DNA polymerase inhibitor, Streptomycine antibiotique, etc. Sur le marchĂ©, apparaissent les premiers vaccins sans mercure. Il est donc trĂšs important de vous renseigner sur la composition des vaccins. [
] LE PLOMB Pb Histoire Les Romains et le saturnisme l’intoxication par le plomb est connue depuis l’AntiquitĂ© ! L’analyse des os des victimes d’une Ă©ruption en 79 aprĂšs du VĂ©suve Ă  Herculanum, prĂšs de PompĂ©i, a montrĂ© qu’ils contenaient du plomb. Le plomb Ă©tait trĂšs utilisĂ© par les Romains, qui s’en servaient pour leurs ustensiles de cuisine. A l’époque gallo-romaine, l’Orge, l’Yvette et la BiĂšvre alimentaient en eau les habitations de LutĂšce par des canalisations de terre cuite ou de plomb. D’ailleurs, certains historiens rendent le saturnisme responsable de la dĂ©cadence de l’Empire de Rome. De nos jours, on trouve toujours du plomb dans l’eau de nos robinets. La teneur en plomb maximale tolĂ©rĂ©e dans l’eau potable est de 50 ”g/l dans l’eau destinĂ©e Ă  la consommation. Afin de protĂ©ger ces enfants, l’OMS prĂ©conise un taux de plomb de 10 ”g/l. l’Europe va ĂȘtre amenĂ©e Ă  remplacer ses canalisations de distribution d’eau en plomb directives europĂ©ennes. Quelques chiffres Ă  propos de saturnisme des enfants En France 150 000 Ă  200 000 enfants seraient exposĂ©s au risque du saturnisme liĂ© Ă  l’habitat vĂ©tuste, dont 50 000 Ă  60 000 environ seraient intoxiquĂ©s avec une plombĂ©mie trop Ă©levĂ©e selon les estimations du ministĂšre français de la SantĂ©. Parmi 13 400 enfants intoxiquĂ©s, 32% avaient un taux de plomb supĂ©rieur Ă  100 ”g par litre de sang et 5% plus de 250 ”g d’aprĂšs l’AFP Sciences n° 1111, du 4 dĂ©cembre 1997. Certaines peintures contiennent du plomb celles de couleur orange et jaune contiennent du plomb ; la couleur blanche est fabriquĂ©e Ă  partir de cĂ©ruse carbonate de plomb, zinc et titane. D’ailleurs, certains artistes peintres souffraient de troubles de la vision et certains de dĂ©mence
 Du plomb dans l’air entre 1945 et 1971, chaque annĂ©e entre 165 000 et 275 000 tonnes de poussiĂšres de plomb sortaient des pots d’échappement des automobiles amĂ©ricaines. Combien en plus sortaient des voitures en Europe
. ? Et dans le monde
 ? Et des avions 
 ? on peut donc aisĂ©ment imaginer les dĂ©gĂąts que l’on a fait simplement avec cela jusqu’à ce qu’on ait retirĂ© le plomb des carburants. La source du plomb Ă  elle seule a coĂ»tĂ© des millions chaque annĂ©e, que ce soit Ă  la France, Ă  l’Autriche, Ă  la Suisse et aux autres pays, au moins 2% de leur budget national, uniquement pour soigner les maladies dues Ă  leur pollution automobile ! NB Fumer augmente de 25% l’absorption de plomb et de cadmium. Une cigarette dĂ©truit 25 ”g de vitamine C. Sources possibles de plomb Effets sur la santĂ© Gaz de voitures AnĂ©mie Peintures Ă  base de plomb Colique Pollution dĂ»e aux fonderies Fatigue Conduites d’eau en plomb Convulsions Eau du robinet HyperkinĂ©sie Piles et accumulateurs au plomb psychose LE CADMIUM Cd Histoire Cet Ă©lĂ©ment Ă©tait autrefois extrait de la cadmie calamine dans la citĂ© grecque de Cadmos, prĂšs de ThĂšbes, d’oĂč son nom. Pontin l’y dĂ©couvrit en 1808, et il fut prĂ©parĂ© par F. Stromeyer en 1817. L’oxyde de cadmium, jaune brun, est usitĂ© dans la dĂ©coration des porcelaines. Le sulfure de cadmium, jaune clair, est employĂ© en peinture et en caoutchouterie. L’iodure de cadmium sert en photographie Ă  sensibiliser les plaques. Le cadmium entre dans la composition de nombreux alliages pour les soudures, brasures, et sert Ă  la fabrication de certaines batteries. Mais ses principales utilisations et celles de ses composĂ©s concernent les revĂȘtements anticorrosion appliquĂ© en couche mince sur l’acier – cadmiage, le cadmium le protĂšge contre la corrosion, en particulier saline. Ses vapeurs et ses sels sont trĂšs toxiques ; il ne doit pas entrer en contact avec les matiĂšres alimentaires. AUTRES METAUX TRACES TOXIQUES Rappel de nombreux mĂ©taux, qui peuvent empoisonner l’organisme selon la dose, n’appartiennent pas au groupe historique des mĂ©taux lourds mais mĂ©ritent leur place dans ce dossier dĂ©diĂ© Ă  la dĂ©sintoxication. Nous n’en citerons que deux Ă  titre d’exemple, le titane et l’aluminium mais d’autres, comme l’argent, le cuivre, le bismuth
 vont Ă©galement devenir toxiques selon les doses et dĂ©clencher des pathologies graves, d’autant plus que ce sont des poisons cumulatifs. L’ALUMINIUM Al Histoire En 1807, Guyton de Morveau baptise aluminium le mĂ©tal contenu dans l’alun et en 1859 Henri Sainte Claire Deville met au point le procĂ©dĂ© industriel de son isolement. L’aluminium pĂ©nĂštre dans les cuisines, d’abord avec les casseroles, dĂšs le dĂ©but du XXe siĂšcle, puis avec le papier aluminium ». Aujourd’hui, il est de plus en plus utilisĂ© pour les emballages alimentaires, pour l’alimentation conservateur, pour des mĂ©dicaments et la cosmĂ©tique. L’aluminium pĂ©nĂštre dans le sang en se combinant Ă  la transferrine Ă  la place du fer et conduit progressivement les cellules Ă  la nĂ©crose. Dans