LarmĂ©e de terre a lancĂ© ce samedi 12 septembre sa campagne de recrutement. Quelque 16 000 postes sont Ă  pourvoir dans 15 grands domaines d'activitĂ©, allant de l'infanterie Ă  l'informatique. Fin 2021, le chef d'Ă©tat-major des armĂ©es, le gĂ©nĂ©ral Thierry Burkhard, a prĂ©sentĂ© la nouvelle stratĂ©gie des armĂ©es françaises devant les dĂ©putĂ©s et les principales autoritĂ©s militaires. Parmi les sujets les plus mis en avant, on retrouve la cyberdĂ©fense mais aussi, de maniĂšre inĂ©dite, la lutte informationnelle ou cyber-influence. Dans un monde de plus en plus numĂ©risĂ©, les armĂ©es sont confrontĂ©es, mĂȘme en temps de paix, Ă  des cyber-attaques rĂ©guliĂšres, mais aussi Ă  des opĂ©rations de dĂ©sinformation et de contre-information qui viennent entraver ses opĂ©rations. Les moyens cyber au cƓur de la remontĂ©e en puissance des armĂ©es En France, comme ailleurs, les forces armĂ©es se prĂ©parent au retour des conflits de haute intensitĂ©. Une partie substantielle des dĂ©clarations du gĂ©nĂ©ral Thierry Burkhard portait donc sur l’importance de l’entraĂźnement ou la modernisation des Ă©quipements. NĂ©anmoins, ce retour des conflits de haute intensitĂ© ne fait pas disparaĂźtre les conflits asymĂ©triques, gĂ©nĂ©ralement orientĂ©s autour de la lutte contre les groupes terroristes. Dans les deux cas de figure, les enjeux cyber sont au cƓur des prĂ©occupations de l’état-major des armĂ©es. La lutte informationnelle, le renseignement et les opĂ©rations dans le cyberespace vont monopoliser le gros des efforts de recrutement sur l’annĂ©e 2022, puisque prĂšs de 370 postes sur les 450 crĂ©ations d’emplois prĂ©vues au MinistĂšre des ArmĂ©es devraient concerner ces domaines. En tout, le MinistĂšre devrait compter 5000 cybercombattants en 2025. Le Commandement de la cyberdĂ©fense L’objectif affichĂ© est de renforcer les effectifs de la cyberdĂ©fense afin d’intĂ©grer encore mieux les capacitĂ©s cyber au sein des forces conventionnelles. Dans l’approche française, la cyberdĂ©fense dĂ©pend du COMCYBER, un commandement de la cyberdĂ©fense créé en 2016 en rĂ©action Ă  l'ingĂ©rence russe dans les Ă©lections amĂ©ricaines. Ce commandement est directement rattachĂ© au chef d’état-major des armĂ©es et opĂšre au profit des diffĂ©rentes opĂ©rations militaires nationales, qu’elles impliquent des unitĂ©s de l’ArmĂ©e de Terre, de la Marine ou de l’ArmĂ©e de l’Air et de l’Espace . A noter que si le COMCYBER s'occupe de la stratĂ©gie cyber globale, de nombreux spĂ©cialistes du cyber sont dĂ©ployĂ©s au sein des unitĂ©s opĂ©rationnelles pour les applications tactiques de la cybersĂ©curitĂ©. Globalement, le COMCYBER a la responsabilitĂ© de la lutte informatique dĂ©fensive LID et assure une posture permanente de cyberdĂ©fense PPC, autrement dit une surveillance et une protection de tous les rĂ©seaux du MinistĂšre des ArmĂ©es. Depuis 2019 , lors de l'inauguration du nouveau siĂšge du COMCYBER Ă  Rennes, la Ministre Florence Parly a aussi confirmĂ© que la France est dotĂ©e de moyens de lutte informatique offensive LIO, notamment pour soutenir le dĂ©ploiement de forces conventionnelles. Mais le COMCYBER joue Ă©galement un rĂŽle plus vaste dans la protection cyber civile, puisqu’il travaille en Ă©troite collaboration avec l’agence civile ANSSI, l’Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d’information, et avec l'ensemble des services de renseignement du pays. La