Lathérapie brève axée sur la recherche de solutions redonne à la personne la possibilité de trouver ses propres solutions en essayant de comprendre quels sont ses buts et en la soutenant afin qu'elle puisse accomplir ses objectifs. Les professionnels peuvent avoir une formation en thérapie brève axée sur la recherche de solutions, et peuvent travailler dans des
L’étude du travail d’Antoine Ouellette nous a montré comment l’objet auquel il s’est accroché enfant lui a permis d’orienter son rapport au monde. Il est alors très important d’être vigilant sur le terme que nous utilisons pour nommer ce lien à la musique. Certains parlent d’obsession, d’autres de passion, d’autres encore de lubies. Quant à nous, nous préférerons le terme d’îlots de compétence proposé par Maleval. La clinique de l’autisme nous indique en effet que l’intérêt que l’enfant porte à un objet n’est pas un hasard. Cet intérêt est à la fois un choix du sujet et le témoin du chemin tracé par la jouissance. De la même façon que nous supposons qu’il y a du sujet en devenir, nous accordons à l’objet autistique une potentialité d’évolution. Lorsque nous avons qualifié la modalité de jouissance de l’autiste de résonance pétrifiée, nous l’avons définie comme un enfermement dans un mouvement suspendu765. Nous avons alors précisé que ce mouvement suspendu est à la fois continu et atemporel, coupant le sujet autiste de l’Autre. Une autre dimension peut maintenant être abordée penser ce mouvement comme suspendu fait entendre qu’une reprise est possible. Nous soutiendrons alors que cette reprise est possible via l’objet. C’est ce que démontre l’Affinity therapy. L’Affinity therapy est une nouvelle approche thérapeutique dans le traitement de l’autisme préconisant la prise en compte de l’intérêt spécifique que peut manifester un enfant. Son originalité est d’avoir été conceptualisée par des parents, Ron et Cornellia Suskind, à partir de leur propre expérience avec leur fils Owen, atteint d’autisme et passionné par les dessins animés. Loin d’exposer une méthode, la réussite de ces parents est d’avoir su isoler la valeur logique de l’affinité de leur fils créer une ouverture dans son repli permettant d’établir un lien avec lui et d’entamer un travail thérapeutique. C’est ainsi qu’ils conceptualisent ce qu’ils nomment l’ Affinity therapy »766, une approche par ce qu’il y a de plus singulier chez chacun. 765 Cf infra La résonance », p. 109. 766 Un écho très fort de cette approche s’est fait entendre en France à l’Université de Rennes, où un colloque y a été consacré les 4 et 5 mars 2015, qui a permis la publication d’un ouvrage collectif sous la direction de Myriam Chérel-Perrin, maître de conférences à l’Université de Rennes 2 et responsable du Groupe Recherche 178 Nous sommes aux États-Unis, Ron et Cornelia Suskind sont les parents d’Owen, un enfant qui, selon leurs observations, se développe de façon tout à fait classique jusqu’à l’âge de trois ans. Ils observent alors un bouleversement dans le comportement et les attitudes de leur fils il se renferme progressivement sur lui-même et passe ses journées à regarder des dessins animés, essentiellement ceux de Walt Disney Owen est très perturbé. Il pleure, court en tous sens, s’arrête, pleure encore. Lorsqu’il se pose pour reprendre son souffle, il a le regard dans le vide. »767 Un diagnostic d’autisme régressif est alors posé par les professionnels consultés. Owen perd l’usage du langage et seul un mot reste présent juice ». Il est parfois prononcé juicervoice », vocalisation isolée et incompréhensible pour l’entourage. Un matin, alors que toute la famille est présente, Owen regarde