des conditions particuliĂšres chez des dialysĂ©s, on peut observer une neurotoxique dĂ©gĂ©nĂ©rative proche de la maladie d’Alzheimer. Sources possibles de cadmium Effets sur la santĂ© Fonderies de zinc, plomb et cuivre LĂ©sions rĂ©nales Eau de boisson ArtĂ©riosclĂ©rose RevĂȘtements de cadmium galvanisĂ© Bronchite chronique Particules de pneu EmphysĂšme Farine blanche OstĂ©omalacie Casseroles Ă©maillĂ©es Cancer broncho pulmonaire Bonbons et charcuterie IncinĂ©ration de caoutchouc, De plastique et de colorants CafĂ© instantanĂ© Et boissons au cola HuĂźtres Huile de moteur Et gaz d’échappement Engrais phophatĂ©s Produits Ă  polir l’argenterie cigarettes Sources d’intoxication - Par l’oxydation des aliments dans les emballages en aluminium barquettes, contenants et capsules, feuille d’aluminium – attention dans un plat en inox, par exemple, il se produit un effet Ă©lectrique » et donc un passage d’ions aluminium dans l’aliment, dans les casseroles et autres ustensiles, surtout si le contenu est acide ou salĂ© ; par les produits cosmĂ©tiques anti-transpirants et crĂšmes qui pĂ©nĂštrent par la peau ; par les mĂ©dicaments beaucoup de pansements gastriques
 - Par les vaccins la plupart diphtĂ©rie, tĂ©tanos, coqueluche, polio, hĂ©patite A et B, etc. contiennent de l’hydroxyde d’aluminium, correspondant Ă  un apport global en ions aluminium de l’ordre de 1 250 ”g par dose. Ce poison est inoculĂ© Ă  travers tous les filtres physiologiques ! Avant un an, un bĂ©bĂ© normalement vaccinĂ© reçoit au moins 8 000 ”g d’aluminium ! Par ailleurs, l’aluminium a trĂšs rĂ©cemment Ă©tĂ© incriminĂ© par la Professeur Gherardi de l’hĂŽpital Henri Mondor dans la myofasciite Ă  macrophages, pathologie nouvelle de l’adulte mais pouvant Ă©galement toucher l’enfant et secondaire Ă  des vaccinations. [
] LE TITANE Ti Bien qu’il ait Ă©tĂ© dĂ©couvert en 1791 par W. Gregor, et indĂ©pendamment en 1795 par M. Klaproth, le titane n’a pris de l’importance qu’à partir de 1946, date Ă  laquelle on trouva un procĂ©dĂ© de production Ă  l’échelle industrielle. Dans le domaine mĂ©dical il est trĂšs usitĂ© pour les applications orthopĂ©diques, tĂȘte fĂ©morales, implants dentaires, comme vĂ©hicule de stabilisation dans les crĂšmes dermatologiques. Le titane a remplacĂ© le plomb dans les peintures. On l’emploie pour blanchir les crĂ©pis de murs, revĂȘtements des poĂȘles, de cuisine, dans les dentifrices pour blanchir les dents. Il remplace le zinc depuis quinze ans pour recouvrir les comprimĂ©s pharmaceutiques et alimentaires. Il est utilisĂ© comme implant dentaire. Il est classifiĂ© comme conservateur E171. De nouvelles Ă©tudes mettent en Ă©vidence des soupçons quant Ă  son innocuitĂ©. Aujourd’hui on peut voir que le titane est conducteur de microcourants Ă©lectriques dans la milieu buccal, crĂ©ant ainsi une microgalvanisation. DĂ©tectable par le test MĂ©lissa. SOURCES D’INTOXICATION L’eau elle est de plus en plus contaminĂ©e dans les nappes phrĂ©atiques, les riviĂšres et mĂȘme dans les sols, qu’ils soient cultivĂ©s contamination par les pesticides et engrais, ou amĂ©nagĂ©s Ă  des fins esthĂ©tiques golfs. Les aliments depuis ces cinquante derniĂšres annĂ©es, les aliments sont dĂ©naturĂ©s » d’une façon drastique. Leurs modifications sont trop rapides pour le corps humain et la nature ne peut pas s’adapter. Ils sont modifiĂ©s gĂ©nĂ©tiquement – des gĂšnes d’autres espĂšces y sont introduits. Ils sont irradiĂ©s, colorĂ©s aromatisĂ©s et prĂ©servĂ©s artificiellement, fractionnĂ©s, surchauffĂ©s, transformĂ©s chimiquement, forcĂ©s dans des climats non propices, etc. Nous oublions que nous sommes le rĂ©sultat de notre Ă©volution Ă©chelonnĂ©e sur plusieurs millions d’annĂ©es. Nous avons Ă©voluĂ© au rythme de notre environnement. Maintenant, nous avons changĂ© l’environnement, mais notre corps ne peut suivre et reconnaĂźtre toutes ces molĂ©cules Ă©trangĂšres. RĂ©sultat nous vivons plus longtemps
 malades ! Ces aliments chimiques et modifiĂ©s ont des consĂ©quences dramatiques sur l’ĂȘtre humain. Additifs Saviez-vous que 34 colorants sont autorisĂ©s dans la transformation des aliments ? L’étiquette indique uniquement les couleurs mais pas leur toxicitĂ©. Plus de 1500 arĂŽmes sont permis dans les aliments. Et il existe plus de 10 000 additifs alimentaires dans le monde ! Irradiations nos aliments sont irradiĂ©s ! Ils ne sont pas radioactifs, mais les structures molĂ©culaires changent et ils sont des sources de radicaux libres ; ils provoquent de plus des mutations sur certaines bactĂ©ries et virus devenant rĂ©sistants aux irradiations. Les pesticides jusqu’à trĂšs rĂ©cemment, la majoritĂ© d’entre eux n’étaient pas Ă©tudiĂ©s sur le plan de la toxicitĂ© avant d’ĂȘtre commercialisĂ©s et Ă©taient considĂ©rĂ©s comme inoffensifs jusqu’à preuve du contraire ! Les normes europĂ©ennes ont changĂ© cet Ă©tat de fait. LES EFFETS DE L’INTOXICATION SUR LES ENFANTS On peut dire que les enfants intoxiquĂ©s Ă  un ou plusieurs mĂ©taux lourds habitent tous dans le mĂȘme immeuble » mais Ă  des Ă©tages diffĂ©rents. Au rez-de-chaussĂ©e se trouvent les enfants simplement dyslexiques et, aux Ă©tages supĂ©rieurs, se trouvent diffĂ©rentes pathologies aggravĂ©es jusqu’à l’autisme le plus profond, avec perte de langage. Tous ces enfants ont en commun leur intelligence, leurs angoisses, leur hypo ou hyperactivitĂ©, leurs difficultĂ©s d’apprentissage, leurs frustrations, leurs colĂšres. Pour certains s’ajoutent la stĂ©rĂ©otypie tics et troubles obsessionnels du comportement, le renfermement dans diverses formes d’autisme, avec ou sans langage, auto-mutilateur ou non, avec ou sans crises d’épilepsie. Et tout cela est dĂ» bien souvent Ă  des sensibilitĂ©s ou des intolĂ©rances cachĂ©es, vraies bombes Ă  retardement. Il en va Ă©videmment de mĂȘme pour les adultes