cyberdĂ©fense, qu’est-ce que c’est ? Il faut dire que le sujet de la cyberdĂ©fense est particuliĂšrement complexe. Loin de constituer un quatriĂšme milieu de combat venant s’ajouter aux combats terrestre, naval et aĂ©rien, le cyberespace est un domaine transverse qui alimente toutes les branches des forces armĂ©es, mais aussi de la sociĂ©tĂ© civile que les armĂ©es doivent dĂ©fendre. De fait, la cyberdĂ©fense prend diffĂ©rents visages, selon le contexte et l’interlocuteur. Pour les spĂ©cialistes du renseignement, la cyberdĂ©fense consiste Ă  rĂ©cupĂ©rer et Ă  traiter des donnĂ©es sur les ennemis potentiels afin d’empĂȘcher toute attaque ou opĂ©ration d’influence. Pour les spĂ©cialistes de l’IT, la cyberdĂ©fense consiste Ă  protĂ©ger les systĂšmes et terminaux informatiques de toute intrusion, qu’il s’agisse d’une attaque dirigĂ©e ou d’un virus alĂ©atoire. Les spĂ©cialistes de la guerre Ă©lectronique chercheront surtout Ă  protĂ©ger les communications devenues de plus en plus numĂ©riques, mais pourront aussi dĂ©velopper des systĂšmes offensifs destinĂ©s Ă  dĂ©sorienter l’équipement numĂ©rique adverse. A ces domaines relativement classiques de la cyberdĂ©fense s’ajoute dĂ©sormais la lutte contre les opĂ©rations d’influence, autrement dit de propagande et de dĂ©sinformation, principalement sur les rĂ©seaux sociaux. Avec son COMCYBER reliĂ© directement aux plus hautes autoritĂ©s militaires, la France a orientĂ© sa cyberdĂ©fense vers une approche opĂ©rationnelle, avec des moyens globaux dĂ©ployĂ©s pour accompagner chaque opĂ©ration militaire. Dans ce contexte, les opĂ©rations numĂ©riques d’influence font partie, depuis plus de 10 ans, des missions du COMCYBER. Cela se fait, bien entendu, sans nĂ©gliger les impĂ©ratifs liĂ©s au renseignement, Ă  la sĂ©curitĂ© des systĂšmes informatiques ou encore Ă  la guerre Ă©lectronique, qui sont pris en compte Ă  tous les Ă©chelons. La lutte informationnelle, une nouvelle forme de combat ? Le thĂ©oricien militaire du XIXe siĂšcle Carl von Clausewitz disait que la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens ». Autrement dit, la guerre poursuit avant tout un objectif politique, plus gĂ©nĂ©ralement gĂ©opolitique. Il peut s’agir de protĂ©ger ses intĂ©rĂȘts nationaux, imposer sa vision politique du monde ou bien Ă©tendre sa sphĂšre d’influence. Toutefois, pour un Etat, la guerre a toujours un coĂ»t Ă©norme, Ă  la fois sur le plan financier, humain ou mĂȘme politique. DĂšs lors, il est toujours intĂ©ressant de tenter d’étendre sa sphĂšre d’influence sans combattre, mĂȘme si cela doit se faire au dĂ©triment d’autres nations et de leurs intĂ©rĂȘts. Et c’est justement ce que permettent dĂ©sormais de faire les rĂ©seaux sociaux. Certains pays, comme la Russie mais aussi la Turquie ou la Chine, ont directement intĂ©grĂ© ces manƓuvres de dĂ©sinformation et de propagandes dans leurs stratĂ©gies nationales, finançant des usines Ă  trolls destinĂ©es Ă  interfĂ©rer avec la vie politique d’un autre pays, Ă  dĂ©nigrer les opĂ©rations militaires ou humanitaires d’autres nations, ou Ă  promouvoir leurs propres intĂ©rĂȘts. On notera d’ailleurs que ces offensives informationnelles peuvent servir de prĂ©alable Ă  de vĂ©ritables opĂ©rations militaires, et qu’il ne s’agit donc pas forcĂ©ment d’une forme de guerre sans victime ». Lutte contre le terrorisme le terrain privilĂ©giĂ© de la cyber-influence Ces derniĂšres annĂ©es, les exemples