Commentmotiver mon ado à faire ses devoirs? 8 pistes pour débloquer la motivation des ados. Poursuivre ses rêves. Se faire plaisir. Se faire confiance. Prendre conscience de ses forces. Développer l’autonomie d’apprentissage. Définir des objectifs. Adopter la “méthode des petits pas” Comment aider un adolescent à se concentrer? 5 conseils pour aider votre Voilà la fin d’après-midi arrivée, l’heure fatidique des devoirs a sonné ! Moment de conflit à venir ? Allez-vous réussir à motiver votre enfant ? Ce temps des devoirs est de plus en plus redouté par les parents. Nous allons voir ici comment la pédagogie positive peut changer la corvée des devoirs en un moment de plaisir. C’est parti ! 1. Créer des routines La base de la pédagogie positive se caractérise par l’axe tête-coeur-corps. Ces trois éléments sont essentiels dans l’apprentissage des connaissances. L’équilibre entre les trois est nécessaire afin de favoriser une énergie positive. Cette énergie se crée plus facilement en mettant en place des rituels avec votre enfant ou votre adolescent. Cela lui permet de mieux appréhender le moment des devoirs et de se repérer dans le temps. Analyser ses émotions Les émotions ont un rôle déterminant dans l’apprentissage. Elles favorisent les capacités de mémorisation, de concentration et d’attention. Avant de commencer les devoirs, demandez par exemple à votre enfant comment il se sent. Laissez-le s’exprimer pour savoir dans quel état d’esprit il se trouve. Ce critère est très important pour la séance qui va suivre. Si votre enfant se sent mal, qu’il est de mauvaise humeur ou dans un état d’esprit négatif, il faudra peut-être décaler un peu le moment des devoirs. Préparer son corps Appliquer la pédagogie positive pour faire ses devoirs, c’est aussi savoir écouter son corps. Il procure de l’énergie, en ayant une bonne hygiène de vie et la canalise. Une fois les émotions analysées, il est bon de préparer le corps à cette séance de devoirs. Suivant les émotions ressenties par l’enfant, vous pouvez lui proposer des petits exercices de respiration ;cinq minutes de yoga ou d’étirements ;raconter deux petites histoires drôles ;ou même pousser un cri de guerre. Quelques étirements, exercices de respiration…ou une séance de câlins et voilà votre enfant prêt à passer aux devoirs ! Le but étant de se détendre. Votre enfant doit se sentir en harmonie avec son corps avant de commencer son travail. Il doit être relâché de toutes tensions. Le corps joue donc un rôle très important dans l’apprentissage. Ouvrir son esprit Le corps et les émotions étant prêts, passons à la tête. C’est avec elle que l’on apprend ! Commencez par lire les devoirs et faites le point avec votre enfant sur les exercices à faire. Demandez-lui son avis. Est-ce qu’il préfère commencer par un exercice en particulier ? Découpez les exercices, ne faites pas tout d’une traite. Amusez-vous en les listant et en les rayant au fur et à mesure. S’il veut les écrire sur des petits carrés découpés, s’il veut imager les devoirs en dessins, laissez-le faire. Cela facilitera sa compréhension et générera de la motivation. L’ampleur des devoirs ne doit pas faire peur à votre enfant. 2. Mettre en place un espace de travail sain C’est essentiel pour que votre enfant soit enthousiaste et motivé pour faire ses devoirs. Préparez-lui un endroit qu’il aime, où il se sent bien. La table de la salle à manger, un bureau dans sa chambre, sur la terrasse. Mettez tout le matériel dont il a besoin à portée de main. L’endroit doit être calme, sans télévision ou tablette à proximité. Les conditions doivent être optimales afin qu’il puisse être concentré sur ses exercices. Vous pouvez aussi choisir un endroit avec lui. S’il souhaite lire sa poésie dehors, alors allez-y. Vous pouvez également mettre des images ou des photos qu’il aime proches de son bureau. Plus les bases de la pédagogie positive sont réunies, plus votre enfant aura plaisir à faire ses devoirs. Il doit se sentir en confiance dans son espace de travail. Un bureau rangé et agréable incite à la concentration pendant les devoirs. C’est une composante de la pédagogie positive. 3. Instaurer le temps de travail et la prévision des tâches Pour que le passage aux devoirs ne soit pas vu comme une agression, prévoyez ce moment. Par exemple, instaurez le temps de travail à une heure précise de la journée. Une heure après l’école ou le samedi matin pendant le week-end. Ainsi, votre enfant pourra visualiser le programme à venir. Lorsque vous avez connaissance des tâches à l’avance, vous pouvez les noter sur un tableau par exemple ou sur un agenda lui appartenant qu’il pourra consulter, il se sentira ainsi valorisé par la même occasion. Il sera d’autant plus heureux de rayer la tâche une fois accomplie. Cela permet à votre enfant d’anticiper les devoirs à venir et de se projeter plus sereinement. Il gagnera en confiance. 4. Favoriser la pédagogie positive avec l’organisation des devoirs et la création Quand vous commencez la séance des devoirs essayez de laisser la place à votre enfant pour la découverte. Voyez avec lui comment il veut aborder ses leçons ou ses exercices. Il est important pour son autonomie et son apprentissage de le laisser découvrir la leçon par lui-même. Soyez présent s’il demande de l’aide bien sûr, mais faites-lui confiance. Posez-lui des questions ouvertes afin que le dialogue puisse s’installer et qu’il puisse s’ouvrir à la réflexion. Toujours l’encourager, le valoriser dans ses recherches. Utilisez un vocabulaire positif. Même si vous percevez que l’exercice est dur pour lui, encouragez-le à se corriger. Vous pouvez l’aider à développer sa créativité en créant des visuels pour les exercices, en ayant un petit cahier où il peut noter ses idées de réponses, des feutres spéciaux, etc. Le moment des devoirs doit rester un moment ludique. Demander à son enfant comment il veut faire ses devoirs, l’aider à planifier les tâches, autant de points qui rendront les devoirs plus fluides. 5. Faire un petit brief de fin amusant Une fois les devoirs terminés, vous pouvez aussi faire un point rapide avec votre enfant. Demandez-lui ce qu’il a aimé faire et les choses qu’il n’a pas aimées. Faites des comparaisons humoristiques. Cela lui permettra de récapituler les connaissances apprises. Sa mémoire en sera d’autant plus sollicitée. En analysant lui-même la séance des devoirs, il poursuit l’apprentissage et fait place à la création en reformulant les choses avec ses propres mots. Positivez cette séance. En mettant en place la pédagogie positive pour les devoirs, il est essentiel que votre enfant se sente mieux, qu’il progresse sereinement. Pour clore une séance de devoirs efficace, rien de tel que de célébrer cette petite victoire pour consolider la motivation ! Apprendre est une notion primordiale pour nos enfants. La notion de savoir doit être synonyme de plaisir. Plus les émotions sont positives, plus ils apprennent vite et mémorisent facilement. Ce circuit de positivité les aidera, les motivera à réussir et leur donnera le goût de l’apprentissage. N’oubliez donc pas cette notion de plaisir. C’est la clé ! Envie d’avoir plus de clés pour faciliter les devoirs ? Ces articles pourraient vous intéresser Le temps de devoirs quotidien Planifier ses Devoirs au Collège LE plan d’action Et si la Clé des Devoirs Sans Conflit était la Communication ? Merci à Sylvie pour cette contribution
2 Ne pas se fixer des objectifs inatteignables : Aidez votre ado à se fixer des objectifs gérables plutôt que des attentes écrasantes. Encouragez-le et félicitez-le à chaque étape franchie qui le rapproche de plus en plus de ses buts. Evitez les critiques qui ne font que rajouter du ressentiment et une pression supplémentaire inutiles.