 L’IMPORTANCE DE L’ALIMENTATION L’alimentation est notre bouĂ©e de sauvetage, elle nous permet avant tout de vivre mais aussi de nous dĂ©sintoxiquer, de rééquilibrer notre organisme, de nous refaire une santĂ©. Le changement alimentaire doit ĂȘtre individualisĂ© et personnalisĂ© et surtout en harmonie avec notre capital enzymatique encore en Ă©tat de marche. D’ailleurs, l’un supportera tel produit, tel aliment, mais pas un autre. L’un sera intolĂ©rant au lait et ses dĂ©rivĂ©s casĂ©ine, au gluten et ses dĂ©rivĂ©s, un autre le sera aux pommes, ou au sucre, ou encore au lait de soja, aux Ɠufs, aux bananes, etc., voire Ă  tous ces aliments en mĂȘme temps ! C’est quelquefois une intolĂ©rance globale Ă  des aliments de base qui seront mal mĂ©tabolisĂ©s et transformĂ©s en toxines pour l’organisme. La prise de complĂ©ments alimentaires est importante et indispensable pour que l’organisme ne manque pas des principaux oligo-Ă©lĂ©ments et minĂ©raux calcium, magnĂ©sium, etc., vitamines A, B, D, E et huiles essentielles sĂ©rie omĂ©ga-3 et DHA indispensables pour les membranes cellulaires et pour la myĂ©line, etc. et pour que l’organisme puisse s’épanouir et fonctionner correctement. Les enzymes digestives Chaque individu rĂ©agit diffĂ©remment d’aprĂšs son propre hĂ©ritage gĂ©nĂ©tique, et chaque personne rĂ©agit Ă©galement diffĂ©remment devant les blocages enzymatiques dus Ă  sa propre intoxication, au cocktail des mĂ©taux logĂ©s dans les cellules des diffĂ©rents organes. Ainsi, certaines personnes dĂ©clencheront des pathologies diffĂ©rentes, et Ă  des degrĂ©s diffĂ©rents, comme la sclĂ©rose en plaques, la dĂ©pression, l’hyperactivitĂ©, la schizophrĂ©nie violence, la maladie d’Alzheimer, la dĂ©myĂ©linisation mĂȘme infantile et autres pathologies dĂ©gĂ©nĂ©ratives. Peut-ĂȘtre aussi divers cancers qu’on est encore loin de soupçonner ainsi que les maladies cardio-vasculaires lorsque le systĂšme des acides gras poly-insaturĂ©s est touchĂ© et lorsque la sĂ©rie des enzymes principales de dĂ©saturation delta-4, 5 et 6-dĂ©saturases n’arrive plus Ă  transformer et Ă  mĂ©taboliser les huiles et les graisses saturĂ©es en acides gras essentiels indispensables pour les cellules gaines des nerfs, rĂ©tine des yeux, prostaglandines, cerveau, neurotransmetteurs. La delta-6-dĂ©saturase est l’une des principales enzymes permettant la transformation des acides gras. Son action permet de gĂ©nĂ©rer des acides gras poly-insaturĂ©s essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Nous constatons dans certaines maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives, comme la sclĂ©rose en plaques ou les maladies cardio-vasculaires, que son dysfonctionnement est souvent prĂ©sent et mis en Ă©vidence par des analyses des acides gras membranaires ou Ă©rythrocytaires globules rouges de la fraction phospholipidique. Les mĂ©taux lourds perturbent la flore intestinale Les dĂ©stabilisateurs majeurs de la flore intestinale sont les mĂ©taux lourds, les changements d’alimentation, les thĂ©rapies aux antibiotiques, corticoĂŻdes, chimiothĂ©rapies, les parasitoses et mycoses, immunosuppresseurs ou laxatifs, les traitements chirurgicaux du tube digestif, ainsi que les Ă©pisodes diarrhĂ©iques dus Ă  la non-assimilation de la nourriture, dont les mĂ©taux lourds prĂ©sents dans l’organisme bloquent le systĂšme enzymatique. Des consĂ©quences indirectes et chroniques sont inflammation intestinale, colopathies fonctionnelles, troubles de la permĂ©abilitĂ© intestinale reliĂ©s Ă  la malabsorption ou aux infections par manque d’effet barriĂšre, mauvaise haleine, affaiblissement des cheveux, des ongles et de la peau carences nutritionnelles, affaiblissement du systĂšme immunitaire, Ă©lĂ©vation du taux de cholestĂ©rol, dĂ©gradation du terrain arthritique installation d’hĂŽtes indĂ©sirables Candida, vers, etc., pathologies auto-immunes thyroĂŻdite, Crohn, etc.. GROSSESSE RISQUES ET CONSEILS Lorsque la mĂšre possĂšde des mĂ©taux lourds dans son organisme, elle intoxique involontairement le fƓtus par transfert placentaire. De gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration, l’accumulation devient de plus en plus importante et dangereuse pour l’organisme du futur bĂ©bĂ©. Certaines bactĂ©ries prĂ©sentes dans le systĂšme buccal sont capables de mĂ©thyler » le mercure c’est-Ă -dire lui