pour la énième fois le dessin animé La petite sirène. Il s’agit d’un moment essentiel la mère, alors occupée à préparer le petit-déjeuner, entend de loin les dialogues du dessin animé et semble comprendre le juicervoice » jusque-là prononcé par son fils. Il s’agit de la scène où Ursulla, la sorcière méduse, demande à Ariel, la petite sirène, de lui céder sa voix just your voice ». La père écrit Cornelia murmure “Ce n’est pas jus’… - Qu’est-ce que tu dis ? - Ce n’est pas jus’, répète-t-elle [Cornelia]. C’est juste ta voix’ !” J’attrape Owen par les épaules. “Juste ta voix ! C’est ça que tu dis ?” Owen me regarde dans les yeux pour la première fois depuis presque un an “Juavoi ! Juavoi ! Juavoi ! - Owen reparle ! ” s’exclame Walter. »768 Les différents thérapeutes alors rencontrés préconisent d’empêcher Owen d’avoir accès à ces vidéos – pour éviter qu’il s’y enferme – ou de les utiliser comme renforçateurs positifs – s’il répond aux demandes, il pourra y avoir accès de façon limitée. Ron et Cornelia Suskind font un choix contraire. Ils décident de s’intéresser aux dessins-animés que regarde leur fils. Autisme Affinity therapy. Nouvelles recherches sur l’autisme, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, Rennes, 2015. 767 Suskind R., Une vie animée. Le destin inouï d’un enfant autiste, Paris, Édition Saint-Simon, 2017, p. 9. 768 179 Ils découvrent alors que celui-ci connaît par cœur des dizaines de dialogues de Walt-Disney. À partir de ce moment-là , ils prennent appui sur ce support pour entrer en communication avec Owen. Les membres de la famille empruntent la voix et les mots des différents personnages des dessins-animés et parviennent à communiquer avec le jeune garçon. Myriam Chérel-Perrin, commente joliment La famille, […] se transforme secrètement la nuit en personnages de Disney, chacun prenant la voix et les dialogues d’un des doubles d’Owen, afin de lui dire quelque chose »769. Mais ceci va plus loin, les dessins-animés ne seront pas seulement un moyen de communication pour Owen. Ron Suskind note que son fils fait de ces films des outils qui lui permettent d’appréhender le monde apprentissage de la lecture à partir des génériques de fin, traitement des affects grâce au choix de scènes spécifiques, décodage des relations sociales y compris des relations amoureuses à partir des intrigues liant les différents personnages dans les dessins-animés. [Owen] utilisait cet intérêt spécifique Affinity qui était le sien comme machine à décoder, pour déchiffrer les énigmes du monde qui l’entourait »770. Cet intérêt a constitué pour Owen un véritable outil thérapeutique, permettant d’entrer dans le langage, d’appréhender les relations sociales ou encore d’apprendre à lire. Conscient de ceci, Ron et Cornelia Suskind créent l’Affinity therapy » la thérapie par affinité. Notons la pertinence du choix du nom donné à cette expérience qui met clairement l’accent non sur un éventuel effet thérapeutique des dessins-animés, mais sur la potentialité qui réside dans le centre d’intérêt de l’enfant via l’objet auquel il s’accroche. En effet, il est important d’indiquer qu’il ne s’agit pas de thérapie par le dessin-animé mais de thérapie par l’affinité, une affinité sélectionnée par l’enfant. Nous pouvons ici faire le lien avec le travail effectué par Antoine Ouellette à partir de son intérêt pour la musique et pour le chant des oiseaux constituant son affinité. C’est en ce sens que nous notons la pertinence du qualificatif proposé par Maleval il y a plusieurs années îlot de compétence »771. Si l’îlot est isolement, la compétence peut faire 769 Perrin M., Introduction », in Perrin M. s/dir, Affinity therapy…, op. cit., p. 17. 