Coaching personnalisé enfants, ados devoirs, organisation personnelle, développer leur autonomie Comment gérer l’école à la maison ? Gérer les devoirs d’enfants d’âges différents Comment aider votre enfant à faire ses devoirs ? A apprendre ses leçons ? A développer son autonomie car vous devez aussi faire votre télétravail ? Votre enfant a des difficultés pour se motiver, se concentrer, gérer la quantité de travail … En partenariat avec Marie Costa, je vous propose une offre d’accompagnement de votre enfant spéciale pendant le confinement. Trois séances en ligne avec votre enfant de 40 minutes Identifier et combattre ce qui t’empêche d’apprendre Découvrir comment t’organiser et devenir autonome Apprendre à apprendre selon tes capacités et tes intelligences Tarif spécial à 25 euros pour chaque séance d’accompagnement. Lidée va être de donner une méthode d’organisation de travail à votre enfant, en répartissant ses devoirs en petite tâche, de façon à ne pas le démotiver. Par exemple, mon fils l’année dernière pour ses évaluations d’histoire avait énormément de connaissances à apprendre. Aussi, je le voyais tourner ses pages de cahier et de livre avec un air désespéré sans Chaque fois c’est la même chose il faut se battre pour convaincre votre enfant de faire ses devoirs, et recourir à de plus en plus de stratagèmes. Ce manège vous fatigue et vous en avez marre d’entendre les éternels Je le ferai plus tard , Je n’en ai pas pour longtemps » ou autre Mais ce n’est que pour la semaine prochaine ! … Vous le savez c’est le dimanche soir vers 21h qu’il va choisir pour vous demander de l’aide sur son devoir maison de mathématiques ou sa dissertation de français. Et malgré votre amour pour les formules trigonométriques ou l’analyse des oeuvres de Rousseau, ce ne sont pas vos activités favorites du dimanche soir ! Alors comment rendre cette épreuve » moins fastidieuse ? Donnez du sens les devoirs, pour quoi faire ? Votre rôle ici est de taille lui montrer que les devoirs sont autre chose qu’une invention diabolique des professeurs pour torturer les élèves ! Ils sont là pour l’aider à intégrer ses leçons et à fixer ses acquis. C’est dans l’application qu’il peut réussir à mieux comprendre les aspects théoriques apportés durant les cours. C’est l’occasion également de creuser les sujets qui l’intéressent particulièrement, d’aller plus loin dans ces apprentissages. Vous pouvez aussi l’aider à prendre du recul faire ses devoirs régulièrement, c’est un investissement sur l’avenir. En s’y tenant régulièrement, il gagne du temps pour ses révisions futures et s’assure une régularité dans ses apprentissages. De plus, s’avancer dans ses devoirs lui permet de se libérer l’esprit pour ensuite avoir du temps libre dont il peut profiter sereinement. Faire des devoirs une partie de plaisir… mission possible ? Et si c’était possible de rendre les devoirs agréables ? C’est le pari que je vous propose de relever, en partenariat avec vos enfants. Comment ? L’idée ici est d’utiliser la motivation de votre enfant pour l’aider à prendre du plaisir à faire ses devoirs. Pour cela, vous pouvez réfléchir avec lui aux matières qu’il apprécie le plus, ou aux travaux qu’il préfère. Il y aura forcément quelque chose apprendre une poésie, préparer un exposé, faire un problème de maths, traduire un texte, etc. Une fois que vous avez identifié sa motivation, vous pouvez l’aider à appliquer cette motivation aux choses qu’il aime moins. Par exemple, s’il aime préparer des exposés, peut-être que cela signifie qu’il aime chercher par lui-même, creuser ses sujets, comprendre… Alors pour réviser une leçon, vous pouvez lui proposer de faire un mini-exposé » sur cette leçon. En l’accompagnant dans cette voie, vous l’aidez également à prendre conscience du plaisir qu’il peut trouver à travailler et de ses motivations… et donc de ses talents ! Et chez vous, les devoirs, ça se passe comment ? Partagez votre expérience en postant un commentaire ! Découvrez d’autres articles sur la famille, la psychologie de l’enfant, l’éducation dans notre rubrique EDUCATION & PSYCHO Marina Barreau – Fondatrice de CeQueJeVeuxFairePlusTard Passionnée par le développement des potentiels, elle commence ses études par un diplôme de Psychomotricité à la Pitié-Salpétrière. Elle rejoint ensuite l’entreprise où elle transpose sa passion au coeur du management. Elle devient coach de dirigeants au sein du cabinet Caminea qu’elle crée en 2009. C’est là qu’elle façonne le concept de Management sourire pour accompagner les dirigeants dans le développement de leur entreprise et leur développement personnel. Elle se rend compte que ces concepts sont également pertinents dans la relation maman, c’est au quotidien qu’elle en voit les bienfaits. C’est ainsi que naît CeQueJeVeuxFairePlusTard, où elle met son expérience au service des jeunes pour les aider à révéler leur talent et leur donner confiance en leur potentiel. En parallèle, elle conseille les parents sur son site Internet. La contacter mb Vous avez aimé cet article ou bien vous voulez réagir ?
Stagesde révision de Pâques: 5 cours de 02h00 sur une semaine voire 15 jours afin de revoir les notions essentielles du programme et ainsi éviter les baisses de niveau après les vacances. Nos 19 professeur(e)s sont à votre disposition du primaire au Bac+2. Cours Ado(micile) Sainte Maxime See more
Publié le 19/03/2015 à 1530, Mis à jour le 29/01/2020 à 0756 Beaucoup d'enfants seront stressés et moins intéressés par les études si leurs parents s'impliquent trop dans leur vie scolaire. Photo Getty Stupeur ! S'impliquer dans les études de ses enfants serait-il néfaste ? Selon plusieurs études, les aider à faire leurs devoirs pourrait être source de mauvais résultats et génèrerait du stress à l'encontre du système croit spontanément que les enfants réussissent mieux lorsque les parents sont activement impliqués dans leur scolarité. Cela ne serait pas forcément vrai. Deux études montrent en effet que les enfants aidés par leurs parents pour leurs devoirs ne feraient pas de meilleures études que ceux qui travaillent tout seuls. Au contraire. Dans leur livre La Boussole cassée, Keith Robinson, professeur de sociologie à l'université du Texas à Austin, et Angel L. Harris, professeur de sociologie à l'université Duke en Caroline du Nord, sont formels dès l'entrée au collège, aider ses enfants ferait chuter leurs résultats scolaires, peu importe la classe sociale, l'origine ethnique critère régulièrement pris en compte dans les études américaines et les diplômes des étude qui paraît difficile à croire. Pourtant, elle est confortée par des travaux du PISA le Programme international pour le suivi des acquis des élèves mis en place par l'OCDE datant de 2009 et de 2012. Les résultats montrent que les élèves davantage aidés par leurs parents pour faire leurs devoirs obtiennent, en moyenne, de moins bons résultats aux tests de compréhension écrite et d'interprétation des énoncés pas généraliserUn constat assez déboussolant pour les parents, qui auraient tendance à vouloir s'investir au quotidien dans les devoirs de leurs enfants. Des deux études ressort une conclusion quasi similaire un enfant autonome apprend plus vite, comprend les problèmes de manière personnelle et se construit lui-même une façon de travailler. Pour les enseignants, cette autonomie se met en place progressivement. " En primaire, il faut aider les enfants. Mais au fil des classes, il faut doucement commencer à les laisser travailler seuls ", estime Sophie, institutrice à Gennevilliers. Pour Julien, professeur de mathématiques au collège, " dès la 6e, les enfants doivent apprendre à se débrouiller par eux-mêmes, au moins en partie. Cela les aide à mieux comprendre les choses. C'est moins le cas si leurs parents sont toujours sur leur dos ".Cet apprentissage de l'autonomie est à appliquer avec discernement "Les élèves qui sont très bons ou ceux qui se débrouillent n'ont que très rarement besoin de l'aide de leurs parents, alors que ceux qui ont des difficultés à l'école doivent bénéficier d'un soutien parental ", estime le professeur de mathématiques. Autre raison de se rassurer " Ce qui nuit généralement aux élèves, c'est le suivi quotidien, strict et encadré des parents. Pas les petits coups de pouce de temps en temps", constate l'étude d'anxiétéPour le psychiatre François Janzi, spécialiste de l'adolescence et de l'éducation, "ce qui perturbe l'adolescent, c'est que le parent qui veut l'aider apporte un autre modèle que ce qu'il a appris à l'école. L'implication du parent, qui croit bien faire, tend souvent à brouiller les choses plutôt qu'à les éclaircir. En général, l'enfant n'ose pas le dire. Il dit "oui, oui, d'accord", alors qu'il n'a pas compris ". L'intervention des parents prend parfois des allures de confrontation entre deux autorités. D'un côté, l'école avec ses règles, et de l'autre, la famille. Ce mélange des genres peut troubler l'adolescent, qui a besoin que l'école et les parents soient bien dissociés ".Si les parents veulent aider leurs enfants, c'est évidemment pour les faire progresser, pour qu'ils réussissent à l'école et plus tard dans la vie, mais aussi parce qu'" ils ont des conceptions très personnelles de l'école et de la scolarité de leurs enfants ". Ils rejouent parfois leur enfance et projettent largement. "On sait toujours ce qu'il faut dire ou faire avec les enfants des autres. Mais pour les siens, c'est tout de suite les cris et l'angoisse dès qu'ils ont mal fait un exercice. Comme s'ils étaient foutus ", explique Astrid, mère de 2 adolescents. Les enfants sentent cette tension, parfois même la déception de leurs parents qui "ont une idée préconçue de la façon dont ils devraient travailler. Bien souvent, ils aimeraient qu'ils reproduisent leurs méthodes et leur parcours ", explique le psychiatre. Un comportement qui serait cause d'anxiété " Les enfants peuvent ressentir cet encadrement comme un manque de confiance, une surprotection. Cela peut profondément les stresser et mettre à mal leur envie d'apprendre, leur relation avec le système éducatif."Instaurer un dialogue régulierSi depuis des années vous consacrez votre énergie à accompagner l'apprentissage de vos enfants, rassurez-vous. Chaque enfant suit sa voie. Et la lecture à voix haute, les discussions sur la planification du travail ou sur le monde qui les entoure, la diversité professionnelle et sociale autour d'eux, tout cela leur est bénéfique, assurent les chercheurs. Enfin, pour lutter contre la déscolarisation, un dialogue régulier avec les professeurs est primordial. Et pour ceux qui s'inquiéteraient, " passer de temps en temps une tête pour voir si son enfant n'a pas besoin d'aide, cela ne fait pas de mal, rassure François Janzi. L'important, c'est d'être à l'écoute, et s'impliquer un peu trop vaut mieux que laisser l'enfant complètement seul ".À lire aussi Vouloir faire de ses enfants des petits génies est risquéÉlever son enfant ou reprendre le travail le dilemme des jeunes mamansComment donner confiance aux enfants sans les rendre narcissiques