adjoindre un groupe mĂ©thyl, CH3, formant un cation mĂ©thylmercurique et donc de le rendre organique et soluble. Il est dĂ©montrĂ© que les amalgames dentaires de la future mĂšre, si elle en possĂšde, libĂšrent une certaine quantitĂ© de vapeur mercurielle, qui est inhalĂ©e et rejoint le courant sanguin. Une partie traverse alors le placenta et pĂ©nĂštre dans le fƓtus en dĂ©veloppement, qui prend les bons mais aussi les mauvais Ă©lĂ©ments du mĂ©tabolisme de la mĂšre le fƓtus joue le rĂŽle de poubelle car le corps de la mĂšre se dĂ©barrasse ainsi de ses substances toxiques. Sous sa forme mĂ©thylĂ©e donc organique, le mercure est beaucoup plus dangereux car il devient trĂšs soluble dans les matiĂšres grasses ainsi il est mĂȘme mieux stockĂ©, peut passer dans le fƓtus et mĂȘme traverser la barriĂšre hĂ©mato-encĂ©phalite pour se loger dans le cerveau. Nous avons reçu dans notre association la visite d’une personne qui chiffrait 1 154 ”g/mÂł de vapeur de mercure aprĂšs 10 minutes de mastication d’un chewing-gum, soit 23 fois la dose maximale tolĂ©rĂ©e ! Dix fois la dose, voire plus, est chose courante dans la population
 A titre de comparaison, la loi exige la fermeture d’un local public Ă  partir de 50 ”g/mÂł ! Le transfert de mercure de la mĂšre au fƓtus est aujourd’hui la premiĂšre cause de l’intoxication aux mĂ©taux lourds des enfants. Par consĂ©quent, pendant votre grossesse, surveillez votre alimentation et Ă©vitez tout aliment contenant des mĂ©taux lourds voir plus haut. Evitez Ă©galement de prendre des mĂ©dicaments et, si cela est indispensable, contrĂŽlez bien le contenu de ceux-ci. Il est temps d’informer les futurs parents sur les possibilitĂ©s de prĂ©parer leur organisme pour un nettoyage prĂ©ventif des mĂ©taux lourds. MĂ©thodes qui devraient ĂȘtre instaurĂ©es d’urgence devant l’ampleur des maladies et des troubles chez les nourrissons - Analyse des mĂ©taux lourds il existe des analyses pour dĂ©tecter la prĂ©sence de mĂ©taux lourds dans les tissus ; par contre, la prĂ©sence de mercure est trĂšs difficile Ă  dĂ©tecter si le contact a eu lieu depuis trois mois ou plus. MĂȘme avec la prise d’un chĂ©lateur substances capables de dĂ©loger les mĂ©taux lourds du corps, l’analyse de selles ne va pas nĂ©cessairement indiquer la prĂ©sence de mercure. - Analyses de cheveux, d’urine et de selles une analyse de cheveux peut indiquer la prĂ©sence de mĂ©taux lourds mais pas la prĂ©sence de mercure si l’exposition date de plus de trois mois. Par contre, cette mĂȘme analyse indique l’équilibre des minĂ©raux pour mieux individualiser les besoins nutritifs de l’individu. Les analyses d’urine et de selles sont utilisĂ©es pour mesurer le taux d’élimination des mĂ©taux. L’excrĂ©tion du mercure se fait principalement par les selles. Pour cette raison, il est prĂ©fĂ©rable d’utiliser l’analyse de selles pour mieux suivre la chĂ©lation du mercure l’absence, ou la prĂ©sence en bas des limites, de mercure dans l’urine ou les cheveux n’est pas pour autant un indicateur de l’absence de mercure dans les tissus. L’analyse d’urine, comme l’analyse de cheveux, est utilisĂ©e pour s’assurer de l’équilibre des minĂ©raux et aussi pour vĂ©rifier l’état des reins pendant la chĂ©lation. LA CHELATION ELIMINER LES METAUX LOURDS Avant d’entreprendre un traitement de chĂ©lation des Ă©taux lourds, il convient en premier lieu de s’assurer, au moyen de tests divers, si l’on est oui ou non intoxiquĂ©. Si la rĂ©ponse est oui, il faudra d’abord engager une rĂ©forme alimentaire spĂ©cifique, dĂ©barrassĂ©e de tout aliment ou agent toxique et ensuite, le cas Ă©chĂ©ant, se faire retirer, par un dentiste spĂ©cialement formĂ© pour cela, ses amalgames dentaires, source majeurs d’intoxication de l’organisme par le mercure. Ensuite seulement peut commencer la chĂ©lation proprement dite. Elle sera accompagnĂ©e d’une prise de complĂ©ments et minĂ©raux ciblĂ©s pour reconstituer rapidement eu Ă©tat optimal de santĂ© et d’un suivi mĂ©dical. Il n’existe pas un seul et unique protocole universel pour faire la chĂ©lation du mercure et autres mĂ©taux lourds. Pour cette raison, il faut porter une attention particuliĂšre Ă  l’état de la flore intestinale. Une fois de plus, l’approche globale est nĂ©cessaire pour bien comprendre le problĂšme et viser la meilleure solution face Ă  l’agression que constitue la chĂ©lation. Parce que la chĂ©lation est une insulte massive, elle chĂ©late aussi tous les bons minĂ©raux. 1-Tests pour dĂ©tecter l’intoxication par le mercure L’empoisonnement par la plupart des mĂ©taux lourds est facilement dĂ©tectable par des analyses sanguines. Par exemple, si une personne a du plomb dĂ©tectable dans le corps, elle aura aussi une certaine quantitĂ© de plomb dĂ©tectable dans le sang. En fait, l’étalon pour la dĂ©tection d’un empoisonnement par la plupart des mĂ©taux traces est l’analyse du contenu intracellulaire Ă  partir des globules rouges. Les niveaux de mĂ©taux traces dans les cheveux et l’urine reflĂštent gĂ©nĂ©ralement ceux du sang. Se dĂ©barrasser de la plupart des mĂ©taux traces, tels