ne manquent pas. Si l’ingĂ©rence russe dans les deux derniĂšres campagnes prĂ©sidentielles amĂ©ricaines a Ă©tĂ© au cƓur de nombreuses polĂ©miques, la France a Ă©galement Ă©tĂ© la cible de telles manƓuvres, avec notamment des tentatives d'intrusion dans les boĂźtes mails de cadres du ministĂšres des armĂ©es, fin 2017. En 2019, la force Barkhane dĂ©ployĂ©e au Sahel a aussi Ă©tĂ© la cible de campagnes de dĂ©sinformations ciblĂ©es qui venaient inventer des frappes aĂ©riennes dans des villes pourtant indemnes, afin d’alimenter le sentiment anti-Barkhane. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les actions françaises mais aussi amĂ©ricaines en Afrique ont Ă©tĂ© systĂ©matiquement et massivement dĂ©crĂ©dibilisĂ©es via la crĂ©ation de nombreux faux comptes et la propagation de fake-news. Des ingĂ©rences dans des campagnes Ă©lectorales, notamment Ă  Madagascar et au Mozambique, ont aussi Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es. Au point que Facebook lui-mĂȘme, fin 2019, annonce avoir dĂ©jouĂ© une gigantesque campagne de dĂ©sinformation pro-Russie sur tout le continent africain. Si ces actions se prĂ©sentent gĂ©nĂ©ralement comme des campagnes anticolonialistes, elles visent pourtant moins Ă  Ă©loigner les troupes françaises et amĂ©ricaines qu’à les remplacer par
 des mercenaires russes . Bien Ă©videmment, la lutte informationnelle implique de rendre les coups numĂ©riques ». En juillet 2020, le COMCYBER dĂ©taillait ainsi ses actions offensives dans le cyberespace, menĂ©es en collaboration avec le MinistĂšre de l'IntĂ©rieur contre les activitĂ©s de Daesh Nous avons notamment ciblĂ© tout leur appareil de propagande, identifiĂ© oĂč Ă©taient localisĂ©s les serveurs, pĂ©nĂ©trĂ© ces serveurs, effacĂ© les donnĂ©es, et bloquĂ© ces serveurs pour que la propagande ne puisse plus ĂȘtre diffusĂ©e ». Le but est alors de dĂ©rĂ©fĂ©rencer un maximum de contenus de propagande terroriste afin d’empĂȘcher le recrutement de nouveaux combattants. Agir contre la dĂ©sinformation Plus gĂ©nĂ©ralement, les opĂ©rations de lutte contre les campagnes de dĂ©sinformation sont rĂ©alisĂ©es en coopĂ©ration avec les services de renseignements civils et militaires. Mais, dans le domaine militaire comme ailleurs, il est quasiment impossible de stopper une campagne de diffamation une fois qu’elle se rĂ©pand sur les rĂ©seaux sociaux. Le rĂŽle de la lutte informationnelle est alors d’identifier les commanditaires, de repĂ©rer les grands axes de manƓuvres numĂ©riques et d’anticiper les prochaines actions de l’adversaire. Toutefois, les rĂ©centes dĂ©clarations du gĂ©nĂ©ral Burkhard peuvent laisser penser que la France se prĂ©pare Ă  des moyens de riposte plus offensifs. Il pourrait s’agir, en premier lieu, de modifier la politique d’attribution de cyberattaques en dĂ©voilant publiquement les manƓuvres qui se jouent en sous-main. Si les dĂ©clarations du chef d’état-major des armĂ©es ne vont pas ouvertement dans ce sens, on a rĂ©cemment pu constater une inflexion de la politique de l’ANSSI dans ce domaine. Mais le but de cette rĂ©orientation de la cyber-stratĂ©gie pourrait ĂȘtre aussi d’augmenter substantiellement les moyens attribuĂ©s Ă  la lutte contre la cyber-influence. Sur le plan dĂ©fensif, l’utilisation d’IA optimisĂ©es pour l’analyse comportementale sur les rĂ©seaux sociaux pourrait permettre de dĂ©tecter plus rapidement les tentatives de manipulation. Une