ChangerSon État d Esprit comment motiver mon ado a etudier, La PNL comment motiver mon ado a etudier, Comment Motiver Quelqu Un comment motiver mon ado a etudier, Comment Convaincre En Entretien comment motiver mon ado a etudier, Leadership Training Courses For Managers comment motiver mon ado a etudier, Comment Motiver Les
Pour vous abonner à ma chaîne Youtube, cliquez ici Vous avez des ados si vous êtes sur cette vidéo et vous aimeriez les motiver. Ça tombe bien, c’est ce dont nous allons parler et je vais vous donner les 10 clefs pour motiver votre adolescent. -Première clef Arrêtez de lui parler de ses résultats scolaires ; franchement les parents, je vous invite à vous poser un instant, faites-le mettez en pause cette vidéo pour faire cet exercice tout de suite et posez-vous la question suivante combien de fois par jour je parle à mon ado de ses résultats, de ce qu’il a fait à l’école, des notes qu’il a eues, de ses devoirs, est-ce qu’ils sont faits ? etc…etc…. Franchement, s’il y avait quelqu’un derrière vous sans arrêt, vous n’en pourriez plus ! Mettez-vous en empathie, un peu à sa place, car il est temps de lui lâcher la grappe !!!! C’est contre-productif en fait ; les adolescents, et j’en côtoie beaucoup se plaignent beaucoup de ça ! Mes parents sont toujours derrière moi pour me parler de ma chambre, de mes notes, comme s’il n’y avait que ça qui les intéressaient » ! C’est très frustrant pour eux, alors, levez un peu le pied. Cela ne veut pas dire qu’il faille les lâcher totalement, mais levez un peu le pied, soyez honnête avec vous-même, réfléchissez un peu et essayez de voir quelles sont les discussions que vous avez, quand vous vous adressez à lui, de quoi lui parlez-vous ? –Deuxième clef Évitez de lui mettre la barre trop haute ! Les parents sont souvent très exigeants, ils veulent que leurs enfants aient au moins 14 ou 16 de moyenne ; c’est bien d’encourager son enfant, mais ne lui mettez pas la barre trop haute, s’il a 8 de moyenne et que vous exigez 14, c’est un peu difficile. Peut-être qu’au début, on peut demander d’atteindre 10. Pourquoi est-ce important de faire ça ? Parce que c’est la théorie des petits pas, ça marche pour les adultes et ça marche pour les enfants, et les ados aussi. Ce qui veut dire que pour être motivé, il faut que l’on voie des résultats or, si l’on part de loin et que l’objectif est trop élevé, trop ambitieux, vous savez ce que l’on fait ? On procrastine ! Et, votre ado, il procrastine parce que peut-être que l’attente des parents est trop ambitieuse. Ce que je vous invite à faire, c’est déjà d’apprendre une chose ; par exemple les mathématiques, parce que vous sentez que là, il y a des efforts qui pourraient être faits. Si votre enfant a 10 de moyenne pour le trimestre, demandez-lui quelle est la note qu’il peut obtenir ? C’est de lui donner à lui la parole plutôt que de vous fixer les choses pour lui. Il va peut-être vous dire qu’il pense pouvoir avoir 12. S’il vous dit 16 demandez-lui s’il pense vraiment qu’il peut y arriver ? Que vas-tu mettre en place pour passer de 10 à 12 s’il vous dit 12, ou de 10 à 16 » ? Votre ado va vous dire je vais faire ci, je vais faire ça et ça ». Super, ce qu’on va faire, on regarde dans un mois ce que cela donne ». Et là, s’il fait des efforts même s’il ne gagne qu’un point ou plus, ce sera valorisant pour lui et vous pourrez lui dire c’est génial, tu vois, tes efforts ont payé » ! Ça, c’est vraiment fondamental croyez-moi, et une fois encore, c’est vrai pour les adultes et les ados également. Vous imaginez, vous, que votre patron fixe des objectifs inatteignables, vous vous décourageriez, vous ne feriez pas les efforts, par découragement et parce que vous êtes submergé par l’ampleur de la tâche. Vous n’essayez donc même pas ! -Troisième clef Valorisez les succès plus que les échecs ! Ce n’est pas ce que l’on fait la plupart du temps, ni à l’école ni dans la vie, parce que c’est comme cela qu’on nous a éduqués, mais cela ne marche pas ! Qu’on se le dise ça ne marche pas !!!! Plein d’études ont été faites sur le sujet, qui prouvent qu’un enfant que l’on valorise, que l’on encourage, aura de meilleurs résultats qu’un enfant à qui l’on pointe du doigt que ce qui ne va pas. Ce n’est pas parce que vous allez le punir, que vous allez lui enlever sa Play station, que vous allez l’empêcher de sortir, confisquer le téléphone et autres, qu’il va mieux travailler ! Il va mieux travailler quand il va voir de la joie chez vous parce qu’il aura envie de vous voir heureux. Ne pensez pas que vos enfants et vos ados sont insensibles à votre regard sur eux ; même s’ils ne vous le montrent pas. Tous les êtres humains aiment être valorisés. Plus vous allez le valoriser, plus il va avoir envie de vous satisfaire et de vous plaire. Ça mettra peut-être un petit peu de temps, mais je vous assure que si vous persévérez, ça marche ! -Quatrième clef Relativisez les mauvaises notes ! Souvent vous zoomez sur tout ce qui ne va pas et vous occultez tout ce qui va bien ! Alors peut-être que tout ce qui va bien, c’est le dessin, l’éducation physique et sportive. Et alors, c’est vachement bien non ? Il est bon quelque part, ce n’est pas anodin même si dans nos sociétés on dévalorise certaines matières, moi, je ne suis pas d’accord avec ça, pas du tout ! Heureusement que Picasso était bon en dessin sinon il n’aurait jamais été Picasso. Imaginez que le père de Picasso lui ait dit non, non, il faut te concentrer sur tes mathématiques ». Vous allez me dire oui, mais c’était Picasso ! Oui, mais quand il était petit, on ne le savait pas ! On ne peut jamais savoir ce que va donner un enfant. Il n’y a pas très longtemps j’ai vu une émission que j’aime bien et que l’on regarde avec mes enfants, où l’un des candidats disait quand j’avais 3 ans, j’étais un rêveur et l’on m’avait condamné et l’on pensait que l’on ne ferait rien de moi », et cela a été comme ça toute sa scolarité alors qu’en fait, ce jeune homme excelle dans une discipline et je pense même qu’il va aller très, très, loin ; pour ses parents cela a été très dur, mais pour lui aussi, car, on lui avait collé l’étiquette de l’échec assuré. Non, nous avons tous une voie à prendre, nous avons tous des qualités, des choses que l’on sait faire mieux que personne, c’est pourquoi il est important de valoriser ça, sinon, vous entachez l’estime et la confiance que votre enfant aura de lui-même et cela va empêcher qu’il puisse s’ouvrir et s’épanouir. -Cinquième clef Renforcer sa confiance en lui ! Pour cela, ça va reprendre un peu tout ce que je viens de dire, c’est-à-dire, minimiser les mauvaises notes. Quand il a une mauvaise note, au lieu de dire ah ben voilà, encore une fois, tu n’as rien foutu, j’en étais sûr, comment veux-tu avoir mieux avec ce que tu fais ? La journée sur ton téléphone, tu ne fais rien » ! Dites-lui plutôt que s’est-il passé à ton avis » ? L’enfant sait qu’il n’a pas bossé, soyez-en sûr, c’est rare un vrai plantage, ça peut arriver, mais en principe, l’enfant sait qu’il n’a pas travaillé. C’est donc de lui dire qu’en penses-tu » ? C’est important ça aussi, on ne leur demande jamais ce qu’ils en pensent, on croit qu’ils sont contents d’avoir de mauvaises notes, mais non. Cela ne vous arrive pas à vous de procrastiner, d’avoir 10 % de pénalités parce que vous n’avez pas fait votre déclaration d’impôts à temps ? Franchement, cela nous est tous arrivé non ? Ce n’est pas pour ça que l’on a un poil dans la main et que nous ne sommes pas de bonnes personnes ! C’est sûr que de temps en temps de passer du temps sur sa console de jeux ou sur son téléphone, c’est plus fun que d’apprendre ses mathématiques, par exemple Histoire-géo ou autres. C’est plus séduisant de faire ça. Il peut y avoir un laisser-aller, mais plus vous allez accueillir ça avec indulgence et plus il va avoir envie, peut-être, de se mettre au boulot. En tout cas, il sera plus gêné quand il ne le fera pas, parce qu’il ne se sentira pas jugé, mais au contraire, encouragé. N’oubliez pas que la valorisation est un moteur pour l’être humain ! -Sixième clef Ne le comparez pas ! Ni à ses copains, ni à son frère, ni à sa sœur, ni à vous ! Malheureusement, c’est quelque chose que l’on fait par automatismes, on ne s’en rend pas compte, on reproduit des choses de son passé, je vous le dis souvent dans mes vidéos, c’est peut-être de cette manière que vos parents ont agi avec vous, et peut-être avez-vous enregistré que c’était un moteur pour vous. Peut-être ; parfois, la colère, par exemple, peut être transformée en quelque chose de revanchard du style ils n’ont pas cru en moi, eh bien, je vais leur montrer que je suis capable ! Hélas dans la majorité des cas, cela casse un peu l’élan de l’enfant et surtout, il se sent le vilain petit canard. Et, encore une fois, on met la barre un peu trop haute. Nul ne mérite d’être comparé parce que personne n’est comparable, tout le monde est unique et votre enfant a, forcément, des talents, des capacités et des compétences que le frère, la sœur ou vous-même n’avez pas. Alors, mettez l’accent sur ce qu’il a de bien, et mettez un couvercle sur ce qui va moins bien, mais surtout, évitez la comparaison et les discours du style moi, à ton âge, ton