que le plomb, au moyen d’agents chĂ©lateurs, n’est pas difficile et la frĂ©quence, ainsi que la quantitĂ© donnĂ©e posologie n’affectent pas le rĂ©sultat du traitement. En effet, la plupart des mĂ©taux traces se rĂ©partissent dans le corps en un Ă©quilibre relativement Ă©gal entre leurs sites de stockage prĂ©fĂ©rĂ©s et le courant sanguin. Ce n’est pas le cas du mercure. AprĂšs une exposition, on n’en trouve un niveau dĂ©tectable dans le sang que pendant une courte durĂ©e, de l’ordre de quelques semaines Ă  quelques mois, parce que le mercure, Ă  moins qu’il ne soit Ă©liminĂ©, se lie rapidement aux enzymes par le groupe soufrĂ© thiol des cystĂ©ines, acides aminĂ©s Ă©galement prĂ©sents dans de trĂšs nombreuses protĂ©ines qui aimantent » littĂ©ralement le mercure et les mĂ©taux traces en gĂ©nĂ©ral. Cette liaison peut devenir covalente, donc trĂšs forte, si la cystĂ©ine rĂ©agit avec du mĂ©thyl-mercure ou de l’éthyl-mercure. Ainsi, si un certain laps de temps s’est Ă©coulĂ© aprĂšs une importante exposition au mercure, on dĂ©tectera peu, si ce n’est pas du tout, de mercure dans le sang, l’urine ou les cheveux. La seule façon de dĂ©tecter directement le niveau mercuriel prĂ©sent dans le foie, les reins, l’appareil gastro-intestinal et le cerveau passe par la biopsie de ces organes. Cette procĂ©dure n’est ni faisable ni recommandĂ©e. A cĂŽtĂ© de cela, la vĂ©ritable question n’est pas de savoir combien il y a de mercure, mais Ă  quel point le patient est rĂ©ellement intoxiquĂ© par le mercure. Aucune personne, mĂȘme la plus intoxiquĂ©e au mercure, ne prĂ©sente simultanĂ©ment toutes ces anomalies. Certains signes de toxicitĂ© mercurielle affectant le cerveau et le systĂšme immunitaire peuvent ĂȘtre trouvĂ©s Ă  l’examen physique. En voici ci-dessous, parmi beaucoup d’autres anomalies, une liste partielle -pupilles dilatĂ©es, -transpiration des pieds et des mains, -rĂ©flexes pathologiques – gĂ©nĂ©ralement rĂ©flexes de Babinski, -saccades trĂšs rapides des genoux, -lĂ©gĂšre Ă©sotropie, -Ă©ruptions, eczĂ©ma, -rythme cardiaque Ă©levĂ©. A cause de la cinĂ©tique du mercure dans le corps, on n’observe pas de taux mercuriels Ă©levĂ©s dans les cheveux, le sang, les globules rouges ou les urines, Ă  moins que l’exposition au mercure ait Ă©tĂ© rĂ©cente. Un test de mobilisation » compte rendu chiffrĂ© de la chĂ©lation utilisant n’importe quel mĂ©dicament chĂ©lateur n’a aucune utilitĂ© mĂ©dicale, sauf s’il est nĂ©cessaire pour convaincre une compagnie d’assurance de payer le traitement. Et certaines compagnies d’assurance refuseront de payer le traitement, mĂȘme si le test est positif ». Un test de mobilisation montre simplement que le sujet excrĂšte du mercure et la quantitĂ© excrĂ©tĂ©e, sauf si elle est trĂšs importante, ne sert en rien Ă  prouver l’intoxication. De plus, mĂȘme ceux qui excrĂštent trĂšs peu de mercure en rĂ©ponse Ă  une mobilisation, peuvent ĂȘtre trĂšs intoxiquĂ©s par le mercure Leur mercure peut ĂȘtre si fortement liĂ© Ă  diffĂ©rents systĂšmes enzymatiques, par liaison covalente dans diffĂ©rents organes, que seule une trĂšs petite quantitĂ© sera chĂ©latĂ©e dĂ©logĂ©e pendant la courte pĂ©riode du test de mobilisation. TrĂšs souvent, on trouve des taux Ă©levĂ©s d’oligo-Ă©lĂ©ments dans le sang et les cheveux chez les personnes intoxiquĂ©es au mercure. Pour un praticien non expĂ©rimentĂ©, l’intoxication aux mĂ©taux lourds pourrait signifier que le patient est en bonne santĂ©. Il n’en est rien, car le mercure et les autres mĂ©taux toxiques chassent les oligo-Ă©lĂ©ments appelĂ©s aussi cofacteurs, indispensables au fonctionnement des enzymes. Ces Ă©lĂ©ments chassĂ©s des cellules n’ont plus d’utilitĂ© ou trĂšs peu car le mercure a pris leur place. Il vaut mieux, et de loin, se fier aux signes trouvĂ©s Ă  l’examen physique et aux anomalies d’analyses coproporphyrines, acides gras et minĂ©raux membranaires ou Ă©rythrocytaires par exemple pour un diagnostic correct. 2-Avant la chĂ©lation le nettoyage alimentaire Pour ĂȘtre optimal, le changement alimentaire doit inclure des combinaisons alimentaires individualisĂ©es selon l’ñge, le sexe, l’activitĂ© physique, l’état de santĂ©, etc. Si, en plus, la personne Ă©carte de son alimentation les pesticides et toutes les molĂ©cules de synthĂšse colorants, arĂŽmes, agents de conservation, etc. la chĂ©lation sera plus efficace, puisqu’elle se concentrera sur les vieilles toxines au lieu de devoir travailler en mĂȘme temps avec de nouvelles toxines. Les organes d’excrĂ©tion sont la peau, les poumons, les reins et l’intestin. Le foie a un rĂŽle primordial puisqu’il mĂ©tabolise toutes les toxines. Plus la personne est intoxiquĂ©e, plus le foie est touchĂ©. Avent de relĂącher par chĂ©lation une charge de mĂ©taux lourds, il faut s’assurer qu’ils ne sont pas simplement mis en circulation et qu’ils ne changent pas tout simplement de place ! Il faut s’assurer aussi que tous les organes d’élimination sont opĂ©rationnels. Ce nettoyage alimentaire est indispensable pour prĂ©parer l’organisme Ă  mieux se dĂ©fendre contre l’arrivĂ©e massive des mĂ©taux traces dans les Ă©monctoires provoquĂ©e par la dĂ©pose, le cas Ă©chĂ©ant, des amalgames dentaires et au traitement de chĂ©lation si vous avez dĂ©cidĂ© de l’entreprendre. 