analyse automatisĂ©e permettrait dĂšs lors de faire des prĂ©visions et des estimations plus fines des campagnes d’influence numĂ©rique adverses. Il serait alors possible d’anticiper le type de menace, mais aussi ses zones d’action, son tempo opĂ©rationnel, ses modes opĂ©ratoires mais Ă©galement ses soutiens auprĂšs de la population locale. Vers des capacitĂ©s de cyber-influence offensives ? En dĂ©tectant au plus tĂŽt les premiers signaux faibles, il serait alors possible de dĂ©ployer rapidement une campagne de contre-influence , par exemple en noyant les fake-news sous d’autres flux de messages. Mais l’utilisation de telles mĂ©thodes viendrait brouiller considĂ©rablement la distinction entre moyens dĂ©fensifs et moyens offensifs. Cela conduirait Paris Ă  utiliser les mĂȘmes mĂ©thodes trolling intensif, propagande numĂ©rique, etc. que ses adversaires, ouvrant la voie Ă  encore plus de critiques sur les rĂ©seaux sociaux. Une telle rĂ©orientation de la stratĂ©gie de cyber-influence française serait assez surprenante. En effet, la stratĂ©gie militaire française, notamment dans le cadre des conflits asymĂ©triques, a toujours Ă©tĂ© d’éviter de dĂ©ployer des moyens offensifs pouvant prĂȘter le flanc aux campagnes de dĂ©sinformation adverses. C'est ce qui explique pourquoi la France a longtemps refusĂ© d'armer ses drones, ce qui ne l'a pas empĂȘchĂ©e d'ĂȘtre accusĂ©e d'assassinats ciblĂ©s mĂȘme lorsque c'Ă©tait matĂ©riellement impossible. Un mode d’action plus probable serait donc, dĂšs dĂ©tection des signaux faibles, de prĂ©venir les sphĂšres publiques locales, qui auraient Ă  charge de mettre en place une riposte numĂ©rique. DĂšs lors, la cyberdĂ©fense sort du seul domaine militaire, puisqu’une telle rĂ©action demanderait l’implication des services diplomatiques ou encore des services de renseignement. On imagine toutefois que le COMCYBER se rĂ©serve des possibilitĂ©s d’action, notamment dans le cadre de conflits de haute intensitĂ©, mais pas uniquement. Sans aller jusqu’à dĂ©velopper des usines Ă  troll françaises, les modes d’action potentiels ne manquent pas piratage et dĂ©sactivation de comptes trolls, brouillage et coupures de communications dans certaines zones, infiltration des rĂ©seaux de dĂ©sinformations par les services de renseignement, dĂ©sactivation de serveurs, etc. Cependant, on se doute bien que le chef d’état-major des armĂ©es et le COMCYBER ne feront pas l’étalage public de tous leurs moyens, ni aujourd’hui, ni demain. Secret dĂ©fense oblige.

Pasde soldats, pas d’armĂ©e ! Veuillez trouver la derniĂšre campagne de recrutement de l'ArmĂ©e de Terre en cliquant ici. Vivre. Visiter. Entreprendre. Les ateliers de la Seigneurie. NOUS CONTACTER. CommunautĂ© de communes. 57, rue de la Kirneck BP 40074 67142 Barr Cedex; 03 88 58 52 22; Ouvert le lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi de 08:30 Ă  12:00 et le lundi, mardi,

Avec des objectifs de recrutements Ă©levĂ©s, l’armĂ©e de Terre souhaite Ă©largir son vivier de candidats et de candidates. Si elle est l’une des armĂ©es les plus fĂ©minisĂ©e d’Europe, un grand nombre de jeunes femmes hĂ©sitent encore Ă  candidater Ă  des postes qu’elles pensent rĂ©server aux le cadre d’une enquĂȘte IFOP rĂ©alisĂ©e pour l’armĂ©e de Terre1l’environnement militaire trop strict 46% et la crainte d’échouer aux tests d’évaluation physique 38% seraient deux freins dĂ©clarĂ©s par les jeunes femmes