frère, lui, regarde un peu ton copain…. » Ça fait mal d’être comparé ! Essayez de vous souvenir et de revenir un peu dans le passé, vous allez voir. Ou bien, imaginez que votre mari ou votre épouse, vous comparent à votre copain, à votre frère ou votre sœur, à ses parents ? Honnêtement, la comparaison, ce n’est agréable pour personne, que l’on soit ado ou adulte ! -Septième clef Encouragez-le ! Vous voulez vraiment qu’il se dépasse ? Eh bien, vous allez l’encourager. Il ne ramène que des zéros ? Vous allez continuer à croire en lui. Il ne croit pas en lui ? Vous allez croire en lui. Il a de mauvaises notes ? Vous vous imaginez qu’il en a de bonnes. Soyez vraiment derrière ! J’ai eu l’une de mes filles, la dernière, qui décroche facilement, qui a du mal avec l’école, j’ai remarqué que plus je la valorisais, plus je l’encourageais, plus elle avait envie de me montrer qu’elle y arrivait. Les encouragements sont moteurs. Vous imaginez, au bureau, si vous avez un chef, les meilleurs managers, c’est là qu’ils ont leur talent ; c’est de savoir encourager leurs équipes, de les motiver, les emmener plus loin, même si eux, les équipes, n’y croient pas, même quand ils pensent que ce n’est pas possible, le fait qu’il y ait quelqu’un derrière, c’est un peu le boulot d’un coach d’ailleurs ; regardez les coachs sportifs, vous devez faire 12 tractions, au bout de 12 il vous dit allez, tu peux en faire une treizième, et on va la faire alors qu’on ne pensait pas y arriver. Il y a quelqu’un derrière nous qui est là, pour nous pousser, et nous encourager ; c’est vraiment soutenir son enfant et le pousser même quand lui n’y croit pas. À force de croire en lui, vous verrez, il finira par croire en lui. -Huitième clef Limiter les écrans ! IL y a beaucoup de parents qui râlent parce que leurs enfants passent trop de temps sur les écrans, mais par contre, les écrans sont disponibles ! Je vous invite à faire un truc très bête, avoir un endroit dans la maison où vous laissez tous, les écrans le soir ! Même les vôtres ! Appliquez cette règle pour tout le monde. Il y a une boîte et chacun dépose, son téléphone, ses consoles de jeux. Je vous dissuade de laisser des écrans dans la chambre de vos enfants, les ordinateurs, les télés et téléphones, n’ont rien à faire dans une chambre, que ce soit celle d’un enfant ou d’un adulte, selon moi ! Encore moins chez les ados parce que c’est tentant, parce que oui, il sera plein de bonne volonté, il aura envie de se coucher, mais quand, bip, bip, à minuit Margot n’est plus en couple avec Hugo », je peux vous dire que l’on ne peut pas résister à ça ! C’est sûr et certain ! Ce n’est pas parce que votre ado n’a pas envie de suivre vos règles, ce n’est pas parce qu’il n’est pas sympa, ce n’est pas parce que vous ne pouvez pas lui faire confiance, c’est parce que c’est plus fort que lui !!!! Je vois des adultes addictes à leurs écrans, en plus il est avéré que c’est une addiction les écrans, au même titre que la drogue. Cela produit les mêmes effets, de l’agressivité quand on le supprime, etc…etc…Surtout, ne minimisez pas ça, je vois trop de parents qui crient en disant qu’ils en ont marre, mais qui les laissent à disposition. Non, il vaut mieux se fâcher avec son ado en lui disant que oui, en effet, vous n’avez pas le beau rôle, que vous préféreriez lui dire oui parce que vous auriez une paix royale pendant des heures, mais que, votre devoir de parent, fait que, vous ne pouvez pas le laisser autant de temps sur les écrans. Limitez donc, au maximum. -Neuvième clef Fixez-lui de petits objectifs ! De manière à ce qu’il soit valorisé, c’est ce que nous avons vu plus haut ; s’il a 10 en math, voir comment il pourrait avoir 11 pour commencer, puis 12, puis 13 ; s’il passe trop de temps sur les écrans, c’est de définir avec lui, avec sa coopération, quel temps d’écran serait acceptable pour lui. S’il vous dit 2 heures, ok, mettez-vous d’accord sur 2 heures, de telle heure à telle heure. 2 heures d’écran je suis d’accord, tu le prends à telle heure et tu viens le déposer 2 heures après. J’aimerais ne pas avoir à le vérifier, comment vas-tu t’en souvenir, et comment vas-tu faire pour ne pas dépasser ces 2 heures » ? Fixez-lui de petits objectifs et valorisez ses succès s’il les atteint ; s’il ne les a pas tout à fait atteints, ne pointez pas du doigt ce qui n’est pas trop réussi. -Dixième clef Intéressez-vous à ce qu’il aime ! Y compris les jeux vidéo et voyez avec lui, justement, les compétences qu’il développe à travers ça. Ne minimisez pas non plus le fait que l’on apprend des choses dans les jeux vidéo ; ce n’est pas que négatif. Rien n’est tout négatif ou positif. Il est juste question qu’il ne faut pas y passer trop de temps, et que cela dépend de quels jeux vidéo et à quel âge on les met à disposition de son enfant. Intéressez-vous à ça, voyez, par rapport à ses centres d’intérêt, ce qui est important pour lui et scolairement parlant s’il aime le graphisme, les mathématiques, ou le dessin ; il peut aussi développer ces matières-là, peut-être que c’est ce qui va lui servir plus tard à développer ses talents et aller vers un métier qui lui corresponde. Voilà, j’espère sincèrement que ces 10 clefs, vont aider votre enfant à être plus motivé, vont lui donner des outils pour l’aider à se remotiver. N’oubliez jamais que la communication est la base de tout et quand le dialogue est rompu, c’est compliqué de mettre en place des choses ; j’ai fait d’autres vidéos là-dessus, vous allez les retrouver facilement, en attendant, si vous avez aimé cette vidéo, mettez-moi un pouce, cliquez la cloche pour être avisé de mes prochaines publications, téléchargez mon coffret gratuit et moi, je vous retrouve dans une prochaine vidéo ! Vous avez des ados si vous êtes sur cette vidéo et vous aimeriez les motiver. Ça tombe bien, c’est ce dont nous allons parler et je vais vous donner les 10 clefs pour motiver votre adolescent. -Première clef Arrêtez de lui parler de ses résultats scolaires ; franchement les parents, je vous invite à vous poser un instant, faites-le mettez en pause cette vidéo pour faire cet exercice tout de suite et posez-vous la question suivante combien de fois par jour je parle à mon ado de ses résultats, de ce qu’il a fait à l’école, des notes qu’il a eues, de ses devoirs, est-ce qu’ils sont faits ? etc…etc…. Franchement, s’il y avait quelqu’un derrière vous sans arrêt, vous n’en pourriez plus ! Mettez-vous en empathie, un peu à sa place, car il est temps de lui lâcher la grappe !!!! C’est contre-productif en fait ; les adolescents, et j’en côtoie beaucoup se plaignent beaucoup de ça ! Mes parents sont toujours derrière moi pour me parler de ma chambre, de mes notes, comme s’il n’y avait que ça qui les intéressaient » ! C’est très frustrant pour eux, alors, levez un peu le pied. Cela ne veut pas dire qu’il faille les lâcher totalement, mais levez un peu le pied, soyez honnête avec vous-même, réfléchissez un peu et essayez de voir quelles sont les discussions que vous avez, quand vous vous adressez à lui, de quoi lui parlez-vous ? –Deuxième clef Évitez de lui mettre la barre trop haute ! Les parents sont souvent très exigeants, ils veulent que leurs enfants aient au moins 14 ou 16 de moyenne ; c’est bien d’encourager son enfant, mais ne lui mettez pas la barre trop haute, s’il a 8 de moyenne et que vous exigez 14, c’est un peu difficile. Peut-être qu’au début, on peut demander d’atteindre 10. Pourquoi est-ce important de faire ça ? Parce que c’est la théorie des petits pas, ça marche pour les adultes et ça marche pour les enfants, et les ados aussi. Ce qui veut dire que pour être motivé, il faut que l’on voie des résultats or, si l’on part de loin et que l’objectif est trop élevé, trop ambitieux, vous savez ce que l’on fait ? On procrastine ! Et, votre ado, il procrastine parce que peut-être que l’attente des parents est trop ambitieuse. Ce que je vous invite à faire, c’est déjà d’apprendre une chose ; par exemple les mathématiques, parce que vous sentez que là, il y a des efforts qui pourraient être faits. Si votre enfant a 10 de moyenne pour le trimestre, demandez-lui quelle est la note qu’il peut obtenir ? C’est de lui donner à lui la parole plutôt que de vous fixer les choses pour lui. Il va peut-être vous dire qu’il pense pouvoir avoir 12. S’il vous dit 16 demandez-lui s’il pense vraiment qu’il peut y arriver ? Que vas-tu mettre en place pour passer de 10 à 12 s’il vous dit 12, ou de 10 à 16 » ? Votre ado va vous dire je vais faire ci, je vais faire ça et ça ». Super, ce qu’on va faire, on regarde dans un mois ce que cela donne ». Et là, s’il fait des efforts même s’il ne gagne qu’un point ou plus, ce sera valorisant pour lui et vous pourrez lui dire c’est génial, tu vois, tes efforts ont payé » ! Ça, c’est vraiment fondamental croyez-moi, et une fois encore, c’est vrai pour les adultes et les ados également. Vous imaginez, vous, que votre patron fixe des objectifs inatteignables, vous vous décourageriez, vous ne feriez pas les efforts, par découragement et parce que vous êtes submergé par l’ampleur de la tâche. Vous n’essayez donc même pas ! -Troisième clef Valorisez les succès plus que les échecs ! Ce n’est pas ce que l’on fait la plupart du temps, ni à l’école ni dans la vie, parce que c’est comme cela qu’on nous a éduqués, mais cela ne marche pas ! Qu’on se le dise ça ne marche pas !!!! Plein d’études ont été faites sur le sujet, qui prouvent qu’un enfant que l’on valorise, que l’on encourage, aura de meilleurs résultats qu’un enfant à qui l’on pointe du doigt que ce qui ne va pas. Ce n’est pas parce que vous allez le punir, que vous allez lui enlever sa Play station, que vous allez l’empêcher de sortir, confisquer le téléphone et autres, qu’il va mieux travailler ! Il va mieux travailler quand il va voir de la joie chez vous parce qu’il aura envie de vous voir heureux. Ne pensez pas que vos enfants et vos ados sont insensibles à votre regard sur eux ; même s’ils ne vous le montrent pas. Tous les êtres humains aiment être valorisés. Plus vous allez le valoriser, plus il va avoir envie de vous satisfaire et de vous plaire. Ça mettra peut-être