770 180 lien social. Pour cela, le savoir doit être situé du côté de l’enfant. La sélection d’un objet ou d’une affinité est alors à considérer comme un choix supposant du sujet en devenir. Ce choix, insondable décision de l’être772 nous indique le chemin qu’a emprunté la jouissance. L’objet est à la fois îlot et compétence qu’il convient de relier par la particule de pour qu’un traitement de la jouissance puisse être rendu possible. Éric Laurent indique qu’il s’agit dans les prises en charge de personnes autistes de mettre en circuit l’objet et de complexifier le bord773. C’est ce dont témoigne le parcours d’Owen. Il a pu sortir de son enfermement en opérant grâce à l’appui sur des partenaires au diapason de son invention, non seulement un traitement de l’objet voix - contraint par son refus structural de prendre une position d’énonciation - mais aussi et surtout, une façon d’aller dans le monde »774. Il s’agit donc d’un traitement de la dimension pulsionnelle opéré à partir de l’affinité de l’enfant. Penser que les centres d’intérêts des enfants, au-delà de l’autisme, relèvent de lubies serait une erreur. Au contraire, l’Affinity therapy pousse le clinicien à être à l’écoute de ce que l’enfant amène lors de ses séances pour le mettre au travail. Dès lors, que penser des ateliers thérapeutiques proposant un objet de médiation tout fait ? Une médiation prêt-à -porter, dont la logique, selon l’orientation donnée au travail, pourrait apparaître comme opposée à celle mise en exergue par l’Affinity therapy. C’est très différent les sujets qui ont un objet et qui le travaillent, et l’offre qu’on peut faire en institution d’un certain atelier à des enfants, à des jeunes ou à des adultes dont ce n’est pas a priori l’objet. »775 C’est en ce sens que nous proposons de qualifier certains ateliers de prêt-à -porter. Notre expérience institutionnelle nous permet de repérer que, dans de nombreux lieux de soin, des ateliers sont proposés depuis des années. Les intervenants s’y sont succédés Paul remplace Pierre qui est parti en formation, lui-même avait pris la suite de Jacques qui était parti à la retraite. Les enfants continuent à venir à l’atelier dont on suppose un 771 Maleval L’autiste et sa voix, op. cit., p. 171-220. 772 Lacan J., Propos sur la causalité psychique », op. cit., p. 177. 773 L’auteur élabore une clinique des circuits » in Laurent É., La bataille de l’autisme…, op. cit., p. 69. 774 Perrin M., Affinity therapy. Nouvelles recherches sur l’autisme, op. cit., p. 17. 775 Hody F., in Allard C., Bourlez F., Crame N., De Halleux B., Depelsenaire Y., Hertsens D., Hody F., Hourgardy F., 181 fonctionnement identique quel que soit l’intervenant. Pierre, Paul ou Jacques, considérés comme équivalents, répondent à une demande institutionnelle qui vise à faire fonctionner un rouage qui veut proposer un cadre immuable sous prétexte de stabilité. Quid de l’intérêt de l’enfant ? Quid du transfert ? Quid du désir du thérapeute ? Une pratique utilisant une médiation, si elle ne veut pas être un atelier pour tous mais une médiation pour chacun, se doit de prendre en compte ces trois dimensions essentielles. Appuyons-nous sur une séquence clinique de prise en charge en groupe pour approcher ces différents enjeux.
Installéessur le campus du Solbosch de l’ULB depuis 1958, les Presses Universitaires de Bruxelles sont nées d’une initiative commune de l’Union des Anciens Étudiants (UAE) et des Bureaux et Cercles d’étudiants qui voulaient faciliter l’accès aux études par l’impression des syllabus de cours et par la création d’une librairie dédiées aux étudiants.