interrogĂ©es. Deux idĂ©es reçues que l’armĂ©e de Terre souhaite continuer de combattre avec sa nouvelle campagne de communication de recrutement. Un dispositif qui s’insĂšre dans la campagne de recrutement menĂ©e depuis 2016 Cette campagne de recrutement, disponible Ă  partir du 11 mars, est composĂ©e de 3 films tournĂ©s en immersion auprĂšs de femmes qui ont des mĂ©tiers potentiellement inattendus au sein de l’armĂ©e de Terre pilote d’hĂ©licoptĂšre de combat, pompier aĂ©ronautique et commandant d’une compagnie. L’objectif dĂ©montrer que seule la volontĂ© de servir et de dĂ©fendre son pays est un critĂšre pour suivre un parcours professionnel sein de l’armĂ©e de Terre. Le ciblage publicitaire de ces films se fera uniquement en digital, avec un ciblage sur des femmes en Ăąge de postuler et qui montrent de l’appĂ©tence pour du sport ou des contenus sportifs. Une campagne display et un film "Ă©quitĂ©" diffusĂ© en janvier viennent complĂ©ter le sur l’égalitĂ© des chances et l’équitĂ©, ce dispositif vient complĂ©ter la campagne de recrutement dĂ©jĂ  imaginĂ©e par Insign et dĂ©ployĂ©e dans toute la France depuis 2016. Pour visionner les films de la campagne - Le portrait de Charlie, Pilote hĂ©licoptĂšre - Le portrait d’OcĂ©ane, Pompier aĂ©ronautique - Le portrait de Justine, Officier adjointTĂ©lĂ©charger le communiquĂ© de presse 1Étude IFOP rĂ©alisĂ©e pour l’armĂ©e de Terre du 7 au 14 novembre 2018 sur un Ă©chantillon de prĂšs de 1000 jeunes femmes

LarmĂ©e de terre recrute sur Corner Job. Soldats, mĂ©caniciens, cuisiniers. Sur Corner Job, les offres d’emploi dans l’armĂ©e de terre se multiplient. Le lieutenant-colonel Emmanuel Dosseur pilote cette campagne nationale de recrutement. Le lieutenant-colonel Emmanuel Dosseur pilote la campagne nationale de recrutement pour l’armĂ©e

LArmĂ©e de Terre lance son appel d’offres portant sur « la dĂ©finition d'une stratĂ©gie de communication dĂ©clinĂ©e en outils publicitaires, ainsi que leur adaptation pour la campagne de recrutement de l'armĂ©e de Terre 2016-2018 ». Le compte est jusqu’ici dĂ©tenu par TBWA Corporate qui sera vraisemblabl LarmĂ©e de terre a dĂ©voilĂ© hier sa nouvelle campagne de recrutement. Dix mille jeunes doivent ĂȘtre embauchĂ©s cette annĂ©e, 850 pour les unitĂ©s de la rĂ©gion.
Pourrecruter 16 000 soldats par an d'ici 2023, l'ArmĂ©e de Terre lance une nouvelle campagne de communication. GrĂące Ă  la Data et Ă  l'intelligence artificielle, les messages vont ĂȘtre personnalisĂ©s pour mieux cibler les candidats. Visuels de la campagne de recrutement 2020-2023. © ArmĂ©e de Terre
LarmĂ©e de terre vient de sortir deux nouveaux spots publicitaires trĂšs bien fait. L’armĂ©e de terre est l’un des premiers recruteurs de jeunes en France. L’objectif de cette campagne est pour 2007 le recrutement de 13 000 jeunes, non qualifiĂ©s Ă  bac +5, dans plus de 400 mĂ©tiers. Facebook Email WhatsApp Partager.
RSMA: Campagne de recrutement en cours. LINFO.RE – créé le 27.07.2020 Ă  10h30 – mis Ă  jour le 27.07.2020 Ă  12h39 - Marine Magnien
EndĂ©cembre 2019, l’agence INSIGN a Ă©tĂ© retenue pour dĂ©velopper la campagne de recrutement de l’armĂ©e de Terre pour les trois prochaines annĂ©es. Cette derniĂšre doit ĂȘtre officiellement dĂ©voilĂ©e ce 12 septembre, Ă  l’École militaire, par le gĂ©nĂ©ral Burkhard et en prĂ©sence de Florence Parly, la ministre des ArmĂ©es.
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