un petit peu de temps, mais je vous assure que si vous persévérez, ça marche ! -Quatrième clef Relativisez les mauvaises notes ! Souvent vous zoomez sur tout ce qui ne va pas et vous occultez tout ce qui va bien ! Alors peut-être que tout ce qui va bien, c’est le dessin, l’éducation physique et sportive. Et alors, c’est vachement bien non ? Il est bon quelque part, ce n’est pas anodin même si dans nos sociétés on dévalorise certaines matières, moi, je ne suis pas d’accord avec ça, pas du tout ! Heureusement que Picasso était bon en dessin sinon il n’aurait jamais été Picasso. Imaginez que le père de Picasso lui ait dit non, non, il faut te concentrer sur tes mathématiques ». Vous allez me dire oui, mais c’était Picasso ! Oui, mais quand il était petit, on ne le savait pas ! On ne peut jamais savoir ce que va donner un enfant. Il n’y a pas très longtemps j’ai vu une émission que j’aime bien et que l’on regarde avec mes enfants, où l’un des candidats disait quand j’avais 3 ans, j’étais un rêveur et l’on m’avait condamné et l’on pensait que l’on ne ferait rien de moi », et cela a été comme ça toute sa scolarité alors qu’en fait, ce jeune homme excelle dans une discipline et je pense même qu’il va aller très, très, loin ; pour ses parents cela a été très dur, mais pour lui aussi, car, on lui avait collé l’étiquette de l’échec assuré. Non, nous avons tous une voie à prendre, nous avons tous des qualités, des choses que l’on sait faire mieux que personne, c’est pourquoi il est important de valoriser ça, sinon, vous entachez l’estime et la confiance que votre enfant aura de lui-même et cela va empêcher qu’il puisse s’ouvrir et s’épanouir. -Cinquième clef Renforcer sa confiance en lui ! Pour cela, ça va reprendre un peu tout ce que je viens de dire, c’est-à-dire, minimiser les mauvaises notes. Quand il a une mauvaise note, au lieu de dire ah ben voilà, encore une fois, tu n’as rien foutu, j’en étais sûr, comment veux-tu avoir mieux avec ce que tu fais ? La journée sur ton téléphone, tu ne fais rien » ! Dites-lui plutôt que s’est-il passé à ton avis » ? L’enfant sait qu’il n’a pas bossé, soyez-en sûr, c’est rare un vrai plantage, ça peut arriver, mais en principe, l’enfant sait qu’il n’a pas travaillé. C’est donc de lui dire qu’en penses-tu » ? C’est important ça aussi, on ne leur demande jamais ce qu’ils en pensent, on croit qu’ils sont contents d’avoir de mauvaises notes, mais non. Cela ne vous arrive pas à vous de procrastiner, d’avoir 10 % de pénalités parce que vous n’avez pas fait votre déclaration d’impôts à temps ? Franchement, cela nous est tous arrivé non ? Ce n’est pas pour ça que l’on a un poil dans la main et que nous ne sommes pas de bonnes personnes ! C’est sûr que de temps en temps de passer du temps sur sa console de jeux ou sur son téléphone, c’est plus fun que d’apprendre ses mathématiques, par exemple Histoire-géo ou autres. C’est plus séduisant de faire ça. Il peut y avoir un laisser-aller, mais plus vous allez accueillir ça avec indulgence et plus il va avoir envie, peut-être, de se mettre au boulot. En tout cas, il sera plus gêné quand il ne le fera pas, parce qu’il ne se sentira pas jugé, mais au contraire, encouragé. N’oubliez pas que la valorisation est un moteur pour l’être humain ! -Sixième clef Ne le comparez pas ! Ni à ses copains, ni à son frère, ni à sa sœur, ni à vous ! Malheureusement, c’est quelque chose que l’on fait par automatismes, on ne s’en rend pas compte, on reproduit des choses de son passé, je vous le dis souvent dans mes vidéos, c’est peut-être de cette manière que vos parents ont agi avec vous, et peut-être avez-vous enregistré que c’était un moteur pour vous. Peut-être ; parfois, la colère, par exemple, peut être transformée en quelque chose de revanchard du style ils n’ont pas cru en moi, eh bien, je vais leur montrer que je suis capable ! Hélas dans la majorité des cas, cela casse un peu l’élan de l’enfant et surtout, il se sent le vilain petit canard. Et, encore une fois, on met la barre un peu trop haute. Nul ne mérite d’être comparé parce que personne n’est comparable, tout le monde est unique et votre enfant a, forcément, des talents, des capacités et des compétences que le frère, la sœur ou vous-même n’avez pas. Alors, mettez l’accent sur ce qu’il a de bien, et mettez un couvercle sur ce qui va moins bien, mais surtout, évitez la comparaison et les discours du style moi, à ton âge, ton frère, lui, regarde un peu ton copain…. » Ça fait mal d’être comparé ! Essayez de vous souvenir et de revenir un peu dans le passé, vous allez voir. Ou bien, imaginez que votre mari ou votre épouse, vous comparent à votre copain, à votre frère ou votre sœur, à ses parents ? Honnêtement, la comparaison, ce n’est agréable pour personne, que l’on soit ado ou adulte ! -Septième clef Encouragez-le ! Vous voulez vraiment qu’il se dépasse ? Eh bien, vous allez l’encourager. Il ne ramène que des zéros ? Vous allez continuer à croire en lui. Il ne croit pas en lui ? Vous allez croire en lui. Il a de mauvaises notes ? Vous vous imaginez qu’il en a de bonnes. Soyez vraiment derrière ! J’ai eu l’une de mes filles, la dernière, qui décroche facilement, qui a du mal avec l’école, j’ai remarqué que plus je la valorisais, plus je l’encourageais, plus elle avait envie de me montrer qu’elle y arrivait. Les encouragements sont moteurs. Vous imaginez, au bureau, si vous avez un chef, les meilleurs managers, c’est là qu’ils ont leur talent ; c’est de savoir encourager leurs équipes, de les motiver, les emmener plus loin, même si eux, les équipes, n’y croient pas, même quand ils pensent que ce n’est pas possible, le fait qu’il y ait quelqu’un derrière, c’est un peu le boulot d’un coach d’ailleurs ; regardez les coachs sportifs, vous devez faire 12 tractions, au bout de 12 il vous dit allez, tu peux en faire une treizième, et on va la faire alors qu’on ne pensait pas y arriver. Il y a quelqu’un derrière nous qui est là, pour nous pousser, et nous encourager ; c’est vraiment soutenir son enfant et le pousser même quand lui n’y croit pas. À force de croire en lui, vous verrez, il finira par croire en lui. -Huitième clef Limiter les écrans ! IL y a beaucoup de parents qui râlent parce que leurs enfants passent trop de temps sur les écrans, mais par contre, les écrans sont disponibles ! Je vous invite à faire un truc très bête, avoir un endroit dans la maison où vous laissez tous, les écrans le soir ! Même les vôtres ! Appliquez cette règle pour tout le monde. Il y a une boîte et chacun dépose, son téléphone, ses consoles de jeux. Je vous dissuade de laisser des écrans dans la chambre de vos enfants, les ordinateurs, les télés et téléphones, n’ont rien à faire dans une chambre, que ce soit celle d’un enfant ou d’un adulte, selon moi ! Encore moins chez les ados parce que c’est tentant, parce que oui, il sera plein de bonne volonté, il aura envie de se coucher, mais quand, bip, bip, à minuit Margot n’est plus en couple avec Hugo », je peux vous dire que l’on ne peut pas résister à ça ! C’est sûr et certain ! Ce n’est pas parce que votre ado n’a pas envie de suivre vos règles, ce n’est pas parce qu’il n’est pas sympa, ce n’est pas parce que vous ne pouvez pas lui faire confiance, c’est parce que c’est plus fort que lui !!!! Je vois des adultes addictes à leurs écrans, en plus il est avéré que c’est une addiction les écrans, au même titre que la drogue. Cela produit les mêmes effets, de l’agressivité quand on le supprime, etc…etc…Surtout, ne minimisez pas ça, je vois trop de parents qui crient en disant qu’ils en ont marre, mais qui les laissent à disposition. Non, il vaut mieux se fâcher avec son ado en lui disant que oui, en effet, vous n’avez pas le beau rôle, que vous préféreriez lui dire oui parce que vous auriez une paix royale pendant des heures, mais que, votre devoir de parent, fait que, vous ne pouvez pas le laisser autant de temps sur les écrans. Limitez donc, au maximum. -Neuvième clef Fixez-lui de petits objectifs ! De manière à ce qu’il soit valorisé, c’est ce que nous avons vu plus haut ; s’il a 10 en math, voir comment il pourrait avoir 11 pour commencer, puis 12, puis 13 ; s’il passe trop de temps sur les écrans, c’est de définir avec lui, avec sa coopération, quel temps d’écran serait acceptable pour lui. S’il vous dit 2 heures, ok, mettez-vous d’accord sur 2 heures, de telle heure à telle heure. 2 heures d’écran je suis d’accord, tu le prends à telle heure et tu viens le déposer 2 heures après. J’aimerais ne pas avoir à le vérifier, comment vas-tu t’en souvenir, et comment vas-tu faire pour ne pas dépasser ces 2 heures » ? Fixez-lui de petits objectifs et valorisez ses succès s’il les atteint ; s’il ne les a pas tout à fait atteints, ne pointez pas du doigt ce qui n’est pas trop réussi. -Dixième clef Intéressez-vous à ce qu’il aime ! Y compris les jeux vidéo et voyez avec lui, justement, les compétences qu’il développe à travers ça. Ne minimisez pas non plus le fait que l’on apprend des choses dans les jeux vidéo ; ce n’est pas que négatif. Rien n’est tout négatif ou positif. Il est juste question qu’il ne faut pas y passer trop de temps, et que cela dépend de quels jeux vidéo et à quel âge on les met à disposition de son enfant. Intéressez-vous à ça, voyez, par rapport à ses centres d’intérêt, ce qui est important pour lui et scolairement parlant s’il aime le graphisme, les mathématiques, ou le dessin ; il peut aussi développer ces matières-là, peut-être que c’est ce qui va lui servir plus tard à développer ses talents et aller vers un métier qui lui corresponde. Voilà, j’espère sincèrement que ces 10 clefs, vont aider votre enfant à être plus motivé, vont lui donner des outils pour l’aider à se remotiver. N’oubliez jamais que la communication est la base de tout et quand le dialogue est rompu, c’est compliqué de mettre en place des choses ; j’ai fait d’autres vidéos là-dessus, vous allez les retrouver facilement, en attendant, si vous avez aimé cette vidéo, mettez-moi un pouce, cliquez la cloche pour être avisé de mes prochaines publications, téléchargez mon coffret gratuit et moi, je vous retrouve dans une prochaine vidéo !