Éditorial Les métamorphoses de la puberté Courtil en ligneS consacre ce numéro à l’adolescence, et plus précisément à ce qu’en dit la psychanalyse. Comme souvent quand… par Philippe Hellebois
InAffinity therapy. Nouvelles recherches sur l’autisme, M. Perrin-Chérel (dir), PUR, novembre 2015 - « La force d’une nomination ». In Affinity therapy. Nouvelles recherches sur l’autisme, M. Perrin-Chérel (dir), PUR, novembre 2015. Revues spécialisées - Affinity therapy : une sollicitation sur mesure, Accès Clinique hors les normes, revue de l’ACF-VLB, septembre 17 -
Sous son apparence moderne, faisant appel aux nouvelles technologies, ce colloque recycle en réalité une pratique psychanalytique. Affiche du Colloque de Rennes 2 , Autisme numérique et robotique. Quel partenaire privilégié au 21ème siècle? 7 et 8 novembre 2019. Université Rennes 2 – Campus Villejean. A droite il y a un fond de code binaire informatique en bleu et une main humaine touchant le doigt d’une main de robot. Au-delà de la psychanalyse et d’autres courants de psychologies fondés sur les croyances et les dogmes, il existe une psychologie, une psychopathologie qui vise une approche fondée sur les données probantes et la remise en question [1].Le 7 et 8 novembre l’université de Rennes 2 accueille un colloque sur l’autisme et robotique en promouvant l’affinity therapy. En 2015, le même colloque avait eu lieu. L’affinity therapy n’est pas juste la médiation par les centres d’intérêts comme les robots, c’est un énième recyclage de la psychanalyse appliqué aux une recherche sur les participants, il s’avère sans surprise que la majorité sont lacaniens de la lignée directe de Lacan ECF Ecole de la Cause Freudienne ou membres de l’Association Mondiale de Psychanalyse AMP L’ECF provient de Jacques Lacan, l’AMP a été fondé par son héritier en 92 en Argentine. C’est ainsi qu’au début des années 2000 des copies de l’ECF sont nées dans le monde [2].On voit dans le colloque que la majorité écrasante des intervenants n’est pas juste psychanalyste, mais psychanalyste lacaniens et orthodoxes ECF / AMP. Ce courant est dangereux pour les personnes autistes car il impose une vision dépassée par rapport à la conception de l’autisme par les personnes autistes et dans la science mondiale, plus généralement dans toute sa conception de la ses dehors modernes, l’association CLE Autistes affirme que ce colloque risque de faire croire aux étudiants qu’il s’agit de la vision internationale de l’autisme, et qu’il risque d’instrumentaliser des questions légitimes pour conserver les intérêts des psychanalystes dans le champ de l’autisme. Nous sommes preneurs de toute info fiable sur le colloque et de sa sommes prêt à revoir certaines affirmations énoncées ici si elles s’avéraient fausses. Lien vers les intervenants et leur descriptif Sources [1] [2]
LAffinity Therapy « ce n’est pas nouveau », disent-ils sur ces blogs, et la preuve que ça n’a rien à voir avec la psychanalyse, c’est que de l’Affinity Therapy nous en avons toujours fait. Cependant celle qu’ils croient faire n’est pas celle que nous préconisons. Elle ne consiste pas à adapter la méthode d’apprentissage en utilisant comme renforçateur telle ou telle
Affinitytherapy : nouvelles recherches sur l'autisme: L’approche cognitive de la psychose à l’épreuve de la clinique: Autisme et schizophrénie: El Autista y su voz: Autiste et sa voix "A child is being killed" : from the clinic of child abuse to the structure of phantasy." Une cisaille qui vient à l'âme " : TOC, symptôme obsessionnel ou névrose de contrainte ? Clinical parameters
Doll thérapie / La thérapie par poupées La démence se produit sous de nombreuses formes et la maladie d’Alzheimer est l’un des types de démence les plus courants de nos jours. Actuellement, il n’y a pas de remède définitif contre la démence ou la maladie d’Alzheimer, mais les experts ne cessent pas de chercher de nouvelles façons d’améliorer la vie des patients atteints de démence. L’une des méthodes les plus récentes que certains foyers de soins ou thérapeutes utilisent est la doll thérapie ou la thérapie par poupées». La thérapie par poupées consiste à offrir des poupées aux patients atteints de démence, afin de les aider à se calmer