3-la dĂ©pose des amalgames dentaires La dĂ©pose des amalgames doit se faire seulement chez un dentiste spĂ©cialement Ă©quipĂ©, pour ce travail dĂ©licat, d’une digue de caoutchouc et d’un masque spĂ©cifique de protection – pour ne pas vous larguer » du mercure ou tout autre mĂ©tal dans l’organisme pendant le travail dentaire. D’autre part vous prendrez, en plus du charbon, avant et aprĂšs la dĂ©pose, du sĂ©lĂ©nium afin que votre foie ne reçoive pas de choc qui, quelques jours plus tard, ferait empirer vos symptĂŽmes sans que vous ne pensiez un seul instant que tout cela vienne de votre dentiste ! 4-la chĂ©lation proprement dite les chĂ©lateurs chimiques les plus courants sont le DMSA, le DMPS et l’EDTA. Les reins sont rapidement agressĂ©s si la chĂ©lation n’est pas bien suivie. Il est impĂ©ratif d’apporter un supplĂ©ment de minĂ©raux les jours suivant la chĂ©lation et de mettre l’accent sur les minĂ©raux qui manquent le plus, particuliĂšrement le zinc, indispensable Ă  la synthĂšse des enzymes digestives. La chĂ©lation des mĂ©taux avec l’EDTA, le DMSA et le DMPS s’étale sur une longue durĂ©e. Il est recommandĂ© d’utiliser de la vitamine C Ă  forte dose, du glutathion et de l’acide lipoĂŻque, trois excellents neutralisateurs de tous les radicaux libres. La mĂ©latonine est recommandĂ©e pour les adultes, quoique des spĂ©cialistes de l’autisme et autres troubles du dĂ©veloppement chez l’enfant l’utilisent aussi avec beaucoup de succĂšs sur de jeunes enfants. Le citrate de potassium est un autre chĂ©lateur, utilisĂ© comme supplĂ©ment alimentaire pour corriger certains problĂšmes de santĂ© systĂšme nerveux, rythme cardiaque, maladie cardio-vasculaire, pression sanguine, sĂ©crĂ©tions hormonales, contractions musculaires, prĂ©vention pour l’attaque cĂ©rĂ©brale, etc.. il est aussi un agent alcalinisant contrĂŽleur du pH. Il ne faut pas oublier la chĂ©lation orale naturelle. La mĂ©decine orthomolĂ©culaire a une longue liste de supplĂ©ments et de plantes chĂ©latrices et captrices de radicaux libres. LA JEUNESSE N’EST PAS FAITE POUR SOUFFRIR Nous, parents, qui souffrons pour notre enfant qui fait preuve de violence, qui a des problĂšmes scolaires, de concentration et qui nous pousse Ă  bout, aidons-le ! Offrons-lui cette chance de le soigner ! GrĂące aux analyses spĂ©cifiques, au changement alimentaire individualisĂ© et aux complĂ©ments alimentaires et huiles essentielles, nous pouvons le dĂ©sintoxiquer afin de rĂ©tablir son mĂ©tabolisme pour que ses neurotransmetteurs fonctionnent bien et assurent parfaitement la transmission des informations et la liaison entre les cellules. Mettons tout en Ɠuvre pour qu’il ait une belle jeunesse, qu’il devienne un adulte sain, sans problĂšmes sexuels liĂ©s aux stĂ©roĂŻdes hormones sexuelles ou Ă  la libido, qu’il soit bien dans sa peau, ni dĂ©pressif ni violent verbalement et/ou physiquement, qu’il ait une vie privĂ©e et professionnelle active, au lieu d’ĂȘtre d’une part rejetĂ© par certains et, d’autre part, Ă  la charge de la sociĂ©tĂ©. Je souhaite Ă  tous les parents de voir comment on peut mĂ©tamorphoser son enfant, avoir une autre vie faite de douceur, de plaisirs dans les Ă©changes, de rires et non de cris et de violence avec des enfants frustrĂ©s et malheureux, voire enfermĂ©s en institution sous mĂ©dicaments psychotropes qui leur gĂąchent et cachent leur vraie personnalitĂ©. Nous pouvons Ă©videmment nous limiter Ă  une psychothĂ©rapie ou Ă  une thĂ©rapie qui pourrait l’aider Ă  vivre avec ce mal ĂȘtre ». Mais pourquoi ne pas lui donner plus un traitement qui va Ă  la source de ses vrais problĂšmes ? Nous avons finalement tout en main pour sauver nos enfants et nous adultes mais in ne faut rien entreprendre sans que cela n’ait Ă©tĂ© minutieusement prĂ©parĂ© au prĂ©alable. Tout d’abord, trouver un mĂ©decin ou thĂ©rapeute qui puisse Ă©tablir la liste d’analyses Ă  faire. Ensuite seulement, aprĂšs un diagnostic prĂ©cis, si une intoxication aux mĂ©taux lourds est Ă©vidente, entreprendre les dĂ©marches, comme dĂ©crit plus haut, pour leur chĂ©lation, en parallĂšle avec un changement alimentaire et une minĂ©ralisation adaptĂ©s aux besoins. [edit]-Message editĂ© par manon le 200
Poursoutenir le pouvoir d’élimination des mĂ©taux toxiques de votre foie, de vos reins et de tous vos Ă©monctoires, misez sur la bardane, le chardon-Marie et la fumeterre. La bardane, au pouvoir dĂ©puratif, aidera vos reins et votre foie , sous forme de racines fraĂźches (plus actives qu’aprĂšs sĂ©chage) que vous pouvez infuser en tisane (100 g de racines pour un demi