Quefaire, devant un enfant ou un ado que rien, ou presque, n’intéresse à l’école ? Pour répondre à ses questions, nous rencontrons Jean-Luc Aubert , psychologue spécialiste de l’enfant et de l’adolescent , et l’auteur du récent livre « Comment motiver son enfant à l’école » (Odile Jacob, 2021)
Avertissement Ce papier a été actualisé sous forme du post 521 en février 2013 J’entends régulièrement affirmer qu’il faut d’abord rappeler leurs devoirs aux enfants, avant de songer à leurs droits. D’autres, dans la même veine, n’hésitent pas à affirmer que c’est bien parce qu’on a reconnu des droits aux enfants qu’ils ne respectent plus aucune autorité. Je rencontre même fréquemment des parents, hier issus de la petite bourgeoisie, aujourd’hui de l’immigration africaine, m’avancer que dès lors qu’un père ne peut plus frapper ses enfants en France, au nom du droit des enfants, il ne peut plus les élever et se faire respecter. Je ne surprendrai pas en disant que je ne partage pas un instant ces assertions. J’affirme même que c’est bien parce qu’on identifie un individu dans ses droits que l’on peut plus facilement exiger de lui qu’il respecte la loi. Il n’est pas besoin d’être un grand observateur politique pour retrouver cette problématique dans différents domaines du champ social. On retrouve cette idée dans l’approche du débat sur le vote des étrangers aux élections locales. J’ajoute que droits et devoirs ne sont pas indéfectiblement liés. Certains droits de l’homme fondamentaux comme le respect de la personne ne sont gagés par aucun devoir. La femme qui ne se fait pas agresser sexuellement dans la rue n’a pas à remercier le passant qu’elle croise ! Par ailleurs il ne faut pas confondre autorité et violence. On peut faire preuve d’autorité sans élever la voix ou sans frapper. Sii dans notre pays l’autorité quelle qu’elle soit n’est pas respecté, c’est souvent parce qu’elle-même n’est pas ou plus respectable. On multiplierait les exemples issu notamment du terrain public Chacun les ayant en tête je ferai l’économie de les restituer. Reste que devant l’intérêt que mes lecteurs portent à la problématique droits et devoirs si j’en juge par le taux de consultation journalier des billets de ce blog qui abordent cette question, il m’apparaît nécessaire de la reprendre plus exhaustivement. Enfant et enfant Commençons par le début qu’est-ce qu’un enfant au sens juridique du terme ? Il s’agit d’une personne humaine de moins de 18 ans. La majorité civile a été ramenée en 1974 de 21 à 18 ans. La majorité pénale elle est à 18 ans depuis 1906 quand elle était jusque là à 16 ans. En d’autres termes, à 18 ans tout individu dispose de l’ensemble de ses droits civils, civiques et politiques. Ce n’est cependant pas dire, on va le voir, que le droit traite de la même manière l’enfant de 0 à 18 ans. Des seuils – 7-8 ans, 10 ans, 13 ans, 16 ans – scandent la maturation des enfants. Quand pour le journal Tintin on est un enfant de 7 à 77 ans, à 18 ans la société pose le principe que le petit d’homme est achevé. Droit sur , droit à , droit de l’enfant Il est vrai qu’un des apports du XX° siècle aura été de considérer l’enfant non plus comme un objet d’appropriation que comme une personne. François Dolto y aura contribué d’une manière essentielle dans la dernière période mais c’est bien le travail d’un siècle qui a commencé au lendemain de la deuxième révolution industrielle. D’ailleurs ne n’interpelle-t-on pas traditionnellement ses interlocuteurs en leur demandant Combien avez-vous d’enfants ? alors qu’on devrait dire Combien de fois être vous parents ?» ! Etre ou avoir, là encore. La tendance reste encore forte de considérer l’enfant comme un bien. On retrouve régulièrement cette approche dans le débat sur l’adoption ou la revendication d’enfants par les couples homosexuels avec cette difficulté que la puissance publique ne peut pas garantir un droit à l’enfant. Il est de fait que depuis la fin du XIX° siècle l’idée a émergé de restreindre les pouvoirs de correction des parents sur les enfants et d’une manière générale de combattre la violence exercée par les adultes sur les enfants. Le fait de s’attaquer à un enfant de moins de 15 ans est devenu une circonstance aggravante en 1892. Depuis tout un droit pénal protecteur des enfants, dans leur personne, mais aussi dans leurs intérêts moraux, a émergé. Il a quand même fallu attendre les années 80 pour qu’on prenne réellement conscience des violences physiques infligées aux enfants dans la famille, mais aussi dans les institutions; pour qu’on réalise que par-delà les violences physiques il y avait aussi des violences sexuelles et aujourd’hui on réalise l’importance des violences psychologiques. Qui pourra contester cette prise de conscience ? On doit regretter qu’elle ait été aussi tardive comme on doit regretter qu’il ait fallu attendre 1995 – les juges – et 2005 – la loi – pour que le viol entre époux soit enfin condamnable ! La patrie autoproclamée des droits de l’homme a des retards à l’allumage s’agissant des femmes et des enfants. Dont acte. Mais pas question de régresser. Les parents ont le droit d’imposer leur autorité à leur enfant et même d’exercer un droit de correction mais ils ne doivent pas les mal-traiter. Se pose même, chacun le sait, la question de condamner les châtiments corporels pour répondre au Conseil de l’Europe qui a engagé une campagne en ce sens et suivre les 17 Etats qui y ont déjà répondu. Mieux, dans la deuxième partie du XX° siècle notre législation a petit à petit reconnu le droit de l’enfant d’exercer personnellement certains de ses droits. Certes Napoléon a bien reconnu que l’enfant né avait des droits, mais ses parents et tuteurs étaient seuls habilités à les exercer. Il est tenu pour un incapable juridique. Comme la femme mariée ! On a fini par poser le principe qu’à la maison notamment, mais aussi à l’Aide sociale à lenfance, il fallait recueillir son avis sur toutes questions importantes le concernant. Donner son avis ne veut pas dire décider. C’est ainsi qu’avec de fortes résistances a été admis en 2007 le droit de l’enfant à être entendu par son juge quand il en fait la demande … quitte à ce que le juge le fasse entendre par un spécialiste. Ce qui est contraire à l’article 12 de la CIDE qui garantit le droit de l’enfant à s’exprimer. L’enfant s’est vu reconnaître le droit d’agir seul dans certains cas. Ainsi il peut porter plainte au commissariat contre ceux qui par exemple l’auraient violenté ou volé. Il a le droit de saisir un juge des enfants pour demander protection ; il peut même se choisir un avocat. Il suffit qu’il soit doué de discernement et on estime en France qu’un enfant de 7-8 ans, parfois moins est doué du discernement. Il peut accéder à la contraception d’une manière libre, gratuite et anonyme loi Neuwirth; la jeune file enceinte qui souhaite garder son enfant le peut mais elle peut aussi interrompre sa grossesse. Plus largement, quoiqu’incapable de contracter l’enfant peut accomplir les actes usuels de la vie courante. Ainsi il peut faire des achats. Toutefois le vendeur devra tenir compte de son âge et de sa personnalité avant de lui vendre quelque chose. Sinon il s’expose à la résiliation de la vente et des poursuites pénales pour avoir abusé de la faiblesse de son jeune client. Sait-on qu’un enfant peut interdire à ses parents d’accéder à son dossier médical ? Le médecin lui doit le respect du secret professionnel sauf s’il y a un diagnostic vital auquel cas l’assistance à personne en danger l’emporte sur la confidentialité. La Convention internationale sur les droits de l’enfant de 1989 n’est pas à l’origine de l’affirmation des droits de l’enfant mais il faut reconnaître qu’elle a conforté la tendance et ouvert quelques nouvelles perspectives en passant de l’implicite à l’explicite. Ainsi elle reconnaît la liberté de pensée de l’enfant et tout logiquement sa liberté religieuse. Il doit pouvoir pratiquer le culte de son choix. Le traité lui reconnait également la liberté d’expression individuelle et collective – la liberté d’association ou le droit de manifester – dès lors qu’il ne trouble pas l’ordre public et ne porte pas atteinte aux droits des autres. Comme tout un chacun ! Et puis soyons lucides il demeure une marge de manœuvre pour améliorer le statut des enfants de France. Par exemple les garantir d’avoir un père et une mère au regard du droit quand trop d’enfants sont orphelins volontairement de père ! Bref, plus que jamais on peut dire que l’enfant à une capacité juridique réelle mais limitée. Il n’est pas qu’un