et à améliorer leur communication et interaction avec les autres. Les thérapeutes qui utilisent ce type de thérapie ont tenté d’adopter la théorie de l’attachement de Bowlby, selon laquelle un fort attachement émotionnel et physique à une personne joue un rôle important pour son développement. Avec l’utilisation des poupées, les thérapeutes espèrent qu’un patient atteint de démence formera un lien bénéfique pour faire face à sa condition. Bien qu’il n’y ait pas beaucoup d’études pouvant prouver que la doll thérapie est effectivement efficace, certaines recherches ont été menées pour confirmer son efficacité. Dans une étude publiée dans le National Center for Biotechnology Information, les chercheurs ont constaté des changements importants lors de l’utilisation de la thérapie par poupées. Ils ont déclaré ce qui suit Il semble que l’expérience émotionnelle de la doll therapy favorise l’amélioration de la capacité de communication avec le monde environnant qui persiste avec le temps et qui est cliniquement significative ». De plus, de nombreux hospices pratiquent la thérapie par poupées, ce qui confirme son efficacité. En outre, il existe de nombreuses vidéos sur la toile montrant la façon dont différentes personnes atteintes de démence réagissent positivement lorsqu’elles sont attachées à leurs poupées. Veronica Mckee est l’une des patientes atteintes de démence. Sa petite-fille, Kirsty Ashton, était prête à tout pour que sa grand-mère se sente mieux, c’est ainsi qu’elle a essayé la thérapie par poupées pour l’aider. La vidéo émouvante montrant à quel point l’amour de Veronica pour la poupée qu’elle pensait être Kirsty vous fera pleurer. [Voir la vidéo ci-dessous.] La thérapeute holistique Ruth Ablett a souligné qu’elle utilise cette méthode pour ses patients depuis plusieurs années et qu’elle a été témoin du succès du traitement de la maladie d’Alzheimer et de la démence. De plus, elle a déclaré que la dépendance des patients aux médicaments psychotropes avait été réduite grâce à la thérapie. Selon la thérapie par poupée déclenche des sentiments de joie chez les patients car la poupée leurs rappelle les bons souvenirs de prendre soin d’un bébé. Certaines familles des patients s’opposent à l’utilisation de la doll therapy chez leurs proches atteints de démence, affirmant que cette méthode est dévalorisante» envers les patients qui sont traités comme des enfants. Pour cette raison, la thérapie par poupée et la câlinothérapie ne sont pas utilisées au niveau de tous les foyers de soins. Bien que l’on puisse comprendre pourquoi de nombreuses personnes mettent en question l’utilisation de poupées pour aider les personnes atteintes de démence en raison du manque de preuves scientifiques solides qui soutiennent son efficacité, il est également évident que certaines personnes y croient et essaient toutes sortes de thérapie pour aider leurs proches atteints de la maladie d’Alzheimer ou de démence à se sentir heureux même pour une courte période de temps, même s’ils oublieraient tout demain, à l’instar de Kirsty, qui a tenté sa chance avec sa grand-mère Veronica. Il n’est pas inutile de déployer des efforts pour une personne que vous chérissez, mais vous devez tenir à l’esprit que la thérapie par poupée n’est pas efficace pour tout le monde. Il y a certains points que vous devriez prendre en considération si vous voulez essayer cette thérapie avec l’un de vos proches avant tout, vous ne devriez jamais forcer le patient à toucher la poupée – au contraire laissez-le s’approcher de la poupée tout seul et observez sa réaction. Deuxièmement, il est déconseillé d’utiliser une poupée qui pleure pour ne pas provoquer ou déstabiliser le patient. Troisièmement, ne vous référez pas à la poupée comme une poupée – notamment lorsque le patient a déjà établi un lien avec elle; cela pourrait nuire à ses sentiments. Depuis que Kirsty a partagé les effets positifs de la thérapie sur sa grand-mère, de nombreuses personnes ont été inspirées et heureuses d’avoir appris la thérapie par poupée. Des dons ont également été faits au foyer de soins qui s’occupe de Veronica. Si cet article vous a inspiré, n’hésitez pas à le partager ! Sources et références Traduit et adapté par 3h0Cw.