Tout autour de nous, les mĂ©taux lourds se cachent dans notre eau, nos aliments, nos produits d’entretien mĂ©nagers et mĂȘme dans l’air que nous respirons sous forme de pollution. Certains d’entre eux ne sont dangereux qu’en grande quantitĂ©, alors que mĂȘme des quantitĂ©s infimes d’autres peuvent nuire Ă  notre santĂ© lorsqu’ils trouvent un moyen de pĂ©nĂ©trer dans le corps humain. Voici 7 façons naturelles de dĂ©barrasser votre corps des mĂ©taux lourds. 1. Filtrez votre eau L’eau du robinet est le plus souvent remplie de mĂ©taux lourds et d’autres Ă©lĂ©ments pouvant atteindre des niveaux toxiques dans le corps humain. Pensez Ă  installer un systĂšme de filtration d’eau ou Ă  ramasser un pichet de filtration pour aider Ă  nettoyer les impuretĂ©s de votre eau de boisson. 2. Évitez les aliments en conserve Éviter les aliments qui ont Ă©tĂ© stockĂ©s dans une boĂźte en mĂ©tal qui devrait ĂȘtre une Ă©vidence pour la dĂ©sintoxication des mĂ©taux lourds. Cependant, les conserves sont un produit de base quotidien dans la plupart des rĂ©gions du monde et vous les avez probablement consommĂ©es toute votre vie, dans l’illusion de leur sĂ©curitĂ©. Cependant, si vous souhaitez nettoyer votre corps des mĂ©taux toxiques, vous devrez Ă©viter ces aliments. Optez pour des produits frais autant que possible. Non seulement vous cesserez de contaminer votre corps, mais vous obtiendrez Ă©galement plus d’élĂ©ments nutritifs provenant d’aliments frais. 3. TĂ©flon de remplacement Le plastique et les conserves ne sont pas les seuls articles de cuisine Ă  introduire des mĂ©taux toxiques dans nos cellules. Casseroles et poĂȘles recouvertes de tĂ©flon sont une autre grande catĂ©gorie Ă  Ă©viter. Remplacez-les par de la cĂ©ramique, de la fonte ou du verre. 4. Consommer plus de gras omĂ©ga-3 Les graisses ont acquis une mauvaise rĂ©putation au cours des derniĂšres dĂ©cennies – ce qui est regrettable compte tenu du fait que notre corps a besoin de graisses saines pour fonctionner correctement. Les acides gras omĂ©ga-3, en particulier, sont Ă©galement intĂ©ressants pour la dĂ©toxification des mĂ©taux lourds de vos cellules. Essayez d’ajouter des graines de lin, de l’huile de lin ou des graines de chia Ă  votre alimentation quotidienne afin d’aider votre systĂšme Ă  Ă©liminer les composĂ©s nocifs. 5. Profitez d’un bain dĂ©toxifiant Le trempage dans un bain d’argile est l’un des moyens les plus efficaces pour extraire les mĂ©taux lourds du corps. En fait, l’argile aspire les ions mĂ©talliques Ă  travers les pores de la peau, les Ă©liminant ainsi sans stress supplĂ©mentaire pour les organes internes comme les reins et le foie. Essayez de tremper pendant 30 minutes Ă  une heure dans un bain d’argile Ă  la bentonite. Si vous n’avez jamais fait cela auparavant, vous serez peut-ĂȘtre choquĂ© de voir Ă  quel point vous vous sentirez bien lorsque vous sortirez de la baignoire. 6. rester hydratĂ© Probablement l’essentiel des conseils de santĂ© naturels, rester hydratĂ© est essentiel au bon fonctionnement de tous les systĂšmes du corps humain; et quand il s’agit d’éliminer les toxines, l’eau est absolument essentielle. 7. Transpiration Maintenant que nous avons couvert l’hydratation, la prochaine Ă©tape consiste Ă  dĂ©placer cette eau et les toxines qu’elle entraĂźne de votre corps dĂšs que possible!PrĂ©voyez une pause de votre journĂ©e chargĂ©e pour aider votre corps Ă  transpirer en vous dĂ©tendant dans un bain Ă  vapeur ou un accĂ©lĂ©rera le processus de dĂ©sintoxication. N’oubliez pas que vous devrez boire plus d’eau pour remplacer ce que vous perdez de transpiration!

LISTEDES MEDECINS AGREES POUR DISPENSER DES VISITES MEDICALES LIEES AU PERMIS DE CONDUIRE DANS LES LOCAUX DE LEUR CABINET DE MEDECINE LIBERAL ( mise Ă  jour le 25 FĂ©vrier 2013) Arrondissement de ChĂąlons-en-Champagne Docteur Richard Bianchi 6, rue Carnot 51000 – ChĂąlons-en-Champagne 03 26 68 31 63 Docteur Jean Pierre Godet 60 avenue des
Saviez-vous que l'ail, en plus de nous aider Ă  amĂ©liorer la circulation sanguine, possĂšde des propriĂ©tĂ©s dĂ©puratives ? Ses composants contribuent Ă  l'Ă©limination de tout type de toxines lorsque nous le avez souvent entendu parler des effets nĂ©gatifs des mĂ©taux lourds, mais vous ne savez pas trĂšs bien ce que c’est ? Etes-vous touchĂ© ? Sont-ils si nocifs ? Comment les prĂ©venir ?Dans cet article, nous allons Ă©clairer tous vos doutes pour que vous puissiez traiter naturellement les diffĂ©rents problĂšmes de santĂ© que peuvent occasionner les mĂ©taux lourds, Ă  l’aide d’aliments et de supplĂ©ments naturels comme la chlorella, la coriandre, l’ail et le qu’un mĂ©tal lourd ?Les mĂ©taux lourds sont des Ă©lĂ©ments chimiques qui, de maniĂšre plus ou moins forte, font partie de la structure de tout ce qui nous entoure, de la croĂ»te terrestre jusqu’à notre organisme le cuivre, le fer, le cobalt, le manganĂšse, le zinc, l’aluminium, le plomb, l’arsenic, problĂšmes peuvent survenir lorsqu’ils s’accumulent dans notre corps et qu’ils nous empoisonnent petit Ă  petit. De mĂȘme que, si ces mĂ©taux sont relĂąchĂ©s sous certaines formes dans l’atmosphĂšre, ils peuvent y rester durant des impactent-ils notre organisme ?Les mĂ©taux lourds sont trĂšs difficiles Ă  Ă©liminer de notre corps, et ils s’y accumulent au fil du temps, nous exposant de plus en plus Ă  leurs effets l’AntiquitĂ©, les mĂ©decins