être fragile qu’on protège contre lui-même et contre autrui. Il est sujet de droits et il n’est pas seulement objet ! L’enfant est une personne et comme toute personne il doit certes être respecté dans son corps, mais il se voit reconnaître les libertés fondamentales et peut être l’acteur de sa vie, et d’autant plus qu’il se rapproche de la majorité. * A ces droits répondent des obligations sinon des devoirs et des responsabilités A tout âge, l’enfant, doit honneur et respect à ses parents » ; a fortiori l’enfant mineur. Il a le devoir d’obéir à ses parents et à ceux qui en reçoivent délégation. J’ai déjà dit ici 1000 fois qu’il conviendrait que les beaux-parents se voient reconnaître par la loi le droit de se faire obéir des enfants qu’ils élèvent pour les actes de la vie courante. Il doit demeurer au domicile familial et n’est autorisé à en sortir que par ses parents. On l’a dit les parents ont un pouvoir de correction qui peut les conduire à la contrainte. Seuls les parents peuvent exercer des violences légères à son égard ; pas un professeur, pas le maire ! En tous cas l’enfant peut engager sa responsabilité pour les actes qu’il pose. Laissons la responsabilité morale pour nous concentrer sur la responsabilité juridique L’enfant qui cause un préjudice est tenu de le réparer. Bien évidemment comme il est généralement en difficulté pour réparer personnellement, faute de moyens financiers, ses parents seront tenus solidairement avec lui et en vérité la victime se tournera vers eux. Ils ont alors intérêt à disposer d’une bonne assurance. Un enfant constitue en quelque sorte un risque pour ses parents ou l’institution qui l’héberge. Et ici, force est de constater que l’assurance parentale n’est toujours pas obligatoire. Concrètement un enfant de 4 ans qui crève involontairement l’œil de son camarade de jeu est tenu pour civilement responsable et ses parents sont tenus d’indemniser la victime du simple fait qu’ils sont ses parents ; sauf cas de force majeure ou partage de responsabilité avec la victime. L’enfant peut aussi très tôt engager sa responsabilité pénale. Dès 7-8 ans, dès lors qu’on lui reconnait le discernement, il est tenu pour capable de commettre un délit. La loi interdit avant 13 ans qu’il soit condamné à une peine, mais on pourra lui infliger une mesure éducative comme le placement en institution jusqu’à sa majorité. Il aura un casier judiciaire. A 10 ans on pourra prononcer des mesures éducatives comme l’interdiction de fréquenter tel lieu ou telle personne, posséder tel bien ou l’obliger à faire telle chose suivre une psychothérapie, aller à l’école etc.. Il ne peut pas être placé en garde à vue avant 10 ans, mais ses 10 ans acquis il sera en retenue pour une durée de 12 h renouvelable une fois. A 13 ans donc il encourt une peine de prison et 6000 peines de prison fermes et 15 000 peines de prison avec sursis simple ou sursis mise à l’épreuve sont prononcées chaque année. Aujourd’hui environ 800 personnes de moins de 18 ans sont en prison. J’ai souvent mis en évidence ici qu’une tendance lourde est de tenir pour majeur pénalement des jeunes qui n’ont pas encore 18 ans. En 10 ans, le statut protecteur des 16-18 ans a quasiment été vidé de son contenu. On a même inventé pour eux un tribunal correctionnel pour mineurs ! Voir mes billets Bien évidemment comme tout un chacun il encourt des sanctions disciplinaires sur son lieu de travail, en l’espèce, l’école pour les plus jeunes. Des droits donc mais aussi des obligations comme celle de réparer ou de rendre des comptes, à la hauteur de sa capacité à comprendre. Globalement notre droit est équilibré. Il prend en compte les étapes qui amènent l’enfant vers la maturité. Il ne faudrait pas remettre en cause ces équilibres qui se sont construits sur la durée. Reste l’essentiel informer les plus jeunes, mais d’abord les adultes, sur le statut fait aux enfants dans notre pays qu’ils ignorent généralement allégrement, chacun ayant tendance à faire sa propre loi.
Semotiver pour faire ses devoirs . Même si vous aimez l'école, il peut être difficile de vous passionner pour vos devoirs. Comme n'importe quel autre travail, il est important de : 1. Trouver l'envie et l'inspiration 2. Rester concentré(e) et alerte 3. Organiser son temps de manière efficace
Pour aider votre enfant à appréhender la rentrée scolaire sereinement, vous plébiscitez les devoirs de vacances lors de la période estivale. Mais comment lui donner la motivation de réviser les acquis de l'année pendant les vacances ? En commençant par lui consacrer du temps lorsqu’il ouvre ses cahiers. Découvrez tous nos conseils pour transformer ces moments de révision en véritable plaisir ! 1. Commencez les révisions au mois d’août Pendant les grandes vacances d’été, l'idéal est de laisser votre enfant tranquille au mois de juillet, et de reprendre le travail trois semaines avant la rentrée. N’oubliez pas qu’il s’agit des vacances, et que votre enfant a besoin d’une phase de repos pour assimiler les notions vues en classe. Les révisions pourront ensuite prendre le relais pour éviter que votre enfant n’oublie toutes les leçons apprises au cours de l’année scolaire. 2. Partagez ce moment avec lui Les congés représentent une période de plus grande disponibilité des parents vis-à-vis de leur enfant. C’est donc l’occasion idéale de partager ce moment privilégié de révisions avec votre fille ou votre garçon, et surtout de lui montrer que vous vous intéressez à son travail et à ses acquis. En effet, il est difficile de faire ses devoirs de vacances seul pendant que tout le monde profite du beau temps. Rester à proximité de son bureau pendant qu’il fait ses exercices, sans l’oppresser, permettra à votre enfant de se concentrer plus efficacement sur ses leçons. 3. Faites preuve d’enthousiasme Pour encourager votre enfant à se plonger dans ses cahiers de vacances, la meilleure solution consiste à adopter une attitude positive ! N’hésitez pas à être démonstratif, et à lui montrer que vous appréciez vos séances de travail. Félicitez-le, par exemple, sur ses acquis et sur l’attention qu’il porte à ses leçons. À l'inverse, évitez de mettre l’accent sur les difficultés qu’il rencontre, mais aidez-le plutôt à trouver des solutions pour combler ses petites lacunes. Par exemple, s’il a du mal avec les exercices d’orthographe de ses cahiers de vacances, proposez-lui de lire des petits livres adaptés à son âge. En lisant régulièrement, l’orthographe des mots va peu à peu s’inscrire dans son Privilégiez les séances de travail courtes Pour que votre enfant révise efficacement pendant les vacances, prévoyez une plage horaire fixe et obligatoire, pour installer une routine. Elle peut varier de trente minutes à deux heures de travail scolaire quotidien, cinq jours par semaine. En règle générale, mieux vaut privilégier ces révisions le matin. Votre enfant aura ensuite toute la journée pour passer du temps à se défouler. Cela dit, si votre enfant est plus efficace en fin de journée, réservez ce moment pour qu’il fasse ses devoirs en vacances. Bon à savoirSi vous optez pour un cahier de vacances, vérifiez qu’il soit adapté à l’âge et à la classe de votre enfant. Inutile de prendre un niveau supérieur vous risquez de démotiver votre petit. N’hésitez pas à demander conseil à son enseignant avant la fin de l’ Faites des pauses Lorsque votre enfant révise les leçons apprises au cours de l’année scolaire, pensez à lui accorder de petites pauses de cinq minutes après trois quarts d’heure. Il a le droit de courir, de danser, de chanter, bref, de se défouler ! Une fois la pause terminée, prenez un instant pour qu’il se recentre sur ce qu’il était en train de faire. 6. Mettez en place des sessions ludiques pour apprendre autrement Si votre enfant refuse de remplir ses cahiers, inutile d’aller au conflit ! D’autant qu’il existe d’autres moyens de réviser ses connaissances tout en s’amusant ! Certains jeux de société sont particulièrement adaptés, à l’instar du Monopoly pour additionner et soustraire, ou encore le Scrabble pour réviser le vocabulaire et l’orthographe, etc. Prenez également le temps d’effectuer des visites de musées ou des balades historiques. Rien de tel pour développer sa culture générale et sa curiosité ! Et parce qu’un petit bobo est vite arrivé durant ses activités extrascolaires, même en vacances, Carrefour Assurance reste à votre écoute et à votre disposition. Pour couvrir votre enfant à n’importe quel moment de l’année, et ce jusqu’à ses 26 ans, découvrez notre offre d'assurance scolaire et extrascolaire.
Pourmotiver ton enfant à faire ses devoirs, il faut déjà que toi-même tu sois en accord avec ces devoirs. Si tu n’es pas convaincue de leur bien-fondé et que tu n’en vois pas l’intérêt, alors forcément ton enfant va le ressentir A ce moment là,
Au secours ! Mon ado ne veut pas travailler un livre pour accompagner la scolarité difficile des adolescents Présentation de l’éditeur Votre ado décroche au collège ou au lycée, refuse de faire ses devoirs, de réviser ses cours ? De la simple nonchalance ou du traditionnel test de l’autorité parentale, cette attitude peut rapidement s’ancrer et enfermer progressivement l’adolescent lui-même dans un rapport déprécié à ses propres capacités, et dans une vision négative de son parcours scolaire. Afin d’éviter l’instauration d’une telle situation et pour que le travail scolaire ne soit plus systématiquement l’objet de tensions ou de disputes à répétition, le présent guide fourmille de solutions adaptées à diverses situations, dans lesquelles les parents pourront puiser pour retrouver les conditions d’un accompagnement serein à la scolarité de leur enfant. Simples et faciles à mettre en oeuvre, ces solutions ont fait la preuve de leur efficacité auprès de nombreux adolescents. L’autrice Titulaire d’un doctorat, coach scolaire auprès d’adolescents et mère de famille, Isabelle Sandillon est investie dans l’éducation depuis plus de vingt ans. Elle a notamment puisé dans son parcours d’enseignante des ressources qui lui ont permis de développer des outils spécifiques dédiés à la réussite scolaire des adolescents. Les points forts Isabelle Sandillon a rédigé cet ouvrage en s’appuyant sur ses expériences d’accompagnement d’adolescents en difficulté scolaire. Elle s’adresse aux parents pour leur donner des clés et des outils afin de renouer le dialogue et de redonner confiance à l’adolescent en ses capacités. Pour ce faire, elle s’appuie sur trois parties, chaque partie étant subdivisée en chapitres Faire le point grâce à deux questionnaires pour identifier les points de blocage Partager une activité plaisante pour renouer le lien Mener un entretien en tête à tête pour faire le point sur les blocages et envies Accompagner l’adolescent vers l’autonomie Changer de perspective et créer un changement positif dans la relation S’intéresser aux points forts et aux centres d’intérêt de l’ado sans l’étouffer Deux maîtres mots planification et organisation Comprendre la personnalité de l’ ado sans projeter ses propres peurs et envies de parent Être un soutien indéfectible et offrir de l’amour inconditionnel Des efforts et des résultats qui n’appartiennent qu’à l’adolescent Construire ensemble des méthodes d’apprentissage et d’organisation efficaces Apprendre à apprendre Focus sur les maths pour ne plus décrocher Concevoir une méthode de travail personnelle Établir un partenariat avec des ressources externes enseignants, intervenants scolaires, soutien scolaire… Isabelle Sandillon met l’accent sur la restauration de la relation parent/ ado parce qu’elle sait bien que les difficultés scolaires peuvent être sources de tension et rompre le lien. Toute la première partie consiste à préparer un entretien apaisé et efficace avec l’adolescent. A la fin de l’ouvrage, des questionnaires vierges sont proposés à cet effet pour à la fois préparer cet entretien et le mener. Son approche est résolument bienveillante et positive et intègre à part entière l’adolescent dans la construction d’une nouvelle dynamique. Elle invite les parents à faire confiance à leur adolescent et en gardant en tête que les adolescents ont avant tout besoin d’un réservoir d’amour rempli par des liens chaleureux et du soutien parental. Les outils proposés par Isabelle Sandillon sont pratico-pratiques introduire du changement matériel réorganiser la chambre, ordonner les affaires…; élaborer une nouvelle planification de l’articulation des différents temps école, devoirs, activités extra scolaires, repos, temps familiaux…; valoriser les progressions plutôt que les résultats ; élaborer des stratégies d’apprentissages efficaces avec des petites astuces. Par exemple, Isabelle Sandillon rappelle que l’objectif d’apprendre par cœur a un sens car toutes nos connaissances sont en lien avec la réalité. Tout le monde a besoin, à un moment ou un autre dans sa vie, de faire appel aux connaissances emmagasinées dans la mémoire nommer l’endroit précis du corps où on a mal, tenir une discussion compréhensible avec une personne qui parle une langue étrangère, écrire une lettre de motivation sans erreur d’orthographe… Isabelle Sandillon conseille d’inviter les enfants et adolescents qui ont des données à apprendre par coeur à Se projeter dans la logique intrinsèque de la matière concernée, voire au-delà, pour comprendre à quoi sert cet apprentissage voir les 5 questions pour approfondir la compréhension et le traitement des informations avec la gestion mentale; Se projeter dans le ou les exercices demandés par l’enseignant et visualiser ce qui est attendu la nature des attentesrestitution orale, écrite, QCM, problèmes utilisant les données à apprendre en situation, nombre d’exercices… et les circonstances matérielles contrôle, concours, salle de classe habituelle ou autre lieu, présence d’autres adultes que le prof, jury, durée de l’épreuve…; Entrer dans le coeur des apprentissages en ayant abordé les deux premiers points pour savoir où aller et comment y aller. Tout l’objectif de ce livre est d’accompagner progressivement les adolescents avec une scolarité difficile à reprendre confiance en eux, à gagner en autonomie, à mieux s’organiser tout en sachant qu’ils peuvent compter sur le soutien inconditionnel de leurs parents. …………………………………………………………………………………………………………………. Au secours ! Mon ado ne veut pas travailler… Des solutions simples, efficaces et faciles à mettre en oeuvre de Isabelle Sandillon éditions Eyrolles est disponible en médiathèque, en librairie ou sur internet. Commander Au secours ! Mon ado ne veut pas travailler sur Amazon, sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac
Vouspourriez être surpris de constater que votre ado a développé ses propres trucs, comme prendre une photo des devoirs au tableau, ou se référer à son portail de cours. Si ce n’est pas le cas et qu’il est Les devoirs, enfants et parents s’en passeraient volontiers ! En effet, après une journée de travail, il n’est pas facile de motiver encore les troupes ! Pour mettre fin aux tensions qui règnent à la maison, découvrez quelques conseils pour aider votre enfant à faire ses devoirs en toute sérénité. Rédigé par , le 13 Nov 2019, à 16 h 50 min Pas facile pour nos enfants de trouver à nouveau de la motivation pour travailler après avoir déjà passé une journée entière à l’école. Nombreux sont ceux qui n’ont clairement pas envie de s’y remettre et on les comprend… Le temps des devoirs peut alors devenir un moment compliqué à gérer pour tout le monde. Alors comment faire pour que les devoirs se passent au mieux ? Comment accompagner nos enfants avec bienveillance ? Nos astuces pour aider votre enfant à faire ses devoirs Si votre enfant vient de rentrer à l’école élémentaire, il est très probable qu’il ramène des devoirs tous les soirs à la maison. Au CP, cela ne prend en général pas plus de 15 minutes chaque jour. Cependant, plus votre enfant va grandir, plus il aura des devoirs. Et déjà en CE2, la charge de travail peut être assez importante. Cela dépend bien entendu des enseignants… Pour aider votre enfant à rester motiver en rentrant de l’école, voici quelques astuces. Trouvez le moment idéal pour faire les devoirs Se détendre et prendre un goûter avant les devoirs © Tetiana Maslovska Faire ses devoirs immédiatement en rentrant de l’école n’est peut-être pas une bonne idée. En effet, lorsqu’il rentre à la maison, votre enfant a sûrement d’abord besoin de se détendre un peu. Soit en prenant un goûter s’il est encore l’heure soit en jouant ou en parlant avec vous. Discutez avec lui pour savoir quel moment lui semblerait idéal pour se mettre au travail. Certains vont se sentir prêt à travailler après le goûter, d’autres plutôt avant le coucher. Essayez de respecter son choix car lui seul peut connaître le moment qui lui convient le mieux. Certains enfants vont également préférer faire leurs devoirs le matin, avant de partir à l’école. Si votre organisation quotidienne le permet, pourquoi pas ? Proposez lui de choisir son environnement de travail Nos enfants passent la majeure partie de leur journée assis, et sans trop bouger. Alors, leur demander de reprendre cette posture d’écolier une fois rentrés à la maison peut poser problème à de nombreux enfants. Fixez des règles simples pas de télévision, pas de distraction pendant les devoirs mais pourquoi pas un fond musical, de préférence sans parole et laissez-le choisir l’endroit où il a envie de s’installer. Sur le canapé, sur le tapis du salon, dans son lit ou encore adossé à un mur, peu importe tant qu’il se sent bien. Restez présent pendant le temps des devoirs Superviser les devoirs et intervenir si nécessaire © Jack Frog La première année, votre enfant aura besoin de vous pour l’accompagner, notamment dans l’apprentissage de la lecture. Puis il aura besoin d’aide pour trouver la bonne page du livre, comprendre la consigne ou encore réciter une poésie. Au fil du temps, il deviendra de plus en plus autonome. Restez toujours présent lorsque votre enfant fait ses devoirs mais n’intervenez que si cela est nécessaire. Aidez-le à se poser les bonnes questions, à trouver sa propre méthode de travail. Il sera satisfait de réussir par lui-même grâce à ses bonnes habitudes de travail, tout en sachant qu’il peut compter sur votre soutien. Rassurez-le sur ses capacités S’il bute sur un exercice ou qu’il n’arrive pas à retenir une leçon, rassurez-le sur ses capacités. Dites-lui par exemple qu’il a réussi à retenir telle table de multiplication qui était pourtant difficile, qu’il a parfaitement réussi son dernier exposé. Rappelez lui toutes ses réussites et les progrès qu’il a accompli afin de lui redonner confiance en lui. Il doit comprendre que tous ses efforts portent leurs fruits et ne sont pas vains. Encouragez-le, partagez son enthousiasme lorsqu’il boucle un exercice et évitez de pointer du doigt ses difficultés. Évitez de lui mettre la pression Le temps des devoirs ne doit pas être associé à une punition pour votre enfant. Il est donc essentiel de faire de ce temps un moment agréable, sans tension ni cri. L’ambiance qui règne à la maison au moment des devoirs est déterminante car elle influence grandement la concentration mais aussi les capacités de mémorisation de votre enfant. Alors, évitez de lui mettre la pression soyez patient et ne le disputez pas s’il se trompe. Les erreurs font aussi partie de l’apprentissage. Il arrive parfois qu’un enfant se braque et refuse de travailler il est alors difficile de ne pas perdre son sang-froid. Dans ce cas là, mieux vaut fermer les cahiers et remettre les devoirs au lendemain. Joignez l’utile à l’agréable S’amuser pour mieux travailler © Lordn Quoi de mieux que d’apprendre en s’amusant ? Soyez créatif et trouvez comment intéresser vos enfants aux exercices qu’ils rencontrent. Faites de ce temps un moment léger, ludique mais toujours sérieux. Transposez ses exercices de calcul dans la quotidien, racontez lui des anecdotes historiques intéressantes, servez-vous d’autres supports jeu de cartes pour apprendre les multiplications par exemple…. Permettez-lui aussi de marcher ou de sauter pour épeler ses mots de vocabulaire ou alors servez-vous de lettres magnétiques à coller sur le frigo. N’hésitez pas à sortir du cadre scolaire car les jeux dans les apprentissages permettront à votre enfant d’être davantage motivé ! Illustration bannière Comment aider votre enfant à faire ses devoirs ? – © SeventyFour consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Marie Mourot Rédactrice web freelance et maman de trois enfants, je me suis toujours sentie très concernée par l'écologie et le développement durable. Constamment en... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur z3ra.
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