de GrĂšce et de l’Empire romain ont rĂ©pertoriĂ© les symptĂŽmes de l’exposition aux mĂ©taux lourds. Voici quelques exemples parmi les consĂ©quences que celle-ci peut provoquer Cancer Maladies du rein Maladies du foie Retards de croissance Autisme Maladies auto-immunes Maladies articulaires AltĂ©rations du systĂšme nerveux Pathologies neurodĂ©gĂ©nĂ©ratives comme les maladies de Parkinson ou d’Alzheimer Troubles endocriniens Anomalies de grossesse Allergies Les consĂ©quences que nous pouvons voir dans cette liste sont suffisamment graves pour commencer dĂšs maintenant Ă  nettoyer notre corps des mĂ©taux pĂ©nĂštrent-ils dans notre corps ?Les mĂ©taux lourds se trouvent sous diffĂ©rentes formes dans notre environnement. Voici une liste des plus communes Tuyaux de plomberie Poisson bleu de grande taille comme le saumon, le thon ou l’espadon ThermomĂštres au mercure lorsqu’ils cassent Ampoules basse consommation lorsqu’elles cassent Ustensiles de cuisine en aluminium ou Ă  base d’autres mĂ©taux lourds Vaccins Pesticides Produits d’hygiĂšne et cosmĂ©tiques conventionnels Gaz d’échappement Tabac Additifs alimentaires MĂ©dicaments Eaux issues de mines ou d’industrie et autres eaux non traitĂ©es Amalgames dentaires au mercure Comment Ă©liminer les mĂ©taux lourds ?Le traitement naturel pour Ă©liminer les mĂ©taux lourds se base sur les supplĂ©ments naturels que nous allons vous indiquer, qui dĂ©tiennent des propriĂ©tĂ©s chĂ©latantes, c’est-Ă -dire qu’ils s’unissent aux mĂ©taux lourds et les chassent en dehors de notre ont l’avantage de ne pas provoquer d’effets secondaires comme certains mĂ©dicaments L’algue chlorella cette algue a un effet dĂ©toxifiant trĂšs puissant, qui s’utilise contre tous types de substances nocives, pas seulement les mĂ©taux lourds, car elle a une forte teneur en chlorophylle. Elle est l’ingrĂ©dient idĂ©al pour ce type de traitement. La coriandre Coriandrum sativum cette herbe a toujours Ă©tĂ© utilisĂ©e comme un condiment. Mais, en plus de ses propriĂ©tĂ©s chĂ©latantes, elle contient une grande concentration de vitamines, surtout les vitamines A et K, et dans une moindre mesures les vitamines B, C et E. L’ail cet aliment mĂ©dicinal, recommandĂ© pour soigner beaucoup de maladies, est Ă©galement trĂšs utile pour ce type de traitement. Ses composĂ©s dĂ©puratifs aident Ă  chasser tous types de toxines en dehors de notre organisme. Pour vous maintenir en bonne santĂ© aprĂšs ce traitement, vous pourrez toujours essayer la fameuse cure tibĂ©taine Ă  l’ail. Le magnĂ©sium ce minĂ©ral n’a pas de propriĂ©tĂ©s chĂ©latantes, mais il est trĂšs utile pour Ă©liminer les Ă©lĂ©ments toxiques prĂ©sents dans notre corps. Prise du traitementCes aliments et supplĂ©ments doivent ĂȘtre pris quotidiennement, sous forme d’extraits naturels ou de comprimĂ©s, en suivant la posologie maximale recommandĂ©e dans ce cas, et pendant au moins trois le traitement, il est possible que certains symptĂŽmes de dĂ©sintoxication se prĂ©sentent douleurs, acnĂ©, diarrhĂ©es. Mais, ils ne sont que la consĂ©quence de l’élimination des toxines par le devez le prendre en compte et ne pas arrĂȘter le traitement, et boire beaucoup d’eau entre les repas pour aider la rĂ©alisation du est Ă©galement trĂšs important d’éviter d’ĂȘtre constipĂ©, car il sera difficile pour votre corps d’évacuer les mĂ©taux et vous pourrez souffrir alors d’une est aussi recommandĂ© de rĂ©aliser ce traitement sous le suivi d’un mĂ©decin ou d’un thĂ©rapeute pourrait vous intĂ©resser ... Ala recherche des cadeaux idĂ©aux pour elle ? Outre le design raffinĂ©, ce produit est Ă©galement de haute qualitĂ© et Ă  un prix incroyablement bas. Si vous ĂȘtes Ă  la recherche de MĂ©taux Lourds De DĂ©sintoxication, celui-ci doit ĂȘtre le meilleur choix. D'autres articles sont aussi disponibles sur notre site Web. Venez donc jeter un coup d Elleest ainsi prĂ©conisĂ©e en tant que dĂ©puratif, hypotenseur, antiseptique, anthelminthique, effet amincissant et hypoglycĂ©miant, hypolipĂ©miant mais cette plante prĂ©sente Ă©galement un intĂ©rĂȘt dans les protocoles de dĂ©toxication aux mĂ©taux lourds en particulier pour son rĂŽle dans l’élimination du mercure, du cadmium et du plomb.
\n \n liste des médecins pour désintoxication des métaux lourds
Ontrouve des mĂ©taux lourds Ă©galement dans les vaccins ainsi que dans les adjuvants, certains additifs alimentaires, certains poissons (les gros surtout, comme citĂ© plus haut) pĂȘchĂ©s intensivement dans les mers dĂ©jĂ  polluĂ©es depuis des dĂ©cennies, les amalgames dentaires (plombages) et certains objets de la vie courante (thermomĂštres, piles Ă©lectriques,
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LachĂ©lation consiste Ă  utiliser des agents chĂ©lateurs pour « accrocher » les mĂ©taux lourds stockĂ©s au sein de l'organisme. Les agents chĂ©lateurs peuvent ĂȘtre naturels, comme certaines algues, mais aussi chimiques. Le DMSA fait partie de ces derniers. Il s’agit d’ acide dimercaptosuccinique : ses atomes de soufres vont crĂ©er des
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